Si nous ne pouvons réfléchir par nous-mêmes,
nous sommes condamnés à croire ce qu'on nous enseigne.
New world order: Le plan mai 2005 Inquisition juin 2005 Conspiration décembre 2006 Celui que l’on doit craindre par-dessus tout! novembre 2007 La catastrophe du violet novembre 2007 J’accuse... décembre 2007 Fondations juillet 2007 Énergie libre nov 2008 Les choses étaient... mai 2008 Les Saisons 30 janvier 2008 Annuelle De Châtillon. octobre 2008 Les géants ajout 1500 visages et autres formes. août 2010
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Supplémentaires: Les supplémentaires constituent les documents essentiels à la bonne compréhension.
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Je suis un fervent lecteur de l'ancienne histoire et devant la
complexité, je me suis pris un jour à rêver de la retranscrire dans un format
calendaire du type de ceux utilisés pour la confection des cheminements
critiques modernes. Un tel format aurait eu comme avantage d'amalgamer sur une seule feuille gigantesque graduée d'une échelle des âges, tous les grands groupes de l'histoire depuis Adam et tous les évènements qui les ont entourés. D'un seul coup d'oeil, un tel tableur offrirait un regard imprenable sur l'histoire ancienne à toutes les époques et deviendrait incontestablement une référence. Ben on l'a!! Je ne peux concevoir la quantité d'heures de travail et de recherches qu'il a fallu à l'Abbé Augustin Michel pour réaliser cette rare oeuvre d'art de 1850, qu'un généreux donateur a pris la peine de numériser pour nous. Une oeuvre de bénédictin. Il y a longtemps qu'il m'avait été donné de mettre la main sur une telle référence, d'une telle précision et ce n'est aucune surprise que la valeur des quelques exemplaires qui existent soit aussi élevée. Voici donc « Le Tableau Synchronique & Universel de la Vie des Peuples » des milliers d'heures de plaisir. |
Manuels
de survie Manuel de premiers soins militaire Sur les conserves Quand il n'y a pas de dentiste sous la main. Chirurgie de guerre Jardinier urbain Techniques de combat en territoire urbain La solution dans toutes les situations. 10,000 recettes de maisons Survie et évasion Manuel de survie militaire en situation extrême Un bon site de survie |
Magnifique librairie de la philosophie et de l'ésotérisme |
Lorsqu'on comprend
que l'histoire et les catastrophes furent des sujets soumis à la
censure, on comprend aussi que beaucoup d'individus utilisèrent
des façons alternatives de passer le savoir aux
générations ultérieures. C'est ce que Léon
de Tinseau a fait dans ce roman dans lequel le hasard est simplement
trop grand. Sous-préfet sous l'empire français, il abandonne ensuite tout à fait la carrière administrative pour la littérature. Collaborateur des grandes revues littéraires, il a donné un grand nombre de romans. Un de ceux-ci, publié en 1930, s'est avéré particulièrement audacieux par les liens qu'il présente dans notre société, ainsi qu'avec l'histoire ancienne. La catastrophe de l'an 2000, la guerre qui arracha une partie de la côte est américaine, le refuge des « Dragons », la décadence de la société, le Duc Rollon père du duché de Normandie et les anciennes civilisations. Une histoire qui se veut troublante, dans laquelle l'an 2000, pourrait fort bien être celle du tournant de l'an 1000. Le Duc Rollon Ce livre ne peut-être lu sans tenir compte des moulins de Santillana. Giorgio de Santillana était un professeur de philosophie émérite et historien de la science au MIT. Il écrivit plusieurs livres sur la science ancienne qui suscitèrent la controverse, l'obligeant à quitter son poste d'enseignant. Ce livre est un parfait complément au précédent, car il pose de nombreuses interrogations concernant l'ancienne science, transposée à tort en mythologie. De mes lectures concernant le sampo, elle fut l'une des plus inspirantes et elle est de surcroît un parfait complément au livre précédant. Hamlet's mill |
Si vous
désirez comprendre la séquence
d’évènements à venir; Si vous désirez
posséder une saveur des anomalies auxquelles vous serez
confrontés; Si vous désirez acquérir une meilleure
base de compréhension de ce à quoi je
réfère dans l’illumination de Constantin
présenté au cours de l’Annuelle; Vous
désirez lire ce document. « Hen, C pas un documan, Cé un roman » Non mon Charles et c’est précisément là ou tu te trompes. Quand tu mets en perspective tout ce que je dis, tu comprends que ce genre de document n’a jamais été présenté comme un roman de fiction. Ce qui y est dit, ne pouvait pas être connu. L’échafaudage social construit autour, nous le présente comme une fiction qui a même présidé à la mise en place d’un nouveau chapitre, la science-fiction. Une simple méthode d’éducation sociale pour le vulgaire. Gardons un regard simple. Ce qui est présenté dans ce livre n’a rien de nouveau. Les mangeurs de viande ou les sacrificateurs ou les guerres tribales ou la présence d’un sens aujourd’hui méconnu qui inter relie les formes de vies entres elles, apparaissent partout dans l’ancienne histoire. Ce livre possède la particularité d’avoir été dissimulé, déformé, copié durant la période qui l’a mené à nous, entre autres par ce grand écrivain qui a imaginé Sherlock Holmes. Mais il possède surtout la capacité d’amalgamer l’ensemble des anomalies mythologiques inexplicables de l’histoire, sous une seule et même cause, l’astro éther. Donnez-vous le droit de ne pas me croire. Le lire est amplement suffisant. Boex : La force mystérieuse |
Utopia n’a jamais été une utopie. Ce nom lui fut donné pour dissimuler sa véritable nature. Cette société n’a jamais été une utopie. Elle a réellement existé et s’appelait Akkad. Voici donc ce qui existait au Cap Breton en Akkadie, avant qu’Alexandre et ensuite les Romains et ensuite les Engeleses n’imposent leur domination. Elle fut un joyau de rêve dans l’imaginaire des anciens peuples de la planète, car elle démontrait que cette liberté était réellement possible, bien qu’elles leur étaient interdites. Utopia |
Ce curieux équilibre astromathématique qui apparaît dans toutes nos villes et que j’ai décrit dans les Fondations nous a permis d’apprendre des choses étonnantes et inusitées, qui ne sont rien de moins qu’un inconnu dans le placard. Elle est la science de tout ce qui bouge.
Tout ce qui bouge, tout mouvement, qu’il soit apparent ou qu’il se déroule sur des femtosecondes ou des millénaires, le fait en fonction d’un certain ordre. Cet ordre peut-être définit par un ensemble de lois mathématiques, qui permettent d’expliquer d’une façon rationnelle, une synchronicité d’évènements auparavant jugée tout à fait disparate.
