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Le jus de la perfection

 

« La vérité, rien que la vérité, toute la vérité. »

Quand le royaume de l’illusion commence à rouiller!

 

Pas d’illusion, pas de spectacle, la vérité n’est pas un geste démocratique. Elle doit être dite et répétée haut et fort. Si elle ne l’est pas, c’est qu’il y a mensonge.

C’est le prix à payer pour danser tous à l’unisson sur un seul et même air de valse, ressentir les mêmes joies et les mêmes peines, être du même peuple...

Mais nous ne sommes pas sur la même valse.

Si l’importance d’un mensonge va de pair avec ses conséquences, j’estime que pour nous et les nôtres, celui qui suit est de loin le plus important. Il fera mal, car il brise des illusions. Vous le prendrez à la légère, car il menacera votre éducation et vos croyances. Mais le moment venu, vous vous rappellerez que ces gens n’étaient que du petit monde ordinaire comme vous et moi, au centre d’une tourmente extraordinaire.

Aldous Leonard Huxley est un écrivain britannique qui a vécu de 1894 à 1963. Sa famille est une véritable dynastie à une époque ou le germe de la société moderne se dessinait.

Aldous est le fils de l’écrivain Leonard Huxley, il est aussi le frère de Julian Huxley un biologiste connu pour ses théories sur l’évolution. Il est le petit fils de Thomas Henry Huxley un des plus importants naturalistes du 19e siècle, qui fut président de la Royale Society et surnommé le bouledogue de Darwin pour ses prises de position en faveur de son ami. - Sa mère était la petite fille du gouverneur de Tasmanie - la soeur de sa mère Mary Arnold était une écrivaine dont les romans atteignirent des succès. L’oncle de sa mère était le poète Matthiew Arnold. Il est le frère du biologiste, Sir Julian Sorel Huxley.

Mais la liste des membres de cette dynastie familiale ne s’arrêtait pas là.

Sir Crispin Tickell Chef de Cabinet au Président de la Commission européenne. Il fut ambassadeur britannique au Mexique et aux Nations-Unis, représentant permanent du conseil de sécurité des Nations Unies, directeur de la politique des programmes de la planification prévisionnelle à l’Université Oxford, récipiendaire de 23 doctorats, président de la UK charity Tree Aid. Un individu qui possède plusieurs centres d’intérêt, incluant les changements climatiques, le contrôle de la population, la conservation de la biodiversité et l’ancienne histoire de la Terre.

Sir Laurence Collier KCMG Ambassadeur Britannique en Norvège - George Pember Darwin, le fils du physicien Sir Charles Galton Darwin - Andrew Fielding Huxley, prix Nobel de physiologie- Julian Huxley écrivain scientifique de plus de 50 livres- premier directeur général de l’UNESCO et co fondateur du World Wildlife Fund, récompense de la Royale Society et de la Linnaean Society- Anthony Julian Huxley,  botaniste et horticulturaliste- Francis Huxley, anthropologiste- Matthew Huxley auteur, anthropologiste et épidémiologiste reconnu - David Bruce Huxley Brigade Major de l’armée Britanique, il devint le plus jeune conseiller de la reine dans tout l’empire, chef de Justice de la Cour suprême des Bermudes ou il fut un grand réformateur des lois- Michael Huxley curateur de la science au Smithsonian Institution- Andrew Huxley Prix Nobel de Physiologie, nommé Chevalier et appointé de l’Ordre du Mérite, deuxième Huxley à devenir président de la Royale Society.

Cette riche brochette familiale le prédisposait certainement à une carrière scientifique ou militaire ou politique, mais après une brouille familiale Aldous choisit l’écriture. Il est plus connu du grand public pour son fameux roman qu’il composa en quatre mois seulement après que son père lui eut coupé sa pension, « Le meilleur des mondes ». En voici un résumé.

À Londres en l'an 632, après la destruction des sociétés anciennes par un conflit généralisé connu sous le nom de « Guerre de Neuf Ans », l’immense majorité des êtres humains vivent au sein de l'État mondial, à l’exception de sauvages regroupés dans des réserves.

