La santé, c'est
l'énergie. Avec l'énergie, les maladies disparaissent, les soucis s'effacent et
la vie devient lumineuse.
Je n'ai aucune connaissance sur le sujet de la
santé, autre que d'avoir pu identifier une lignée de symptômes cycliques assez
courants et une cause qui était bien connue des anciens, mais qui fut
complètement laissée à l'écart de la science populaire moderne.
Il y a de l'électricité dans votre corps. Cette
électricité n'est pas le sous-produit de l'activité d'une chimie quelconque,
mais la base, l'énergie essentielle au fonctionnement biologique. Si vous
vivez, c'est précisément parce que votre corps reçoit, manufacture et emmagasine
suffisamment de cette énergie électrique sous une forme ou une autre pour vous
permettre de vivre.
Mais les choses
vont bien au-delà de faire fonctionner la pompe à sang.
Cette électricité provient principalement de deux
sources. Les électrolytes qui sont contenus dans la nourriture que l'on ingère
et le mouvement des fluides de notre corps.
Un électrolyte est essentiellement un produit
occasionnant un débalancement chimique qui aura comme conséquence de se
métaboliser sous forme d'électricité. Les électrolytes nécessaires à une
production d'électricité sont contenus dans la nourriture vivante et dans l'eau
de qualité. Ces produits sont acheminés à tous les coins du système
biologique, où ils sont stockés par les cellules et le sang en fonction d'un
usage éventuel. Au besoin, la cellule qui devra augmenter la cadence pourra
utiliser ces matériaux pour créer plus d'énergie, nécessaire à accroître les
échanges avec les cellules à proximité ou augmenter celles avec le réseau
sanguin. C'est cette électricité qui cause la contraction des cellules
musculaires et qui permet aux cellules du cerveau de communiquer entre elles.
L'air qui pénètre les poumons, les liquides qui
coulent dans l'estomac, l'urine éjectée de notre vessie, le sang qui parcourt
nos artères et le mouvement du liquide intérieur des milliards de cellules qui
composent notre corps sont cette autre source, le mouvement des fluides. Chaque
fois qu'un liquide est bougé d'une façon précise, comme celle offerte par les
réseaux biologiques internes, il produit une petite charge d'électricité
statique qui est ensuite accumulée dans le système. La quantité d'électricité
produite de cette façon est déterminée par différents facteurs environnementaux
comme la terre où l'on demeure, ou encore la proximité d'une chute qui accroit
la présence de cette énergie, ou celle d'une ville qui la détruit par son réseau
de câblages électriques qui les emmaillent.
Sur la terre (*), les circonstances
ne sont pas très bonnes et le rayonnement nécessaire à la production de cette
énergie ne nous parvient qu'en faible quantité. Comme l'échange sanguin possède
une capacité limitée, nous arrivons assez rapidement à la fin de nos réserves
lorsque la demande est importante. C'est alors la fatigue, le premier
avertissement qu'il n'y a plus suffisamment d'énergie pour le système et que
cette énergie sera dorénavant conservée pour des tâches essentielles comme faire
battre le coeur et faire fonctionner les poumons, dont le mécanisme a comme
conséquence de produire cette électricité, pendant que le reste de la mécanique
corporelle est paralysée dans une torpeur sans mouvement évitant toute dépense
énergétique, le sommeil. *) Cette parenthèse concernant la terre provient
des anciens auteurs.
Conserver le même rythme d'activité sans se
préoccuper de cet avertissement aura une influence sur notre vitalité et sur
notre humeur. Elle sera visible dans les raisonnements qui auront moins
de profondeur. Le plus bel exemple est certainement le jeune enfant fatigué.
La fatigue est l'indicateur que les cellules ne
reçoivent plus suffisamment d'énergie du système sanguin et qu'elles passent sur
leurs réserves personnelles d'électrolyte pour être à même de poursuivre la
tâche excessive demandée. La
conversion de ces électrolytes en format électrique utilisable n'est pas une
énergie aussi facilement accessible et demande un effort plus important.
Lorsqu'il y a retour à la normale cette banque d'énergie doit être reconstruite.
Une tâche facile lorsque l'organisme est jeune et débordant de vitalité, mais de
plus en plus ardue et longue au fur et à mesure de l'avancée en age.
Un dépassement répété des limites aura comme
conséquence de dilapider la réserve d'électrolyte un peu plus chaque jour, pour
finalement laisser des cellules constamment affamées de cette énergie et
toujours à la merci de choix favorisant une utilisation judicieuse de l'énergie
disponible.