La grande pyramide, un calendrier Pour celui qui a compris la façon dont est construit un site comme le National Mall de Washington DC, il sera facile de comprendre que des monuments similaires, exprimant des informations quant aux cycles du climat, existent ailleurs et seront nécessairement découverts un jour ou l'autre. Bien en voilà un autre. La grande pyramide
Basil Wolverton était un créateur de génie. Inspiré par la documentation de l'Église Sabattéenne duquel fut membre, il décrivit par des images saisissantes sa compréhension des évènements de l'Apocalypse. Sa perception des choses devient très importante par le fait qu'elle souligne une succession d'évènements, similaires à ceux prédits par l'astroclimat extrême lors de la formation d'une croix, telle que celle qui aura lieu en 2007. Une séquence suggérant celle du chemin de croix de la passion du Christ, qui n'est qu'une description décadente des mêmes évènements. Démesurés et incroyables, mais saisissant: Wolverton |
Les cycles du climat ont toujours été connus. Devant l'importance et la rareté des cycles extrêmes, les hommes mirent au point des méthodes pour assurer la perpétuité de cette mémoire. Les religions furent une de ces méthodes. Elles devinrent le gardien de ce savoir et les prêtres, leurs interprètes. Tel était leur vocation d'origine. Un repositoire de connaissances. La litanie de l’Ennéagramme |
La pierre de
Dighton Le rocher de Dighton (Dighton Rock) est un bloc erratique de pierre d'une quarantaine de tonnes qui se trouvait à l'origine dans le lit du fleuve Taunton, à Berkley, dans le comté de Bristol (Massachusetts), aux États-Unis. Il est célèbre pour ses mystérieuses inscriptions, qui ont donné lieu à plusieurs hypothèses sur la découverte de l'Amérique du Nord. Le rocher a été vraisemblablement déposé dans le lit du fleuve durant la dernière glaciation, il y a environ 13 000 ans. Il a la forme d'un bloc à six faces, d'environ 1,5 mètre de haut, 2,9 mètres de large et 3,4 mètres de long. Il est formé de grès cristallin gris-brun, d'une texture moyenne à grossière. La surface comportant les inscriptions mesure environ trois mètres par 1,20 mètre ; elle est trapézoïdale et était inclinée à 70 degrés vers le nord-ouest. En 1952, la société historique Miguel-Corte-Real s'est portée acquéreur de 20 hectares à proximité du rocher afin d'y créer un parc. Le rocher a été extrait du fleuve et repose maintenant dans un petit musée installé dans le parc. En 1807 Samuel Harris, Jr., un académicien de Harvard, déclare qu'il a été en mesure de décoder sur la pierre de Dighton trois des lettres de la langue phénicienne et appartenant a l'ancien hébreu: “roi” “prêtre,” et “idole” In 1831 Ira Hill, professeur d'une école du Maryland, conclue que la pierre fut gravée le second mois de la dixième année du règne du Roi Salomon, par une expédition des Tyriens et des juifs comme celle décrite dans le premier livre des Rois de l'Ancien Testament : "Et le Roi Salomon construisit une marine à Eziongeber Et Hiram envoya ses serviteurs, des hommes qui avaient la connaissance de la mer, avec les serviteurs du Roi Salomon. Et ils se rendirent à Ophir, d'où ils récupérèrent 420 talents d'or, qu'ils rapportèrent au Roi Salomon." http://www.americanheritage.com/articles/magazine/ah/1958/4/1958_4_62.shtml http://www.archive.org/details/recenthistoryofd20delauoft http://query.nytimes.com/mem/archive-free/pdf?_r=1&res=9905E0DD143BE533A25755C0A9679C94619ED7CF |
Lydie - Lydia - Lyda -
Lydius La Lydie est un ancien pays d'Asie Mineure, situé sur la mer Égée et dont la capitale était Sarde. Elle était connue par Homère sous le nom de Méonie. La Lydie était une région occidentale de l'Asie Mineure, bordée au nord par la Mysie, au sud par la Carie et à l'est par la Phrygie. Comprenant les vallées de l'Hermos et du Méandre, la Lydie était située sur le parcours des grandes routes commerciales, et disposait de nombreuses ressources minières propres. Les Lydiens sont un peuple indo-européen qui a d'abord été sous domination phrygienne. Selon Homère, leur nom vient de Lydos, fils d'Attis. Après la chute de la Phrygie, ils repoussent les Cimmériens au VIe siècle av. J.-C. C'est le début de l'empire lydien, qui culmine avec le règne de Crésus. La Lydie s'étend alors sur toute l'Asie Mineure, Lycie exceptée. Les guerres de Crésus laissent pourtant la Lydie en piteux état, et elle est conquise par Cyrus le Grand (546 av. J.-C.) et annexée à la Perse. Après les conquêtes d'Alexandre le Grand, elle fait partie du royaume des Séleucides, puis de celui de Pergame (260), et enfin de l'Empire romain en 129 av. J.-C. Elle est évoquée dans les légendes d'Héraclès et Omphale, ou de Tantale et Pélops (ancêtres des Atrides). Voici ce qu'en dit l'Oera Linda "Il s'agit de
notre plus ancienne histoire.
Par
ailleurs, Lewis Evans vécut de 1700 à 1756. Fils de
l'archéologue Sir John Evans et jeune frère de
l'archéologue Sir Arthur Evans, il devint arpenteur colonial et
géographe du pays de Galles et effectua plusieurs missions pour
Benjamin Franklin. De ses voyages et
études sur la cartographie des colonies, il produisit deux
cartes. Une d'entre elles
la Pennsylvanie, New Jersey, New York, ainsi que les trois
comtés du Delaware Wr-Alda, qui seul est éternel et bon, fit le début. Puis le temps a commencé et il a forgé toutes choses, même la terre. La terre a généré les herbes et les arbres, ainsi que tous les animaux utiles et nuisibles. Tout ce qui est bon et utile fut apporté le jour, et tout ce qui est mauvais et préjudiciable fut apporté la nuit. Après le 12e festival de Yule, elle produisit trois filles: Lyda féroce de la chaleur. Finda de forte chaleur. Frya de chaleur modérée. Lorsque la dernière fut entrée en existence, Wr-Alda insuffla son esprit sur elle afin que les hommes puissent lui être liés. Lorsqu'elles furent à maturités, ils prirent un plaisir délicieux aux visions de Wr-Alda. La haine fit son chemin entre elles. Ils portèrent chacun douze fils et douze filles, un couple à toutes les mi-temps de yule. De là provint toute l'humanité. Lyda est noir, avec les cheveux frisés comme un agneau et ses yeux qui brillaient comme des étoiles lançaient des regards comme ceux d'un oiseau de proie. Lyda était sensitive. Elle pouvait entendre le glissement d'un serpent et pouvait sentir l'odeur du poisson dans l'eau. Lyda était forte et agile. Elle était capable de plier un grand arbre, mais pouvait marcher dans faire bruisser les plantes. Lyda était violente. Sa voix était forte et quand elle criait sa colère, toutes les créatures s'effrayaient. Grande Lyda! Elle n'avait aucun égard pour les lois et ses actions étaient régies par ses passions. Pour aider les faibles, elle pouvait tuer les plus forts, mais quand elle l'avait fait, elle pleurait sur leurs corps. Pauvre Lyda! Elle devint grise par son comportement de folie et à la fin, elle mourut le coeur brisé par la méchanceté de ses enfants. Des enfants atteints de la folie! Ils s'accusèrent mutuellement de la mort de leur mère. Ils hurlèrent et se battirent comme des loups et pendant qu'ils le faisaient, des vautours dévorèrent leurs corps. Qui pouvait retenir ses larmes à l'écoute d'un tel récit." L'autre, une carte des moyennes colonies britanniques en Amérique, peut-être analysée par l'intermédiaire de ce visualiseur: http://visualiseur.bnf.fr/ark:/12148/btv1b67000093 Elle possède la particularité d'indiquer la Terre de Lydius.
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Mais qui
était donc ce grand facétieux qui décrivait une
Chine impossible, un récit mis en doute de tous les
académiciens modernes?
Avec Bâtard
Batard, vous savez maintenant que c'est au pays des Sins que Marco Polo
s'est rendu.
La langue Cree
est en écriture syllabique, et les caractères
utilisés sont comparables à ceux du Disque de
Phaïstos
Coup de coeur: Les
entretiens d'Ariste et d'Eudoxe : Une physique et une biologie simple, facile
à comprendre, qui explique tant des modernités aberrantes
du savoir populaire!
Vous désirez savoir ce qui se passe dans leurs têtes? Sachez que le droit à la guerre n'a jamais changé depuis le lancer du caillou de Caïen. David Cusick's :
Sketches de l'ancienne histoire des six nations, comprenant l'histoire
de la fondation de la Grande Île (maintenant Amérique du
Nord) des deux enfants nés, et de la création de
l'univers.
Ou encore véritable
histoire ancienne.
La France en
Amérique: Les singvlaritez de la France antarctiqve, avtrement
nommée Amerique: & de plusieurs terres & isles
decouvertes de nostre temps.
Un livre qui
n'avait aucun sens jusqu'à ce jour.
Les
livres de Fréret:
Du bonbon!