Huxley nous présente ensuite une société dans laquelle la reproduction sexuée a totalement disparu. Les foetus sont créés dans des pipettes, conditionnés et divisés en laboratoire pour produire plusieurs copies des mêmes individus à la fois. Les traitements que subissent les embryons au cours de leur développement visent à déterminer les aptitudes futures qu’ils exprimeront dans la société et seront garants de la caste à laquelle il appartiendra et toute sa descendance.

Par un puissant système psychoéducationnel, les enfants sont éduqués à aimer la caste auquel ils appartiennent plus que tout autre, tout en admirant les castes supérieures et en méprisant les castes inférieures. La sexualité y est un loisir et tous possèdent de nombreux partenaires sexuels. L’accouchement naturel est disparu et la maternité de la femme est un sujet tabou qui fait rougir de honte. Ils sont conditionnés à devenir de bons participants en société et de bons consommateurs qui doivent y trouver plaisir et satisfaction, toujours sous le regard inquisiteur des surveillants de quartier.

Il fut dit que Huxley racontait une fiction et que cette fiction était d’une nature prophétique.

Les Monstres

Ils font aujourd’hui grand cas des cellules souches, cette panacée de la génétique moderne qui servira à produire du plus-que-parfait. Mais voilà que cette « panacée » n’est pas aussi nouvelle qu’elle fut dite.

Camille Dareste était ce que nous pourrions appeler un tératogénologue dans notre langage moderne. Dareste était en fait un naturaliste de réputation et un pionnier de ce qui était appelé alors la science de la « tératogénie ». Si la tératogénie est aujourd’hui la discipline ayant pour objet d’étudier l’évolution embryologique des malformations congénitales, ces malformations portaient alors le nom de monstruosité et leurs porteurs le nom de monstre. En plus de ses nombreuses reconnaissances, Camille Dareste reçut en 1865 une médaille d’or des sociétés savantes pour ses recherches et sa production artificielle de monstruosité.

Les travaux de Dareste firent de nombreux intéressés à l’époque. Voici ce qu’il en disait : « L'apparition des anomalies et des monstruosités est donc uniquement le résultat d'une évolution modifiée. Mais, pour que les causes tératogéniques puissent exercer leur action, il faut nécessairement qu'elles agissent sur l'embryon lorsqu'il est capable de la subir, c'est-à-dire lorsqu'il est encore dans cette première période de la vie où l'organisme, entièrement constitué par des éléments homogènes, ne présente pas la diversité de structure qui le caractérise plus tard, et qui est la condition essentielle des phénomènes physiologiques de l'âge adulte. »

Cette constitution particulière d’éléments homogènes est précisément ce que nous appelons aujourd’hui les cellules souches.

1865.

Mais même à cette époque, les recherches sur les monstres n’étaient pas nouvelles et les techniques particulières utilisées par Dareste pour la production de monstre, apparaissait déjà dans une oeuvre de Francis Bacon parue 250 ans plus tôt  La nouvelle Atlantide

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Elle fut documentée à de nombreuses reprises comme en témoigne cet ancien recueil de monstruosité qui instruisait que la cause des malformations est le feu céleste.

À certaines époques la question des monstres prenait des proportions qui allaient bien au-delà de la simple préoccupation filiale. L’apparition de certaines caractéristiques propres aux géants déchus de la Bible était considérée comme le germe de l’impureté menant au mal, une direction génétique inappropriée.

C'était là une considération importante, suffisamment pour avoir été mentionnée dans la Bible, qui nous raconte qu’un Philistin de grande taille tué par les Juifs sous le règne de David était sexdigitaire aux mains et aux pieds.









Cette caractéristique était surement la plus remarquée de toutes. Un tel appendice supplémentaire possède la particularité d’être très visible et d’être difficile à dissimuler, même l’amputation laissait des traces impossibles à manquer. L’apparition d’un sixième orteil ou d’un sixième doigt était considérée comme le germe d’une corruption de la lignée. Une situation dramatique au vu du jugement dernier, puisqu’elle était la marque permettant à Dieu de conduire son jugement et de reconnaitre les siens.