Pour le corps,
l'ordonnance de passer au mode électrolyte et de s'y maintenir ne peut se faire
que sous le coup d'un stress important, occasionné par une situation aux
incidences capitales. Bien que de tels effets devraient être réservés à des
situations de grande importance comme celle menaçant la vie par exemple,
l'éducation nous a appris qu'elles pouvaient survenir aussi pour des causes
artificielles, comme le manque d'argent, la suresponsabilisation, la peur de ne
pas être à la hauteur ou la menace de perte d'emploi.
Lorsque cette ordonnance survient, la machine
corporelle comprend que la situation est urgente, que ce n'est pas le moment de
réclamer du repos et elle travaillera sans relâche à la cause. À partir de cet
instant, la fatigue ne sera plus un avertisseur et même dormir devient une
entrave. Le corps humain qui poursuit dans cette voie se butera éventuellement
sur une grande lassitude et dans l'incapacité de réfléchir autrement qu'à
tourner mentalement en rond. Les réflexes seront lents, l'humeur émotive et les
raisonnements très courts. Le corps sera constamment à la recherche de cette
énergie qui se traduira par une consommation excessive de nourriture, de sucres
ou de stimulants. La personne affectée tendra à développer des manies ou des
comportements obsessionnels, qui seront difficiles à niveler par la
suite.
À la longue,
devant le manque incessant, des électrolytes nécessaires à la construction long
terme de l'édifice corporel seront relocalisés à l'effort courant, occasionnant
des carences qui entraveront le bon fonctionnement et la croissance de
l'organisme, laissant apparaitre de grandes vulnérabilités aux maladies.Une catégorie d'individus particulièrement
sensibles aux variations de cette énergie développera de nombreux symptômes
passagers. Maux de tête,
étourdissements, cillement d'oreilles, flash lumineux, intolérance à la lumière,
intolérance aux bruits, maux de dents, maux aux articulations, irritabilité,
difficulté de digestion, tendance à la déprime, crise panique, sont tous des
symptômes qui peuvent apparaître à ces périodes.
C'est par ces charges électriques que les
pathogènes sont contenus à l'extérieur du corps et que le développement de ceux
contenus dans le corps est inhibé. Les
pathogènes existent partout, tout le temps, mais ils ne peuvent se développer
que dans un milieu propice et ce milieu ne devient propice qu'à l'instant ou
cette énergie est à son plus bas.
La journée, la
semaine, le mois, l'année sont des périodes qui ont toutes été développées par
les anciennes générations pour faire apparaitre ces périodes, dans lesquelles le
rayonnement propice à la formation de cette électricité variera selon une
même courbe. Ces périodicités furent bien ancrées dans les religions avec cette
fameuse semaine de Dieu qui se repose après la création de la terre et de sa
faune. Une périodicité similaire fut soulignée avec le Christ qui est crucifié
le vendredi et renaît le dimanche. Les calendriers populaires possédaient tous
des façons de remarquer les pointes néfastes et celles bénéfiques occasionnées
par ces périodes.
Pour mieux
comprendre, chacune de ces périodes de temps peut être divisée en 4 parties,
les deux premières recevront une bonne part de ce rayonnement, la troisième sera
une période faiblement irradiée et la dernière n'en recevra pas et la production
d'énergie devra se reposer sur la conversion d'électrolytes. Sur l'échelle
des 24 heures d'une journée débutant à minuit, la période s'échelonnant de 4
heures pm à minuit sera la moins confortable. De la même façon le vendredi et le
samedi de chaque semaine, les dernières journées du mois et la période d'octobre
et novembre de chaque année sont des périodes affectées par le manque de ce
rayonnement. Des calendriers sacrés de
diverses religions indiquent ces mêmes creux sur des périodes beaucoup plus
longues comme le millénaire.
Il faut ajouter
à ces cycles de temps un autre cycle, mais qui cette fois concerne chaque
individu et qui se déroule comme un long ruban depuis notre conception ou notre
naissance. Ce cycle s'orchestre de la même façon et ajoutera sur le lot un cycle
de biorythmie personnel, qui pourrait être dites une aptitude variable à
échanger avec notre environnement.Lorsque des crêtes de ces cycles se chevauchent,
c'est l'allégresse, la vie est facile et les oiseaux gazouillent. On aime tout
le monde et les préoccupations s'effacent. Lorsque des creux se chevauchent,
l'harmonie disparaît et le goût de poursuivre s'effondre brutalement. Le sommeil
devient plus difficile et tout est objet de préoccupation. En dépit de tous nos
efforts, les relations avec les autres sont plus tendues et le monde l'univers
et le reste nous irritent profondément.