Un
mensonge de l'histoire par Harun Yahya Une autre lecture passionnante
Tilak,
les origines polaires de la civilisation. Une lecture passionnante.
La rupture des
glaces du pôle Arctique
--- Sur notre planète, les réchauffements et
refroidissements se succèdent, mais il n'y a que celui moderne
dont la cause est l'homme.
|
La caverne de
Burrows se situe en Illinois.
Après avoir vu ce qui y a été découvert,
vous vous demanderez surement pour quelle raison vous n'en avez jamais
entendu parler.
La destruction de
l'histoire se poursuit: Afghanistan un site
vieux de 27 siècles est menacé par la construction d'une
route
Comment s'appelait
une des premières bières commerciales du Québec?
La "India Pale Ale"
La caverne de
Burrows se situe en Illinois.
Après avoir vu ce qui y a été découvert,
vous vous demanderez surement pour quelle raison vous n'en avez jamais
entendu parler.
La destruction de
l'histoire se poursuit: Afghanistan un site
vieux de 27 siècles est menacé par la construction d'une
route
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Un mensonge de
l'histoire par Harun Yahya Une
autre lecture passionnante
Tilak, les
origines polaires de la civilisation. Une lecture passionnante.
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Nicola Tesla,
l'éditeur technique de la section radio du New York Herald
Tribune's répondait ainsi à un article écrit par
Laurence M. Cockaday:
"J'ai lu l'article,
et je suis d'accord avec l'opinion exprimée - que la
transmission d'électricité sans fil est impossible
à réaliser avec les équipements actuels. Cette
conclusion sera atteinte naturellement, par n'importe qui reconnaissant
la nature de l'agent, par lequel sont transmis les variations dans le
sans fil actuel.
Quant le Dr Heinrich
Hertz entreprit ses expérimentations de 1887 à 1889, son
but était de démontrer la théorie postulant la
présence d'un médium emplissant tout espace,
appelé "éther" qui était sans structure, d'une
ténuité inconcevable, mais solide et possédant une
rigidité incomparablement plus grande que celle du plus solide
des aciers. Il obtint certains résultats et la planète
entière l'applaudit pour sa vérification
expérimentale de la théorie chérie. Mais en
réalité, ce qu'il observa tendait plutôt à
prouver sa fausseté.
J'ai soutenu pour
plusieurs années qu'un tel médium, comme il était
supposé, ne pouvait pas exister, et que nous devions
plutôt accepter la vision que tout l'espace était rempli
d'une substance gazeuse.
En répétant les expérimentations de Hertz, avec beaucoup d'améliorations et des équipements plus puissants, je me suis satisfait, que ce que j'ai observé n'était rien d'autre que les effets d'ondes longitudinales dans un médium gazeux, propagé par les alternances de compression et d'expansion. Il a observé des ondes dans l'éther de la même nature que les ondes sonores dans l'air. Jusqu'à 1896,
je n'avais pas obtenu de preuve expérimentale de l'existence
d'un tel médium. C'est l'année où j'ai
créé une nouvelle forme de tube à vide, qu'il
était possible de charger avec n'importe quel potentiel et
fonctionner avec des pressions effectives d'approximativement 4,000,000
volts. J'ai produit des rayonnements cathodiques et d'autres sortes de
rayonnement, dépassant toute intensité connue. Selon mes
observations, les effets obtenus étaient dus à des
particules éphémères de matière,
transportant d'énormes charges électriques, pour
lesquelles faute d'un meilleur nom, j'ai désigné comme
une matière qui n'était pas décomposable. Ces
particules furent appelées par la suite électrons.
Une des
premières observations étonnantes avec mes tubes
était cette lueur pourpre qui se formait dans le tube et
s'étendait plusieurs pieds autour, et j'ai soutenu avec beaucoup
de certitude qu'elle était due à l'échappement des
charges de particules aussitôt qu'elles passent dans l'air :
puisqu'elles ne peuvent être contenues que dans un vide presque
parfait. La décharge coronale prouve qu'il doit exister un
médium autre que l'air dans l'espace, composé de
particules immensément plus petites que celles de l'air, sinon
cette décharge serait impossible. Après d'autres
investigations, j'ai trouvé que ce gaz était si
léger, qu'un volume égal à celui de la terre
aurait un poids d'approximativement un vingtième de livre.
La
vélocité d'une onde sonore dépend d'un certain
ratio entre l'élasticité et la densité et pour cet
éther, ou gaz universel, le ratio est 800,000,000,000 de fois
plus grand que celui de l'air. Ce qui signifie que la
vélocité d'une onde sonore à travers
l'éther, est d'environs 300,000 fois plus grandes que celui
d'ondes sonores dans l'air, qui voyagent approximativement à
1085 pieds à la seconde. Conséquemment, la vitesse de
l'éther est approximativement de 900,000 X 1085 pieds, ou
186,000 milles par seconde, soit la vitesse de la lumière.
Secrets of the Aether, Par David W. Thomson, Jim D. Bourassa,
Jon Lomberg
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Le langage est
tout ! Tant que vous êtes empêtrés
dans votre éducation, vous ne comprendrez pas ce qu'il dit. Il
ne peut pas être traduit adéquatement, les mots n'existent
simplement pas dans notre langage moderne. Pour comprendre, vous devez voir les choses de
son point de vue à lui.
Si vous avez lu ce que j'écris, vous apprécierez ceci. |
Astronomicon
"On vit alors des flambeaux menaçants, errer çà et là dans toute l’étendue du ciel: la nature même semblait par ces feux, nous déclarer la guerre, rassembler ses forces contre nous, et nous menacer d’une destruction prochaine. Au reste, ne soyez pas surpris de ces révolutions et de ces désastres : la cause en est souvent en nous-mêmes: mais nous sommes sourds à la voix du ciel. Quelquefois aussi ces
incendies célestes annoncent des divisions intestines, des
guerres civiles. Jamais ils ne furent si multipliés que quand
des armées, rangées sous les drapeaux de chefs
redoutables, couvrirent de leurs bataillons les campagnes de Philippes.
Ces plaines étaient encore imbibées de sang romain, et le soldat, pour marcher au combat, foulait aux pieds les membres mutilés de ses concitoyens, l’empire épuisait ses forces contre lui-même. Auguste, père de la patrie, fut vainqueur aux mêmes lieux que Jules son père. Mais nous
n’étions pas à la fin de nos malheurs: il fallait
combattre de nouveau près d’Actium; et la mer fut le
théâtre où les armes devaient décider si
Rome serait la dot d’une reine, et à qui appartiendrait
l’empire de l’univers. Rome incertaine craignait de tomber
sous le joug d’une femme : c’était la foudre
même avec laquelle les sistres d’Isis osaient se mesurer.
On fut bientôt forcé de soutenir une autre guerre contre des esclaves, contre des bandits attroupés par le jeune Pompée, qui, à l’exemple des ennemis de son père, infestait les mers que le grand Pompée avait nettoyées de pirates. Mais que les destins
ennemis soient enfin satisfaits! jouissons des douceurs de la paix; que
la discorde, chargée de chaînes indestructibles, soit
reléguée dans des cachots éternels. Que le
père de la patrie soit invincible; que Rome soit heureuse sous
son gouvernement; et que, lorsqu’elle aura fait présent au
ciel de cette divinité bienfaitrice, elle ne
s’aperçoive pas de son absence sur la terre."
L'Astronomicon de
Manillius est d'une grande intelligence et rare profondeur. Un
véritable bijou à conserver!
Après le
Timée de Platon, c'est celui qui décrit le mieux les
révolutions de la Terre à travers les époques.
Deux manuscrits des
Astronomicon des Xe siècle et XIe siècle ont
été conservés jusqu'à aujourd'hui.
L'ouvrage, inconnu des savants, fut redécouvert près de
Constance en 1416-17 par Le Pogge, grâce aux loisirs que lui
laissaient les intermèdes du concile de Constance.