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Conserver cette pureté génétique et éviter cette dérive était une préoccupation des « purs » à tous les instants. Le mariage princier avec la roturière était susceptible de contaminer la lignée. Ils considéraient le sixième doigt ou le sixième orteil comme la marque apparente d’une corruption génétique qui ne disparaitrait jamais et qui reviendrait hanter tous les descendants.




Pour les anciens, les monstruosités étaient sous le contrôle divin, ce rayonnement qui parvient à la terre. Ce n’était pas le divin qui en était la cause, mais son absence. C’est en l’absence de ce rayonnement, responsable de procurer la coordination de tout ce qui bouge, que la quantité de monstruosités explosaient. 

Il existait de nombreuses familles sexdigitaires dans la Grèce et la Rome antique. Anne Boleyn, la mère de la reine Élisabeth d’Angleterre avait six doigts à chaque main.

L’évolution

À un point de la science populaire moderne, il fut décrété que le dogme du mécanisme de l'évolution divine n'était pas acceptable. Comme le bonhomme sur le trône, n'existe pas, sa voix n'existe pas non plus, conséquemment il était ridicule de croire que l'évolution est un phénomène provenant du ciel. La longue suite de fossiles ne prouvait-elle pas clairement qu'il y avait eu évolution ?

La longue suite de fossiles en question est aussi parsemée que l'est l'histoire de l'homme. Si elle démontrait effectivement des poches d'évolutions, le lien entre ces poches était un inconnu et ne pouvait être que présumé.

L'évolution populaire moderne arrive à expliquer preuves à l'appui par une série de lois, qu'il y a des liens raccordant ces poches éparses et qu'un étroit chemin permet de relier le nématode poisseux vivant dans la vase se nourrissant de ses propres excréments, jusqu'à l'humain.

Un raisonnement n'a jamais été une preuve de quoi que ce soit.

Que le pinson rose ou bariole, le soit parce qu'un de ses parents était rouge et l'autre blanc, est un mécanisme purement déductif en fonction de lois. Il explique pourquoi votre enfant possédera la couleur de vos cheveux, ou les yeux de son grand-père.

Aucune magie, un mécanisme.

Que le monde soit aujourd'hui vide de pinson jaune, parce que les prédateurs sont plus rapides que les jaunes, mais incapables d'attraper les rouges et les blancs, est un mécanisme purement déductif. Il se produira une escalade de la compétition et une recherche de la performance toujours plus grande. Un mécanisme déductif. Une simple mécanique qui repose sur le hasard des circonstances et qui produira une bouillie de protéine et d'hormones adaptées au mieux possible.

Par conséquent, puisque les pinsons bleus n'ont jamais croisé la route des rouges à la période des chaleurs, les pinsons mauves n'apparaîtront jamais.

Mais voilà que les pinsons mauves existent.

La terre est remplie de formes de vies les plus diverses, il en a toujours été ainsi. Ces différences n'ont rien à voir avec le nématode à trois couleurs, mais affectent la structure profonde des êtres d'une poche de vie à l'autre.

Quelque part, quelque chose entrait en jeu et modifiait la donne. Survenait alors une orgie d'évolution qui débordait des mécanismes déductifs et qui affectait pratiquement toutes les formes de vies à la fois. De nouvelles caractéristiques physiologiques qui n'avaient jamais existé auparavant, apparaissaient comme si entre les deux, quelqu'un s'était amusé a brasser les cartes avant de les redonner a nouveau.

C'est à ces moments que les yeux sont nés, les branchies, les nageoires, les poumons, les mammifères, les hommes, les blancs.

Comme si le saut d'évolution n'épargnait rien ni personne, des différentes formes de vies qui existaient auparavant, bien peu survivaient. En dépit de ceci, il y avait toujours un foisonnement de nouvelles formes de vie, dans toutes les poches découvertes.

Et c'est ici que l'évolution divine entre en compte.