Novembre, le mois
des morts.
C'est pour cette raison que les mois de l'automne sont si
difficiles à aborder. Il n'y a qu'à songer à la récurrence des grippes et des
rhumes, à l'apparition des nouvelles maladies qui affectent la planète en
vagues. C'est pour cette même raison que des évènements sérieux, d'ampleur
nationale ou internationale, surviennent dans ces périodes. D'une part, les
individus affectés sont plus susceptibles d'établir un raisonnement aride et
court, ouvrant la porte à une action précipitée. D'autre part, l'oligarchie
connaissant la valeur de ces périodes et constamment à la recherche de
controverse, profite du moment pour réaliser les exactions et les grands méfaits
populaires comme le 9-11, Pearl Harbor ou la nuit de Cristal, qui se sont tous
produit dans cette période.
Même
sans connaître les périodicités précises, la simple confection d'un bilan
quotidien de l'équilibre optimisme-pessimisme personnel sur une période
suffisamment longue démontre clairement la présence de ces cycles qui ont été
galvaudés dans tous les sens pour des raisons que nous connaissons maintenant.
Abordé de la même façon dans une famille ou un groupe, cette façon de
faire permet d’huiler les engrenages en cartographiant les forces et les
faiblesses dans le temps, rendant prédictible les périodes de vulnérabilités de
chacun.
Ces résultats ne
relèvent pas du hasard et comme ces cycles possèdent des périodes régulières ils
sont tout à fait prédictibles sur papier dès que votre date de naissance est
connue et permettent de déterminer à l'avance vos mauvaises et bonnes périodes.
Vue de cet angle, la date de naissance constitue une révélation détaillée d'une
facette importante de votre personnalité. Elle en devient un objet extrêmement
personnel et un outil extrêmement vicieux. En plus de la filiation génétique et
du nom de la ville où vous êtes nés, elle est la seule information factuelle qui
vous suivra toute votre vie et qui apparaitra dans tous les numéros
d'identification importants qui vous auront été attribués au cours de votre
vie.
En
décortiquant ce savoir, nous demeurons avec quatre grandes causes susceptibles
d'influencer la production de cette électricité.
Les circonstances
célestes.
Les
circonstances célestes imprimeront plus ou moins puissamment cette radiation
dans le sol. À ceci, il faut ajouter les circonstances terrestres, l'endroit ou
l'on vit puisque l'impression au sol de cette radiation céleste est inégale.
Sa distribution et sa qualité n'affecteront pas la surface de la planète
de la même façon. Les circonstances célestes s'impriment selon une cadence et un
alignement alliant le passage de la lune, du soleil et du fond de l'univers.
Comme les cycles de la lune ne se bouclent pas toujours au même endroit du ciel
et qu'elles avancent à chaque fois, chaque passage de la lune se fera en
alignant différentes constellations au sol, lui communiquant
des caractéristiques singulières qui s'impriment dans une longue trace enserrant
la terre dans une spirale ou le serpent des anciens.
Comme la variable
céleste est transmise dans la couronne des astres et principalement dans celle
du soleil. Elle sera à son plus fort dans la lumière de l'aube pour
disparaitre avec le lever du soleil et finalement réapparaitre faiblement à
l'aurore. Ce rayonnement sera le plus pauvre au moment de l'automne et le plus
riche au moment du printemps, il est la cause de l'automne et du printemps. Une
exposition au rayonnement des matins d'automnes ne communiquera pas la même
vitalité que celui des matins de printemps. Une cédule prévenante devra donc
nous faire fuir les uns et courir les autres.
D'un effet assez immédiat,
une partie de ce rayonnement est transmis au cerveau à travers les globes
oculaires et possède une influence qui se manifestera assez rapidement sur
l'humeur. La personne affectée positivement se verra propulser par une énergie
nouvelle lui communiquant une motivation nouvelle et rafraichissante, un
véritable printemps personnel. Fleur en bouche, tout est beau, tout est facile.