L’editio princeps des Astronomicon a été
préparée en 1473 à Nuremberg par l’astronome
Regiomontanus à partir de ce manuscrit très
endommagé. Ce texte fit par la suite l'objet
d'émendations de Joseph Juste Scaliger, dont l'édition
parut d'abord en 1579 à Paris avant d'être
réimprimée en 1600 à Leyde.
Le livre I du
poème décrit le ciel : étoiles, constellations,
planètes. La fin du poème fait allusion au
désastre de la forêt de Teutoburg
Le livre II est
consacré au zodiaque et à son mouvement apparent.
Le livre III indique comment tirer l'horoscope de l'observation des cieux, et indique l'influence des astres sur les âges de l'homme. Le livre IV comporte une description de la Terre et passe en revue les peuples selon leur influence astrale dominante, avec les conséquences induites sur leur caractère propre. Le livre V explique
comment les planètes ont plus ou moins d'influence selon leur
position dans le ciel et la phase de leur mouvement apparent.
|
Encore des preuves
que l'Amérique était la terre du Millieu, la
véritable terre des aïeux
|
Voici une
série de textes qui appuient mes découvertes. Bonne
lecture!
|
« Cette
crise était impossible à prévoir et il y avait
beaucoup d'argent à faire pour ceux qui l'avaient
prévue»
Extrait de
l'allocution de Mossieur Henri-Paul Rousseau, ex-président de la
Caisse de dépôt et placement lors de son allocution
à la Chambre de commerce de Montréal, faisant suite aux
pertes historiques de la CDP en 2008 dans la crise des papiers
commerciaux.
Période
1810-1830
Premier krach
boursier de Londres.
Météors
et crises climatiques à travers le monde.
Guerres
1810-1819 Guerre de
l'indépendance colombienne
1810-1816 Guerre de l'Indépendance Argentine 1810-1817 Madagascar La conquête de Merina 1810-1820 La guerre du Punjab 1810-1818 Jihad D'Amadu 1810-1821 Guerre de l'Indépendance du Mexique 1811-1818 Guerre Ottomane et de l'Arabie saoudite 1811-1825 Guerre de Bolivar 1814-1826 Guerre de
l'indépendance du Chili
1815 Deuxième guerre de Barbarie 1815-1817 Second soulèvement Serbe 1817-1864 Guerre du Caucase 1817-1818 Première Guerre Seminole 1820-1823 Guerre civile espagnole, 1820-1823 1821-1831 Guerre d'indépendance grecque 1821-1823 Guerre Ottoman-Persian 1821-1837 Guerre
Padri en Indonésie
1822-1844 Invasion haïtienne de la République dominicaine 1823-1826 Première Guerre birmane 1824 Guerre d'indépendance du Pérou 1825-1828 Guerre
russo-persane
1825-1828 Guerre
Brésil contre l'Argentine et l'Uruguay
Confédération partisans.
1825-1830 Guerre de Java 1828-1829 Guerre Colombie et Pérou 1828-1829 Guerre russo-turque Londres, 1er mars
1826
Sur la
détresse actuelle du Royaume-Uni.
J'ai eu l'occasion de
parler tant de fois de la prospérité industrielle de la
Grande-Bretagne, et de la puissance que donne à son commerce le
système des grandes associations, que je ne puis garder
entièrement le silence sur la crue horrible que ce pays
éprouve depuis plusieurs mois ; crise à peu
près générale, on peut le dire, et qui
certainement, comme ces grandes tempêtes qui semblent bouleverser
la masse des flots, jusqu'au fond des mers, ne se calmera pas
subitement, et laissera après elle une effroyable
quantité de ruines, dont une partie aura profité à
quelques-uns seulement. En sorte que cette terrible convulsion aura
créé quelques nouveaux riches, et en aura renversé
ou réduit à la médiocrité un grand nombre.
On ne peut se tromper
maintenant sur les causes réelles et éloignées,
bien qu'elles aient été ignorées durant un assez
long temps, cle ce grand malheur national. J'en citerai quelques-unes.
1° La
pléthore ou l'extraplénitude des richesses, qui
étaient tellement multipliées en or, en papier de banque,
en actions commerciales, en marchandises, en longs crédits,
qu'elles se montraient partout ; et qu'une partie de ceux qui les
possédaient, ne sachant à quoi les employer, se sont
élancés vers les voies nouvelles (riantes à
l'entrée, mais semées de précipices à une
certaine distance) qui leur ont été offertes avec tout
l'art de la séduction par quelques-uns de ces misérables
cl fins agioteurs qui fourmillent aujourd'hui dans presque toutes les
bourses de l'Europe.
J'ai vu une époque (à la fin de 1824 et en 1825)à laquelle, je puis le dire sans exagération, il n'eût fallu que quelques semaines pour placer une ou deux centaines de millions de francs d'actions dans quelque association, formée sur le simple témoignage de quelque prétendu voyageur (bien accrédité préalablement par les escrocs dont il aurait été l'instrument) pour l'exploitation d'une mine d'or ou d'argent dans laquelle on aurait trouvé, eut-on dit, ces métaux en roches compactes. Jamais la démence des illusions d'une imagination avide de richesses n'a eu un pareil exemple, ni ne se renouvellera. Un tel
désordre dans les idées nationales (car il a
été à peu près général), une
ardeur si vive, si obstiné à poursuivre des
chimères dorées, présageaient aux esprits sages,
et devaient nécessairement amener de funestes résultats.
Depuis
l'époque à laquelle les Parisiens devenus fous se
battaient à qui pourrait le premier échanger son argent
contre les billets de l'escroc « Law » *, jamais
aucun peuple ne s'était laissé abuser par des rêves
pareils à ceux dont la fin a mis à découvert tant
de plaies profondes faites au corps commercial et financier de la
Grande-Bretagne.
2° La
plétore des richesses a répandu de tous
côtés l'esprit de monopole ; chacun a voulu acheter
des marchandises soit pour les revendre à
bénéfice, soit pour les emmagasiner, afin de dicter la
loi plus tard à ceux qui devaient les consommer, en fabrique ou
ailleurs.
Avec un capital de
20,000 livres, on s'est lancé dans des opérations de 100,
de 150,000 livres ; et une armée d'aventuriers a envahi les
affaires. Quelques-uns de ceux qui ont commencé ce genre
d'opérations, sans bases et sans moyens réels, ayant fait
des bénéfices, ont aiguillonne toutes les
cupidités, et chacun ajouté à l'aveugle sur les
marchandises, sur les effets publics, sur des actions de toute nature.
Mais ce jeu ne
pouvait continuer à procurer des bénéfices.
Bientôt donc la succession des achats et des reventes a atteint
son apogee. Alors chaque opération a tourné à
perte, et cette perte s'est accrue progressivement jusqu'à
prendre le caractère de la ruine, parce que les prix ont
baissé, parce que les ventes sont devenues très
difficiles ; enfin, parce que les tripoteurs qui avaient
acheté ont été forcés de donner à
rien leurs marchandises ou leurs actions, pour faire face aux
énormes engagements qu'ils avaient contractés.
3° Les capitaux
des banques, si multipliés, si utiles dans l'intérieur,
et ceux des banquiers particuliers qui avaient pris part à cette
folie des spéculations, se sont trouvés en partie
engagés à long terme, ou sur des biens-fonds, ou dans les
actions, dans les emprunts, ou dans des entreprises lointaines, etc.,
et lorsque la foule est accourue, voulant réaliser ses billets
de banque ; lorsque l'obstination et la peur sont devenues
générales, les caisses les plus riches se sont
trouvées pauvres et n'ont pas tardé à être
épuisées, parce que l'imprévoyance avait tout
dirigé sans penser à l'avenir.
4° La banque
d'Angleterre ayant commis des faits du même genre, et
s'étant engagée de 50 millions de francs avec le
gouvernement, la banque, avec de bonnes intentions, s'est
trouvée impuissante.
5° Les petits
billets de 50 francs ayant été multipliés à
l'excès, et se trouvant dans les mains des classes
ouvrières, la peur s'est d'abord emparée de ces classes,
qui ont assiégé soudainement la porte des banques.