L'évolution divine vue par la science populaire moderne, alimentée par la philosophie moderne, elle-même s'inspirant de la religion et de la philosophie ancienne, s'appelle le design intelligent.

Le design intelligent est un concept grotesque de la science populaire moderne qui tient du bonhomme à barbe dans un trône, dessinant des plans de la forme et des particularités que possédera le vivant de demain. Vu de cet angle, il est facile de concevoir que tous ont sauté à pieds joints sur la plate-forme offerte par Darwin le père de l'évolution moderne, pour ridiculiser les ridicules.

C'est au cours du 19e siècle que la théorie de l'évolution de Darwin venait affronter celle de Dieu. À partir de l'analyse des anciennes formes de vies ayant existé sur la planète, Darwin expliquait alors d'une manière très raisonnable, la façon dont la vie s'était diversifiée via un mélange d'amélioration continue et de hasard conduisant au résultat actuel, en prenant pour acquis que la Terre était un vase clos. La venue de cette nouvelle théorie fit à l'époque beaucoup de bruit et attisa les passions de ceux qui prônaient l'action de la philosophie divine, nommés les créationnistes.

La consécration de la théorie de Darwin se produisit au cours des années 50, lorsque durant une expérimentation scientifique, de l'hydrogène, de l'azote, de l'oxygène et de l'eau furent combinés dans un ballon de verre, dans lequel fut injectée de l'électricité pour y simuler les éclairs. Au bout de quelques semaines, l'analyse des liquides du réservoir démontrait la présence d'acides amines, brique de construction essentielle du vivant dont la présence  prouvait hors de tout doute, selon le point de vue de la science moderne, que Darwin avait raison.

Mais tout n'était pas dit.

Curieusement, la théorie de Darwin laissait dans l'ombre deux questions fondamentales. La première, est que la lutte prétendue entre les deux théories était très inégale puisque cette théorie de Darwin n’était en compétition contre rien du tout. Encore aujourd'hui bien peu d'individus sont en mesure d'expliquer convenablement ce qu'était réellement le créationnisme de la théorie divine, autrement que par une explication simpliste et enfantine.

Bien qu'il soit possible de voir partout les vestiges de vies passées, desquels il est possible de construire une théorie conduisant aux formes de vies actuelles, nous sommes incapables de témoigner directement d'un seul résultat de l'évolution qui aurait pris place au cours des derniers siècles, tel que la théorie de Darwin le prône.

Les petits pois de Mendel le moine allemand, étaient bien reels et le papillon bleu qui se croise avec le papillon rose, donnerait éventuellement un papillon bleu-rose, un mécanisme purement déductif. Mais le changement menant a un papillon a cinq ailes ou a cinq pattes ou trois antennes, ou qui suggérait la possibilité d'un quelconque pas évolutif viable, comme celui ayant mené des dinosaures aux premiers mammifères, ou celui ayant mené des premiers mammifères a l'homme, n'existait simplement pas.

Non seulement cette expérience scientifique du réservoir produisant les acides aminés ne prouvait pas la théorie de Darwin, puisqu'elle n'était pas en vase clos comme il fut prétendu et que de l'électricité y était injectée, mais cet apport extérieur venait appuyer la prétention des anciens a l'effet que l'énergie céleste occasionnant l'électricité, était au coeur du mécanisme d'évolution. Cette expérimentation prouvait précisément le contraire de ce qui était dit.

Darwin avait tout bien. Les formes de vie évoluaient et une fine ligne menait du dinosaure à l'homme. Mais la théorie de l'évolution de Darwin avait ceci de particulier qu'elle laissait tomber en cours de route un facteur important, l'évolution ne se produisait pas de façon continue mais survenait par poussée, initiée par des changements provenant de l'extérieur qui était la conséquence de la musique des sphères, cette voix de Dieu.

L'évolution divine telle qu’identifiée par les anciens se manifeste constamment, partout. Toutes les fois qu'un veau albinos nait, ou qu'un enfant trisomique nait, ou qu'un enfant avec trois bras nait, il est le produit de ce qu'ils appelaient l'évolution divine. Toutes ces différences n'étaient pas sous le pouvoir de l'homme et par conséquent, elles étaient le fruit exclusif du pouvoir divin.