À l'inverse, un rayonnement d'automne fera ressortir une personnalité acariâtre
et vindicative, préoccupée à l'obsession par des détails qui seraient autrement
jugés insignifiants. En accroissant l'activité au travail sous différent
prétexte au cours de cette période, les périodes critiques affectant plusieurs
personnes à la fois se fonderont dans le stress général.
De la même
façon, la lune et les autres planètes influent aussi, mais plus faiblement et
avec des caractéristiques légèrement différentes. La somme de ces influences
communiquera à la terre un équilibre dépression-excitation que tous
ressentiront à divers degrés.
Bien que généralement équilibré, il arrive
que la somme de ces influences prenne une direction ou une autre et affecte tout
le monde.
Le dynamisme des fluides
corporels.
La
chaleur n'apporte pas la santé.
La portion des arbres la plus saine et
la plus forte, celle qui possède la meilleure constitution, est celle qui est
située au nord, à l'opposé du rayonnement solaire.
À cause de
l'exposition à la chaleur du soleil qui s'en retrouve réduite, la température
interne de cette partie de l'arbre possèdera la plus grande quantité de
variations d'un extrême de température à l'autre au cours de la journée.
C'est cette variation de température rapide du derme qui fut appelée «
peristasis » et « anteperistasis », des mots qui identifiaient ce mouvement
cyclique de température à la surface d'un corps, à l'origine de la tension des
fluides.
De la même façon chez l'homme le dynamisme est intimement lié à
la température extérieure auquel le corps est exposé. Ces variations activeront
la circulation, la respiration, la production d'urine. Chemin faisant le
mouvement de ces fluides dans la tuyauterie corporelle qui possède la propriété
de respecter certains attributs de forme, activeront la production d'électricité
statique bénéfique.
Boire beaucoup d'eau très froide dès le matin au
réveil. En prendre jusqu'à accroitre le rythme urinaire de la journée.
Prendre le temps de respirer à fond au cours de la journée. Prendre de
grandes inspirations en ressentant l'air pénétrer les poumons. Une mauvaise
respiration comme celle occasionnée par le ronflement nocturne ne procure pas un
mouvement des fluides efficace et ne fera qu'accentuer la fatigue.
Ce
sont ces mêmes variations qu'il faut rechercher dans l'activité physique.
Une activité courte et rapide pratiquée à intervalles apportera beaucoup plus de
bénéfices au regard de l'énergie dépensée, que le marathon de New
York.
Le dynamisme corporel peut être accentué par certaines pratiques.
La marche pieds nu sur la terre, sur le gazon humide de
l'aube ou dans la neige fondante, ajuste l'équilibre électrique du corps à celle
de la terre et aplani les variations personnelles. Pour les mêmes raisons, il
est préconisé d'utiliser des chaussures à la semelle de
cuir.
Demeurer debout avec de l'eau très froide jusqu'aux
genoux 15 minutes par jour, accroitra la pression sanguine et aura des effets
très bénéfiques.
L'eau, l'air et la
nourriture.
Mon corps est un temple et je n'y
place que du sacré.
L'eau,
l'air et la nourriture contribuent à varier cet apport. Tout comme des produits
santés et frais peuvent l'améliorer, des produits de consommation évidés de leur
vie, ne contribuent qu'à satisfaire le besoin élémentaire et n'ajoutent rien.
Une mauvaise qualité d'approvisionnement obligera la mécanique à travailler plus
fort encore pour obtenir de maigres ressources, se traduisant par une dépense
d'énergie, engageant une spirale déficitaire.
Manger une nourriture
vivante contribue à se réapproprier une partie de cette énergie déjà métabolisée
par un tissu vivant.
Soigner son eau, c'est ajouter 10 années à sa vie.
L'eau devra être d'une bonne qualité. Une bonne source d'eau est le
meilleur endroit pour s'approvisionner. L'eau y est refroidie depuis longtemps
et elle a bénéficié d'une course très enrichissante en énergie avant de sortir à
l'air libre et à la lumière. Sans traitement, elle est l'eau la plus
nourrissante.
Un puits constitue généralement une bonne source d'eau de
qualité, viennent ensuite l'eau de pluie et l'eau de lac ou d'aqueduc. Au
contraire de la source, ces eaux, même si elles sont propres sont demeurées
statiques et ne possèdent pas cette charge d'énergie. Il faudra donc la filtrer
avec un filtre au charbon activé et la refroidir jusqu'au point de congélation
avant de la charger de cette énergie.