C'est le seul mal
qu'aient fait ces actions tant accusées dans les chambres ;
mais, le mal eût-il été beaucoup moindre, s'il n'y
avait eu que des billets de 5 livres. et de 10 livres.? Car on
connaît l'esprit de toutes les foules, et les ravages que font
parmi elles l'épouvante, les bruits ; on s'explique donc
comment l'effroi a atteint successivement toutes les classes, et
comment il les eut atteintes, même quand les billets de 2 livres.
n'eussent pas existé.
6° Alors il s'est
forme des ligues odieuses et dénaturées, dans le but
d'augmenter le désordre des esprits et les embarras des
débiteurs pour en profiter, soit par des prêts
monstrueusement usuraires, soit en faisant tomber à vil prix les
effets publics ; du dehors et du dedans, les marchandises, et les
propriétés de toute nature, afin de s'enrichir de la
ruine publique.
Mais je dois dire
aussi que, dans l'intérieur, un grand nombre de lords, de
propriétaires et de capitalistes puissants, ont eu une conduite
vraiment admirable. Quant aux habitants de Londres, ils ont perdu la
tête.
Comme cela devait
être, chaque faillite en a engendré, d'étages en
étage, une multitude d'autres, et a accru successivement la
grandeur de la plaie nationale, en tuant tout crédit, toute
Confiance, en occasionnant le resserrement des capitaux ; en sorte
qu'au moment où il eut été nécessaire de
les mettre tous sur la place, la circulation ordinaire a manqué
de moyens.
Les banquiers et les
banques qui avaient soutenu les premiers assauts ont succombé
dans un second, ou dans un troisième et ceux qui ont
résisté à la furie de la tempête ne l'ont pu
qu'en se dépouillant, par des marchés onéreux,
d'une partie de leur fortune pour sauver l'autre ; en sorte que
les maux cachés ne sont pas moins grands que ceux qui ont
éclaté publiquement.
8° La confiance
et les moyens réels étant détruits presque
partout, on n'a pu escompter le papier du commerce, et tels individus
de ma connaissance qui avaient en porte-feuille, et en masses
considérables, les signatures les mieux famées , les plus
recherchées avant la crise, ou de grandes valeurs en
marchandises, etc., ont pu à peine trouver du comptant pour
faire face aux dépenses journalières de leur maison.
Je dois dire qu'en
Angleterre on ne conserve en argent que le strict nécessaire, et
qu'on tire sur le banquier, chez lequel on a ses fonds, au fur et
à mesure des besoins.
Le dépôt
ne produit aucun intérêt au propriétaire, et au
contraire lorsque c'est celui-ci qui doit au banquier, ce dernier est
bonifié de l'intérêt convenu entre lui et son
client.
Certes, ce mode de
comptes courants était très favorable au
commerçant et au commerce ; mais je n'ai jamais pu
concevoir pourquoi l'homme qui n'était pas négociant
laissait ainsi dormir ses fonds, au milieu des dangers dont il existait
tant d'exemples antérieurs.
9° La
fabrication, comme la vente et la consommation intérieure, ont
sensiblement diminué, et par gradation, par suite du reflux le
plus tempétueux, le particulier le plus étranger aux
affaires s'est trouvé atteint par le fleau.
Enfin, les choses ont
été portées au point qu'on a pu craindre, pendant
quelque temps, une sorte de désorganisation sociale.
10° Les gens les
plus riches se sont vus tout à coup réduits à la
misère, au milieu des caisses, des fabriques, ou des magasins
les plus opulents, ou sur des liasses d'actions, d'effets publies et de
billets, ou de lettres de change qui, quelques jours avant,
étaient préférés à l'or et valaient
réellement davantage.
Les pauvres se sont
multipliés, parce que l'ouvrage a manqué, et si, au lieu
d'être exempte d'esprit de parti et d'éléments de
discordes, la nation en eût recelé d'intérieurs,
comme cela se voit en d'autres pays, il est assez présumable que
l'empire britannique eût éprouvé l'un des
bouleversements les plus horribles dont l'histoire fasse mention.
11° Certes, le
mal n'est pas à son terme ; mais sa grande furie est
passée et ne se renouvellera pas. Toutefois, les faillites ne
peuvent manquer de se succéder, pendant plusieurs mois,
c'est-à-dire jusqu'à l'époque du dernier terme des
crédits de quatre , de six mois et plus, accordés
antérieurement à la crise ; car ou doit savoir que,
sous le rapport de la longueur des échéances, les
avantages du commerce britannique étaient infinis, chaque bonne
maison ayant dans son banquier un appui sûr, et des ressources
toujours proportionnées au crédit qu'elle avait sur la
place.
Je le
répète, le mal ne sera réellement et
complètement à sa fin que lorsque tous les
précédons billets à long terme auront
été payés, ou protestés ; que lorsque
les effets publics et les diverses actions négociables seront
remontés à leur valeur réelle, ce qui demande plus
de trois mois, à mon avis : or, combien d'amertumes et de
transes pour les maisons les plus solides durant un si long temps, et
lorsqu'un si grand nombre d'effets leur reviennent protestés
chaque jour ; ce qui explique la continuation journalière
des banqueroutes, et l'effroi ou les bruits sinistres qui se
renouvellent si souvent à la bourse, ainsi que les ruineuses
fluctuations qui oui lieu dans la valeur des effets publics.
12° Pour comble
de malheur, les capitaux considérables prêtés
à l'Espagne se trouvaient réellement détruits,
puis-je le dire, quoiqu'on leur ait conservé la valeur fictive
et de pure comédie, qu'on voit cotée dans les
journaux ; et l'emprunt des Grecs venait d'être jeté,
par les hasards de la guerre, dans une dépréciation
presque pareille à celle des bons royaux des cortes.
13° On attribue
encore ( mais c'est l'une des causes les moins influentes) une partie
du mal à la disproportion existante entre la valeur de l'or et
de l'argent monnayés, dans la Grande-Bretagne, ce qui a
occasionné, dit-on, une grande exportation du premier.
Cependant le fait est
que s'il n'y avait point eu de peur panique, le numéraire et le
papier en. circulation étaient encore en proportion des besoins,
et que la presque totalité des banques publiques ou
particulières, et des maisons commerciales qui ont failli,
était grandement au niveau de ses affaires; et que si
l'importation s'est trouvée plus grande dans ces derniers temps
que dans les années précédentes, comme le
justifient les recettes des douanes, elle était peut-être
plutôt un signe de prospérité, qu'un signe de
décadence ; car la masse principale des importations
consistait en matières brutes, dont le besoin augmentait en
proportion de la fabrication, alors incalculable, et néanmoins
inférieure aux demandes, dans un grand nombre d'articles.
La catastrophe
actuelle (car c'en est bien une) n'est due qu'à une double
maladie des esprits : 1° La folie des spéculations
aveugles, ignorantes et sans objet réel ; 2° la peur.
Ou se tromperait donc
si l'on attribuait cette catastrophe au cours naturel des choses
commerciale ou au trop grand développement de l'industrie, et le
temps prouvera de plus en plus, qu'on doit à des rêveurs,
à des fous, à des aventuriers, les premiers maux qui ont
servi d'origine à tous les autres .
La fabrique, la
véritable classe commerçante, ont été en-
traînées, elles sont devenues les victimes d'un
fléau déchaîné par d'autres ; mais ce
seront ces classes, aujourd'hui les seuls appuis, les seules
nourricières de tous les empires, qui répareront les
fautes, les imbécillités des classes qui leur sont
étrangères, et je pourrais dire toujours contraires et
trop souvent ennemies ; car, après les ligues anciennes qui
méprisent ou qui craignent et qui tuent l'industrie, par calcul,
dans certaines Turquies, quels ennemis plus dangereux peut-elle avoir
que ces flibustiers de bourse, que ces capitalistes fainéants,
dont l'avidité est insatiable, dont les intrigues et les
brouilleries sèment le désordre, la méfiance et la
misère, autant qu'ils en trouvent l'occasion, pour s'assurer des
moissons aux dépens de l'industrie active, intelligente, et
honorable ?