Au contraire des poussées d'évolution, toutes ces formes de vies différentes se sont manifestés à un moment ou la voix divine se traduisant par des changements dans cette électricité, était peu présente. Elles se sont produites d'une façon éparse et sont apparues comme des phénomènes uniques, incapables de reproduire leur différence.

Mais il arrivait que l'émanation de la voix divine soit particulièremet puissante, affectant de grandes régions à la fois, perturbant tout le climat vital.

Les effets conséquents pouvaient se manifester sur le code génétique ou le fonctionnement de la cellule, ou encore dans le fonctionnement cérébral occasionnant des mutations génétiques. Lorsque ces événements surviennent, ils entrainent des modifications qui affectent toute la vie présente dans une région. À la différence du cas isole, dans la période d'une génération toute une population se retrouvait affublé des mêmes changements et manifestement capable de transmettre cette différence.

C'est ce qui est à l'origine de ce que nous appelons évolution.

La réponse à un mécanisme induit provenant de l’extérieur, qui modifiait des caractéristiques de la vie d’une région, affectant tous les nouveaux nés. Un peu comme le ferait la présence de radiation atomique sur un territoire, à l’exception près que l’ensemble de la vie d’une région tendra à prendre une direction similaire.

Ce rayonnement affecte le code génétique de toutes les formes de vies présentes et apporte des caractéristiques nouvelles, qui sont conditionnées vers ce que les anciens appelaient la perfection, un concept qui s’apparentait à l’humain caucasien.

 

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Poisson avec des dents d’apparence humaine découvert le long des côtes du Texas en 2003

 
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Carpe possédant un crâne offrant des similitudes avec le visage humain, découvert à Séoul en 2005

C'est ce qui fut appelé la guidance divine. Lorsque cette période de changement se produit, toute la vie monte d’une marche dans ce grand arbre de l’évolution, acquérant ici et là des caractéristiques nouvelles qui les rapprochent d’une façon ou d’une autre de la physionomie humaine. Concentrées et homogénéisées par une réduction importante de la population, ces caractéristiques nous sont aujourd’hui acquises et apparaissent partout.

L’homme n’est pas exclu de ces changements. Quelques grandes vagues de ces évolutions ont affecté l’humanité de la planète. Les couleurs, la forme des yeux, des narines, de la bouche, des cheveux en sont quelques-uns des témoins connus. C’est de cette façon que s’inscrit sa relation avec le singe.

Curieusement, les exemples des malformations ramenant l’homme dans une direction « animale » sont beaucoup moins connus, comme cette tribu d’hommes rapportés à la Grèce antique qui avaient développé un appendice caudal similaire à la queue du singe et avaient du s’inventer une chaise avec un trou pour y trouver confort.

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Que dire de la licorne, du centaure, du Léviathan, des animaux mythiques, dont la découverte aurait nécessairement eu comme conséquence de fixer la vieille mythologie, un indésirable aux yeux des oligarques.

Or il apparait que cette période de changements est particulièrement sévère. Les textes qui en parlent ont été sérieusement amputés et les changements climatiques précédents ces périodes, laissaient une génération plus inculte que celles les précédant. Bien peu d’information nous en est parvenue autrement que celle déformée par la religion des conquérants.

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Le quart des individus apparaissant dans les représentations de scènes anciennes provenant de l’iconographie religieuse jusqu’à la période après le Jésus, sont infirmes.

Des individus débilités, au visage fuyant, aux mains recroquevillées, ou encore qui ont de la difficulté à se mouvoir.

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Des gens qui possèdent des malformations sévères aux membres, qui sont trop gros ou déformés.

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Des individus avec des pieds à six orteils et des mains à six doigts.

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Ou encore possédant des doigts beaucoup trop longs.

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Ou des doigts déformés par les maladies chroniques comme l’arthrite.