Pour la charger. Prenez
un saladier en plastique sans aspérité avec un fond rond et percez-y un trou
d'un centimètre. Refroidissez votre saladier sous l'eau froide ou en le laissant
au réfrigérateur entre les utilisations. Versez-y une bonne quantité d'eau très
froide, en la laissant s'écouler de haut. Dès que l'eau se met en tourbillon
dans le saladier, en récupérer le jet dans un contenant froid. À la fin, l'eau
devra être encore très froide et consommée immédiatement.
«
L'eau est le meilleur médicament du monde » ou " toutes les eaux ne sont pas
égales et ne désaltèrent pas de la même façon » sont des constats qui furent exprimés par des
hommes qui ont existé à l'aube de l'humanité. Des sociétés dont nous ignorons
absolument l'étendu de la culture, au-delà d'avoir appliqué tout ce que nous en
connaissons dans nos propres sociétés.
Les sacrifices d'animaux pour effectuer des
prédictions en regardant le foie nous ont été présentés comme des actes
démontrant la barbarie de ces anciens et l'ineptie de leurs cultures. C'est pour
conserver cette saveur « Flintstone » qu'ils ont choisi de ne pas dire à personne que
ces pratiques visaient à connaître le niveau de toxicité des sources et
aliments, qui se traduisaient par un foie meurtri et abusé.
L'air frais facilite la tension corporelle. Conservez une
température ambiante fraîche, repousse la fatigue et facilite le travail
corporel. Un courant d'air léger conservera l'air en mouvement. Tant que vous ne
ressentez pas de froid.
L'application de ces pratiques simples
résultera toujours en une balance positive. Pour des raisons qui concernent les
circonstances célestes, il arrive parfois que ces pratiques augmentent
l'énergie d'une façon telle, qu'elles représentent une véritable injection de
vie.
Dans tous les cas, les effets de ces pratiques se manifestent après
une période d'environ 24 heures et ne perdurent pas plus longtemps lorsque la
pratique est arrêtée. Les résultats physiologiques peuvent être mesurés par la
tension et le rythme urinaire.
La propagande de santé moderne qui crache
à tout vent que le sel tue est très dangereuse. Prenant comme acquis que tout le
monde consomme des frites Macdonald 5 fois par semaine, les vieux sont en train
de mourir d'inanition dans les centres d'accueil et les mères de famille en sont
à croire que le sel est un poison qui tuera les siens. Le sel est essentiel à la
vie. Chacun de vos repas doit contenir un peu de sel et votre consommation
quotidienne minimale devrait varier entre une cuillère à café et une cuillère à
soupe. Le sel est si important en fait, que dans le doute, la dose
minimale devrait être ingérée comme un médicament dans un jus. Il existe des
centaines de sortes de sel, provenant de sources différentes et préparées selon
des méthodes différentes. Les sels non blanchis transportent avec eux des
composés organiques essentiels très riches, fournissant de la matière première
en quantité importante pour la reconstruction des électrolytes.
Le sucre
n'est pas un électrolyte, il accroît la sensibilité des tissus aux stimulus
électriques. Avec le temps, le corps apprend rapidement qu'il n'a plus à
utiliser une énergie aussi importante pour stimuler les muscles. S'engage une
paresse corporelle qui se manifeste dès que la dose de sucre tombe en dessous du
seuil nécessaire à doper les tissus pour les rendre suffisamment sensible. Il
faut réaliser que ceci est le drame de toute une génération. Le Coca-Cola de
l'après-guerre était de 6 oz aujourd'hui, il est possible de trouver des verres
de 40 onces pour consommation personnelle. La fatigue disparait et survient un
grand état d'excitation comparable à une surdose de drogue excitante. Le sucre
raffiné est certainement la drogue la moins chère du marché et devrait être
banni, tout comme les produits de coloration et de conservation. Sans autre
appel.
L'alcool, le café, le tabac et la mari sans excès ou sans excès
répétés peuvent aider. Il faut se rappeler que le tabac est un antirépresseur,
la mari calme et le café active le système urinaire.
Tout ce qui est
agréable à manger cru devrait être favorisé en tout
temps.
Les variables
environnementales.
Des
circonstances environnementales influencent aussi.
Des choix éclairés et
de simples pratiques permettent de s'assurer un apport minimal de cette énergie
et même d'y ajouter.