Le fléau de
l'Europe (je ne crains ni de le dire, ni même d'assurer qu'il lui
occasionnera encore de terribles maux), le fléau de l'Europe
commerçante et industrielle est dans tous ces effets qu'on nomme
la dette publique des états, et dans la passion
générale (comme celle des cartes) , qui a converti en de
véritables tripots, en de hideux repaires, les bourses à
agiotage.
Pendant que les
peuples s'épuisent pour payer l'intérêt des dettes
contractées par les gouvernements, les capitaux et
l'activité sont détournés du champ de l'industrie,
et sont appliqués à un jeu immoral, autorisé,
secondé partout, sans qu'on semble même s'apercevoir
combien il est desséchant et ruineux pour l'industrie.
Aux causes que je
viens de signaler plus haut de la détresse de l'empire
britannique, et au mal que l'agiotage a causé au corps
commerçant et industriel, je dois en joindre d'autres qui sont
trop graves, qui ont été trop funestes au pays, pour
qu'il me soit possible de les passer sous silence.
Je vais parler des
combinaisons maladroites qui ont eu lieu entre la banque d'Angleterre
et le gouvernement.
Un membre de la
chambre des communes ( qui n'a pas été démenti) a
cité les faits suivants, dans la séance parlementaire du
20 février.
Il dit qu'une masse
de billets de l'échiquier, de 18 millions sterling, au mois
d'octobre dernier, s'était accrue, en février suivant,
jusqu'à 26 millions ;
Que ces billets,
perdant 45, étaient remontés au pair, et que
bientôt après ils avaient perdu 25;
Que le gouvernement
avait jeté sur la place, tout à coup, 4 ou 5 millions
d'effets, puis qu'il les avait retirés ;
Qu'il avait
autorisé la banque à acheter pour 2 millions sterling de
ses effets ; ce qui l'avait privée d'une partie de ses
ressources au moment de la détresse ;
Que lorsque le change
était contraire au pays, le gouvernement retirait ses effets, et
qu'il les remettait en circulation lorsque le change était
favorable, etc.
L'orateur a conclu de
ces faits que ces fausses et arbitraires combinaisons produisaient les
résultats les plus désastreux dans les fortunes
particulières.
Il a reproché
au gouvernement d'avoir autorisé la banque à avancera une
seule maison un ou deux millions sterling, et beaucoup d'autres sommes
à d'autres maisons, pour leur donner les moyens de contracter
des emprunts au-dehors ; ce qui avait privé le pays d'une
grande quantité de numéraire.
Il a ajouté
qu'en se concertant avec la banque pour faire tomber
l'intérêt de l'argent à un taux vil ( 2 ou 2 &
1/2 ) , le gouvernement avait autorisé et excité les
spéculations sur les emprunts étrangers, et dans les
entreprises folles dont j'ai parlé plus haut, par l'appât
que présentaient aux prêteurs ou aux actionnaires
l'intérêt et les bénéfices immenses qu'on
leur promettait.
Effectivement la
folie des spéculations, et la secte des aventuriers de bourse,
ont commencé à se montrer au mois de décembre
1823, et l'orateur a fait suivre le compte ci -dessous des emprunts de
1824 et de 1825.
Emprunts de
1824 : 25,200,000 livres sterling
Emprunts de 1825 : 15,469,000 livres sterling Total des deux
années : 40,669,000 livres sterling
Le montant actuel des
effets étrangers possédés par l'Angleterre est de
33,769,671 livres sterling.
La perte qu'ont
éprouvée ces effets, en comparant leur valeur
décroissante à celle qu'ils avaient au moment de la
première vente, a été de 6,496,295 livres et elle
était, le 19 février, de 9,796,440 livres.
Voici ce qu'a dit
l'orateur sur les associations pour les mines du Nouveau-Monde.
Les actions de
plusieurs compagnies, qui se sont vendu à 500 I., à 600
l. et plus au-dessus de leur première valeur, sont
tombées au-dessous du pair, et même ne trouvent pas
d'acheteurs.
L'orateur estime
ainsi l'excès des importations : Coton 330,000 balles.-
Soie 1,600,000 l. pesant. - En café, en objets de teinture, en
bois de charpente, en laine, en vins, etc. 1,300,000 livres. - Montant
estimé à une valeur non vendue de 6 millions sterling.
L'orateur fait la
récapitulation suivante des valeurs, ou du numéraire
exportés : Emprunts 8,125,753 livres - Mines et projets
aventureux 3,097,000 livres. - Excès des importations 6,000,000
livres. - Pertes de 10% sur (estimées 36,000,000) 3,600,000
livres. - Total 20,822,753 livres dont le pays s'est follement
dépouillé.
Qu'on juge quels
produits fussent sortis de cette masse énorme de capitaux, si
elle fût demeurée à la disposition de
l'industrie !!!
Cependant, comme on
n'a pas payé plus de 4 % sur les actions des mines ; comme ce
paiement ne s'élève qu'à 5,097,000 livres. Enfin,
comme la sortie et l'emploi réel au dehors n'ont pas
excédé la moitié, l'orateur n'estime
l'exportation, de ce côté, qu'à 1,647,000 livres.
Mais il a ajouté qu'il y avait aujourd'hui une diminution dans
le prix des marchandises de 41,000,000 de livres environ. On voudra
bien observer que je ne suis ici qu'un citateur. Je rentre dans mes
propres calculs. Maintenant, cherchons quelles seront les pertes
réelles de la Grande-Bretagne.
Elles seront grandes,
sans doute, ces pertes ; car une immense quantité de
produits sont déjà perdus, ou le seront durant une
année, par la diminution du travail, de la fabrication, de la
consommation ; et il serait difficile de déterminer
l'énormité de cette perte, qui ne sera pas sentie
uniquement par les Anglais, comme le temps le prouvera à tous
les peuples chez lesquels ils font des achats.
Ce qu'on peut
assurer, c'est que, non seulement l'Angleterre ne dépassera pas
lés bornes qu'elle avait atteintes, au moment où la crise
est survenue, mais qu'elle reculera peut-être même
beaucoup, et qu'elle sera heureuse, si dans deux ans elle se retrouve
au même degré où elle était au moment
où elle s'est arrêtée. Mais cette décadence
ne sera qu'instantanée. Car il n'est pas un intérêt
individuel ou partiellement public qui ne soit en union avec tous les
autres pour réparer un mal qui est l'ouvrage de la nation
elle-même ou de quelques individus qu'on ne peut
soupçonner dans leur patriotisme.
Certes, les
infortunes de la France à une époque récente
furent bien plus grandes que celles qu'éprouve l'Angleterre, des
ennemis croyaient l'avoir réduite pour toujours à
l'état cadavéreux. La France était loin de
posséder les ressources de tout genre et d'être unie comme
l'Angleterre par le lien des intérêts communs. Cependant,
elle n'a pas tardé à sortir grande et forte de
l'abîme où l'on croyait l'avoir enfouie pour jamais.
Voilà les
forces vitales des peuples et leur énergie indestructible.
Comprimées, paralysées, détruites même sur
quelques points, elles éclatent et se montrent sur
d'autres ; et ceux-là raniment toutes les parties qu'on
croyait frappées de mort.
Que ceux qui seraient
assez aveugles pour sourire au malheur actuel de la Grande-Bretagne
calculent les funestes suites qu'il aura pour les commerçants et
les capitalistes étrangers, et ils ne tarderont pas à
s'apercevoir quelle union existe dans le grand ensemble social, entre
les intérêts (les plus opposés en apparence)
des nations.
Avant la crise, les
vendeurs accordaient de longs termes aux acheteurs, et avec l'aide des
banques on faisait de grandes et belles affaires, sans avoir des
capitaux très considérables. Or, ces facilités si
fécondes sont retirées au commerce, et il ne les
recouvrera que progressivement. Il serait inutile d'expliquer les
conséquences.
Quant à la
ruine réelle, sous le rapport des capitaux, elle
s'élèvera,
1° À la
faible somme de l'intérêt des emprunts, que le pays aura
été obligé de faire au-dehors durant la grande
crise ;
2° Au montant des
fonds perdus avec l'Espagne, ou dans quelques mines d'une existence
purement chimérique ; car les autres récompenseront
les actionnaires, et la propriété des emprunts remplis en
Amérique, ou sur le vieux continent, demeure à
l'Angleterre.
Presque tous les
capitaux nationaux existent donc toujours, quoiqu'ils aient change de
mains. Ils sont encore resserrés ; mais lorsque la
confiance sera rétablie, on les verra affluer comme avant la
catastrophe ; et il est certain que les fabricants honorables,
estimés, habiles, qui sont tombés ou qui tomberont sous
des coups impossibles à prévoir, recouvreront leur
crédit, et qu'ils retrouveront les fonds nécessaires pour
reprendre leurs affaires. Il est certain que ceux-là seuls
seront abandonnés à leurs propres ressources, qui ne
méritaient que peu de confiance avant leur faillite. L'esprit de
famille, les liaisons d'amitié, et plus encore les besoins, les
habitudes du commerce viendront au secours des maisons
renversées ; et si les bénéfices particuliers
des dernières sont moins grands, les bénéfices
nationaux se renouvelleront tels qu'ils étaient.
Au reste, il est
très remarquable que le nombre des fabriques ruinées, est
infiniment moindre que celui des banques et des tripoteurs de
bourse : ce qui prouve encore que c'est dans l'industrie que se
trouve la véritable force sociale d'un état, puisque
c'est l'industrie qui résiste le mieux aux plus terribles
catastrophes. Enfin, il est certain que les capitalistes peureux ou
dénaturés qui ont enfoui leurs fonds ne tarderont pas
à s'ennuyer de n'en tirer aucun produit, et qu'ils les offriront
aux seuls hommes capables de les utiliser, aux hommes industrieux.
Les discussions
parlementaires, les bills convertis en lois, toutes les savantes
théories, toutes les plaintes et les accusations, ou les
récriminations lancées de part et d'autre dans les
chambres, n'auront servi qu'à agrandir, qu'à
généraliser le cercle des réflexions
économiques. On ne peut pas même espérer qu'elles
rendront la nation plus sage, puisque déjà elles avaient
eu lieu plusieurs fois sans fruit depuis quarante ans ; et les
beaux discours, les décrets du parlement, ne serviront pas plus
à la guérison du mal, que ne sert le cautère sur
une jambe de bois (qu'on me permette cette comparaison un peu
familière).
Ce ne sont ni les
lois, ni les harangues parlementaires qui ont créé
l'industrie ; elles n'ont consacré que les impôts,
que les mesures prohibitives, et le monopole, qui devait la paralyser;
l'industrie ne doit et ne devra jamais ses prospérités
qu'à elle-même, et on pourrait dire que c'est en
dépit de ceux qui se présentent aujourd'hui comme ses
médecins ou ses protecteurs, qu'elle a conquis ses
richesses : témoin l'énormité des taxes, et
le prix excessif du pain, du thé, etc., etc., qui portent si
haut la valeur de la main-d'œuvre.
Tout ce que demande
l'industrie aux législateurs, c'est de la laisser opérer
avec le moins d'entraves possible ; c'est de ne lui pas faire de
mal.
Conclusion: Quoique
quelques-uns de mes lecteurs, en se rappelant ce que j'ai dit des
miracles de l'industrie britannique, aient pu me nommer un enthousiaste
d'écu, en voyant combien la catastrophe était voisine de
l'époque à laquelle je publiais mes assertions ;
toutefois, je n'en retrancherai rien, et je pense qu'après avoir
pesé les diverses considérations que je viens
d'établir, tout le monde ne dira pas que les motifs me manquent.
J'ai
abrégé autant que je l'ai pu cet article, afin de ne pas
demeurer trop longtemps absent du champ de l'industrie qui
opère ; mais j'ai cru indispensable d'éclairer
l'origine et les suites d'une crise qui se fera sentir sur le
continent, et d'avertir ceux qui vendent à l'Angleterre que la
prudence, que la plus grande circonspection leur seront encore
commandées pendant quelques mois, ou peut-être pendant une
année. Le mois de juillet approchant, et un grand nombre de
fabricants étrangers se disposant peut-être à
importer leurs soieries, etc. en Angleterre, j'ai regardé comme
un devoir de leur découvrir la plaie actuelle de ce pays.
Charpeney Directeur du Journal hebdomadaire des arts et métiers 1826 P.S. Celà vous
rappelle t'il quelque chose?
|
Encore une meunerie de moulée
animale qui brûle, la seconde en 1 mois.
Que se
passe t'il donc pour le klondike du cochon?
D'une part, il faut
savoir que la consommation du porc était abhorrée par les
anciens. Encore aujourd'hui les musulmans ne consomment aucun porc,
animal qu'ils considèrent comme impur et impropre à la
consommation. Bien que le simple d'esprit voudra absolument y voir une
tirade religieuse, il n'en est rien.
Avant la venue des
antibiotiques et autres médicaments modernes, consommer du porc
s'avérait être un risque important pour la santé.
Animal qui vit dans ses fanges, le porc transporte souvent des
parasites et d'autres maladies irréconciliables avec une
époque, qui ne possédait pas notre quincaillerie
industrielle moderne.
Faute de
posséder le savoir nécessaire, les anciennes
sociétés de la planète réfugiaient ces
connaissances dans un fourre-tout appelé « religion»,
qui visait essentiellement à protéger un acquis de
connaissances pour les générations futures, celles qui
oublieront nécessairement les petites failles, souvent
utilisée contre le peuple par les puissants de la
planète.
Tant que nous
possédons les médicaments, tout va.
D'autre part, nous
nous dirigeons vers un monde « vert ».
Alors qu'un pouvoir
environnementaliste populaire n'a jamais pu trouver sa place dans le
dernier siècle malgré toutes les cochonneries
injectées dans l'atmosphère par les puissants ;
alors qu'il n'a jamais pu trouver sa place lorsqu'ils
décidèrent d'imposer à la société un
monde de plastique obligeant à grands frais sociaux, la mise en
place de toute une industrie de récupération ; sous
le faux prétexte de « réchauffement
climatique par les gaz à effets de serre », ils
sont aujourd'hui capables d'imposer au citoyen un fardeau financier,
sur des causes qui n'existaient même pas il y a de cela un quart
de siècle. Un mouvement provoqué si puissant, que la
société même commence à policer sa
population par des forces dites « vertes ».
Aujourd'hui, tout ce
qui pète ou crache une pollution quelconque, se retrouve sous la
mire des environnementalistes. Le peuple ne décide de rien,
sinon les plastiques n'auraient jamais pris pied dans notre
société.
La gestion du peuple
est une science élaborée depuis la nuit des temps.
Pourquoi un quart de
siècle ? Parce que c'est le temps que ça prenait
pour tourner la pollution à l'avantage des mêmes
puissants, qui ont toujours dirigé notre société
depuis la nuit des temps. La même stratégie qu'ils
utilisèrent pour faire imposer par des lois les systèmes
antipollution des moteurs à essences.
Gardons à
l'esprit, que la consommation moyenne des véhicules en 2008
était de 20 milles par gallon, alors que celle de la Ford T de
1908, était de 24 milles par gallon. Un bien petit gain pour le
peuple, mais des avantages incalculables pour les puissants.
Du même ordre,
sont les porcheries. Existe t'il plus polluant que les porcheries? Sous
le feu constant de la critique pour la pollution occasionnée,
les permis de construction pour des nouvelles porcheries continuent
pourtant d'être distribués comme des billets de
cinéma.
Soumise à
cette critique incessante, la vie des porcheries ne tient qu'à
la puissance verte. Elles continueront de se construire, mais viendra
un moment où la police verte gagnera en puissance et
éventuellement, il ne s'en construira plus.