Certaines terres sont avantagées par les
circonstances célestes. La plupart des temples religieux occupent déjà ces
endroits et ceux qui restent sont aujourd'hui alloués au plus offrant. Mais des
terres peuvent aussi être avantagées par des artifices comme la présence à
proximité d'une chute, d'un cimetière ou d'une école en direction est. Comme
cette énergie se dissipe vers l'ouest, une partie résiduelle demeure au sol à
quelque distance.
Dans l'environnement immédiat, que ce
soit le quartier d'habitation, l'architecture de la maison, celle du logis, des
meubles et des accessoires, il faut toujours privilégier les formes faisant
usage de profils courbes, similaires à ceux offerts par la
nature. Il faut éviter soigneusement tout ce qui est droit et
possède des angles, ils représentent un point de fuite et dissipe cette
énergie.
Le fer et la rouille sont très néfastes. Les équipements
électriques, électroniques, éclairage haute tension, antenne, sont des
perturbateurs et devraient être conservé à distance.
Au contraire des musiques dures à la
cadence saccadée, les symphonies classiques communiquent cette variable émotive
qui se traduira dans le dynamisme.
Une pièce d'ambre
frottée d'un chiffon doux, occasionnera une bonne charge d'électricité
utilisable tant pour un malaise localisée qu'une amélioration temporaire des
aptitudes dites divines comme l'intuition.
La saignée n'a
jamais cessé. La différence est qu'aujourd'hui il y en a peu qui en connaissent
les véritables bénéfices. Une nourriture riche et une vie sédentaire contribuent
parfois à alourdir le plasma sanguin au point ou il n'est plus aussi efficace à
la récupération. Donner du sang dans une clinique pourrait occasionner de grands
bénéfices.
Toujours se
ménager une période de repos adéquate. S'endormir n'est pas essentiel, mettre
son cerveau et son corps au neutre l'est. Notre corps est constitué de milliards
de cellules qui sont autant d'individus dont la cause est associée. Comme un
cheval dont la vie est étroitement liée à celle de son maître, le dépassement du
seuil de fatigue nécessite des efforts extraordinaires et le dévouement aveugle
à l'effort est incalculable. Cette énergie doit être domptée et ramenée à un
état de calme relatif. Une cloche a retenti pour mettre en branle cette
situation d'urgence, une cloche encore plus forte devra se faire entendre pour
dire que la crise est terminée et qu'il est temps de panser les plaies.
Il faut apprendre à induire le calme
et le repos. Il faut instruire son cerveau qu'il n'y a pas constamment une crise
qui attend au détour et qu'aucune épée de Damoclès possible, probable ou
véritable, ne mérite autant d'égard. « Comment ma santé
pourrait-elle passer par des choses aussi simples, gratuites, provenant de gens
qui ne connaissaient rien, alors que des spécialistes tout acabit se succèdent
dans des labos qui coutent des millions et travaillent d'arrache-pied pour créer
de nouvelles mollléquullles? »direz-vous!
Que voilà une
bonne question.
La bonne santé biologique n'est plus qu'un
assemblage de pilules qui rendra l'homme esclave à tout jamais d'une société
industrialisée et d'un système d'exploitation.?, c'est la démonstration que l'homme ne peut vivre
une belle vie en santé sans une société pour le supporter comme une
béquille.
La
santé c'est naturel! Cessez d'écouter les imbécilités de l'éducation moderne, la
bonne santé n'est pas un assemblage de pilules et nos anciens ne mourraient pas
de vieillesse à 46 ans, ils vivaient mieux que nous-mêmes, en meilleure santé
et plus longtemps. Ce savoir existait dans les anciennes générations, il était
la base de la connaissance transmise à tous.
Ce qui est bon ne disparaît pas, mais avec
l'aide de génocides, de tueries, de guerres, de révolutions, le faire
disparaître était d'une facilité enfantine.
Disparus, mais conservés à l'usage d'une cause qui
n'a rien à voir avec votre bien-être. Elle devenait ainsi une clef, une manette,
un interrupteur qui permet de doser
judicieusement le niveau de santé de toute une société, un étranglement
mesuré qui détermine la quantité d'air que vous allez avaler dans une journée et
qui permet de faire sonner la petite caisse des pharmaceutiques aussi facilement
qu'en mettant de côté des pratiques sanitaires.
Tout ce qui vient d'être décrit est une facette de
l'ancien savoir divin. Pas de bonhomme à barbe, pas de trône, pas de sceptre,
que du bon savoir qui nous a été volé.