Tant qu'il y a
équilibre, il y a équilibre et personne n'est
menacé. Mais l'équilibre n'est simplement pas au
rendez-vous.
Les porcheries
brûlent à qui mieux mieux, une véritable
débandade !
Bien que les chiffres
ne soient pas précis avant la période 2004, il y a eu
moins de deux feux de porcheries par an, dans la période
située entre 1998 et 2006. En 2007, la situation change et nous
passons à une moyenne de 9 pour les années 2007 et 2008.
Voilà
que pour janvier et février 2009 et en dépit du fait que
ce n'est pas la saison critique, nous en sommes déjà
à 6 incendies de porcheries. En extrapolant le résultat
pour l'année 2009, nous arrivons à un total de 36
incendies de porcheries.
Je vous
fais grâce des chiffres concernant les étables de
bovidés, ainsi que les mêmes données concernant les
porcheries du reste du Canada ou de l'Europe, qui apparaissent tout
aussi importants.
Il faudra
nécessairement qu'un jour ou l'autre, les « lologues »
se penchent sur la question !
Indice : Toit d'acier ! Mais qui suis-je donc
dans tous ces millions !
|
Infos
supplémentaires
La Galilée -
Galles, était la Galatie, terre des Gaulois. Elle était
en Amérique.
Extrait de : "Res suo
ævo gestas memoriæ" une traduction de Carl Gust Schultz ab
Ascherade
Dans ce document, la
ville de Québec peut y être trouvée sous le nom de
« Québecum ». Ce document est de plus, un
excellent outil pour aider à déterminer les anciennes
cités du Québec. Ce guide comprend tous les
archevêchés qui ont existé depuis approximativement
le dernier millénaire.
La carte de Peutinger
est aussi un autre excellent outil.
En plus de Quebecum,
la ville de Québec fut aussi appelée Lyon, Laon, Gernabum
ou Cernabum.
-Saint Ambroise
était appelé Ambroise
-Saint Charles de
Bourget était appelé Bourges
-Saint Jean des piles
était appelé Piles cinq mars
-Saint Canut
était appelé Cana
-La rivière
Jacques Cartier, qui descend de Loretteville et qui passe près
de la ville de Québec était appelée la Loiret
-Boischatel
était Boie territoire des Boiens, endroit ou Vercingetorix s'est
soumis aux Romains et maintenant site d'un terrain de Golf.
Un « Stonehenge » de 5000 ans découvert en Alberta À
l’époque romaine nous étions la plèbe. La
plèbe n’était pas le peuple, elle signifiait
« la clientèle ». La
« nobilis » ou noblesse était un parti
politique à l’accès restreint, dont les
privilèges se voyaient transmis par
hérédité. Gurdjeff disait :
« Sur la planète, rien n’a changé depuis
200 siècles. » En voici la preuve pour les 20
derniers siècles. Simple,
de l’ancienne Grèce à l’orée du 20ième
siècle, la civilisation n’a pas évolué
d’un iota. http://dagr.univ-tlse2.fr/sdx/dagr/feuilleter.xsp
Une
véritable bible de la vie romaine et grecque. Un bijou à
être dévoré. On y apprendra entre autres que les
mécanismes du type « Antekythera »
étaient bel et bien connus
Un document de la science
hermétique Rosicrucienne qui fut publié en 1785. Il donne
une description sans pareil du fonctionnement de l'univers
éthérique, de l'astro-climat et du calcul des cycles. Un
outil d'une grande qualité. À
télécharger.
|
Question
quiz : La langue anglaise fut composée de toutes
pièces au tournant du dernier millénaire. Mais d’ou
vient la langue française ?
La
« lingua franca » ... Meso... ?
Pour comprendre l’ancienne
histoire de la planète, et la situation du paradis terrestre, un
indispensable.
L’Ile
d’Ellesmere - Ellesmere – île mere.
Les
changements climatiques repoussant l’humanité vers
l’équateur, c’est autour de cette terre et mer, que
le tartare s’est développée. Le Grand Nord Canadien est au coeur
de la très ancienne histoire de l’humanité.
L’Assyrie – La Chaldée – l’Akkadie - « Mesopotamie » Millieu Maintenant que le paradis terrestre est bien situé, voici l’ancienne histoire des amériques : http://www.archive.org/details/sacredbooksearly07hornuoft Les Nations Unis remettent en question l'importance de l'homme, comme cause principale du réchauffement climatique. Ouais, bon... mais si ce n'est pas due au climat, c'est due à quoi?? Ça, ils ne le vous diront jamais.
La fin du
réchauffement climatique planifié? Un cheminement
critique du climat et de la guerre pour les 40 prochaines années
en provenance du CFR. Intéressant? Un document qui fait non
seulement mention des guerres à venir, mais de la restauration
d'un climat stable. L'échelle de temps concernant le climat
est déformée et les dates anticipées doivent
être divisées par 10 pour donner une bonne perspective.
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La langue de bois
scientifique."S'il y avait eu
une civilisation avancé avant nous sur la planète, il y
aurait des livres, ou sont les livres?"
Curieusement, cette
réponse sera uniforme à travers le monde scientifique de
l'ouest. Elle semble très raisonnable dirait-on. Mais les livres
n'ont pas une durée de vie de 3000 ou 4000 ans et ce fait rend
une telle question caduque et une telle réponse, insignifiante.
À l'inverse, un tel point de vue supposerait que la
découverte d'une quelconque librairie antique, serait la preuve
qu'une telle civilisation a existée. Catch22! Une impasse? Oui dans la mesure ou toutes les
librairies antiques retrouvées, contenant des livres de
métal, furent vraiment des faux.
Le Pentagone dit à Bush : « Les changements climatiques vont nous détruire » Ce rapport secret du Pentagone est le dernier sur la façon de préparer l’Amérique pour la venue de l’Armagedon climatique. Un Pentagone qui n’utilise pas le mot " réchauffement climatique ». Mais qu’a donc Bush derrière la tête lorsqu’il choisit de ne pas supporter le protocole de Kyoto. « Bush émet ses propres doutes concernant la validité scientifique du réchauffement au CO2 causé par l’homme. » - Bush convient
lui-même que son équipe et lui possèdent des
réserves, quant à la cause réelle des
« changements climatiques ».
- Du même jet,
on découvre sur des documents en provenance du Pentagone et
classés top secret, un scénario décrivant des
évènements quasi apocalyptiques, débutant
violemment en 2007. Date jugée ridicule encore aujourd'hui.
Selon le Pentagone,
ce n'est qu'un scénario de travail.
Un scénario de
travail... secret...
Le Dr Andrei
Illarionov, conseiller économique du président russe
Vladimir Poutine, dénonce l’idée que l’homme
puisse être la cause d’un quelconque réchauffement
climatique. Les multiples interventions du Dr Illiarionov
établissent avec fermeté la position de la Russie
concernant les causes de la crise climatique : une variation
cyclique et naturelle. Il mentionna au journaliste du Guardian : « Le Président
Poutine a reçu beaucoup de pressions pour signer l’entente
du protocole de Kyoto et la Russie l’a fait parce que nous aimons
être amis de l’Europe et non parce que l’ont croit
dans la science du changement de climat. » « Plus de 3 milliards de personnes,
la moitié de la population mondiale, seront dans des pays aux
prises avec d’importantes pertes en agriculture et faisant face a
la famine. » Cette dissidence sur les causes de la crise
climatiques doit nous mettre la puce à l’oreille. ELLE
N’EST PAS SANS RAISON, les Russes ne sont pas des
imbéciles, bien au contraire.
Quelle est
donc l'intrigue derrière ces grands nuages qui mesurent parfois
des dizaines de kilomètres de long?
Ou ce film
laiteux qui couvre le ciel durant de longues journées?
Un
élément clé à considérer. (En anglais)
L’introduction
de la Chine dans l’arène
internationale ne laisse pas indifférent. Le nouveau joueur
ressemble de plus en plus à un jeune gorille en rut de 400 kilos
qui sait faire porter sa voix.
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