 
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Ou possédant des tissus recouvrant les mains.

Même la vierge et parfois le Jésus sont affublés sur certaines représentations de doigts et d’orteils anormalement longs ou avec le petit doigt déformé.

Des symptômes qui suggéraient la résurgence de maladies auto-immunes comme le syndrome de Marfan ou la maladie de Dupuytren. 

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Et c
e n’est pas là tout ce qu’il y a de surprenant dans cette iconographie préchrétienne. En dépit de la multitude de représentations qui nous sont parvenues, en dépit de l’importance que la progéniture prenait au regard des anciens, aucun enfant n’y apparaît jusqu’à la période du Jésus. 

En fait, même s’il y a quantité de jeunes femmes, il n’y a aucun garçon, garçonnet, jeune homme. Et de plus, tous les mâles qui y apparaissent sont âgés et grisonnants.

Au moment des croisées apportant les changements, une série de maux chroniques affectaient la population, dont l’arthrite, la lèpre, l’éléphantiasis et une baisse du taux de fertilité. Parallèlement à la période des grandes plaies, ces maux chroniques grandissaient pour prendre des proportions alarmantes, jusqu’à la période appelée la mort des premiers-nés, ces jeunes garçons qui mourraient dès qu’ils étaient en age de se reproduire, empoisonnés par leur propre semence. Se protéger de ce rayonnement cosmique était la raison de ces constructions cyclopéennes de pierre qui proviennent des générations précédentes. Arrêter la pénétration du rayonnement par une épaisse couche de pierre. 

Pendant la quinzaine d’années qui suivirent, la fertilité des femmes avoisina le zéro et le peu qui arrivaient encore à enfanter accouchaient de garçons affectés de malformations telles qu’ils ne survivaient pas la naissance ou de filles atteintes de maladies dégénératives.

La période précédant la venue du Jésus fut celle de l’explosion de l’iconographie religieuse. Des centaines de peintures, de gravures, de sculptures témoignent de cette époque identifiée comme « si importante » dans l’histoire et présentant le Jésus dans une scène ou une autre. Son visage est étampé à la grandeur des églises du monde depuis aussi longtemps que les églises existent et à chaque fois qu’une date significative de son périple se présente, il y a toujours masse de fidèles qui se pointent pour en être.

Il est connu et respecté du monde entier. Dans toutes les religions, dans toutes les histoires. Sa vie fut jugée si importante, qu’elle fut ajoutée à la suite du livre le plus important des hommes de l’époque, l’Ancien Testament.

Il n’est pas connu par conquête, car la plupart de ces nations connaissaient déjà la vie de cet individu dans leurs cultures natives.

Mettons ça au clair. Les gens d’avant possédaient une culture et des références différentes, mais ce n’étaient quand même pas des imbéciles!

Le Jésus tenait des discours éloquents et enflammant je veux bien, il illuminait et il guérissait des gens passe encore, mais il y a quand même une limite. Beaucoup d’autres personnages anciens ont été affublés de ces mêmes caractéristiques et ils n’ont pas arraché toute l’attention de l’histoire et 2000 ans de culture pour autant.

 
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Il se passa une quinzaine d’années au cours desquels n’apparut aucun enfant mâle. Son arrivée avait été soigneusement préparée par le savoir de l’époque et la jeune vierge était attendue par les grands prêtres du temple, porteurs d’un savoir immémorial.

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L’annonce de sa venue eut l’effet d’un coup de fouet qui déchaina l’enthousiasme des foules.

Comment ce nouveau-né aurait-il pu avoir un père comme les autres, tous ces vieux hommes étaient incapables de se reproduire.

Il ne fut pas le seul, mais il fut le premier et tous n’avaient qu’admiration pour ces petits pieds et ces petites mains si fines et surtout ce petit attirail de garçon tout vert, comme il n’en avait pas été vu depuis longtemps.

Le jeune Jésus était le nouvel homme.

Son âge et sa santé le destinaient à survivre plusieurs décennies à tous les autres sages de l’ancienne époque. Sa popularité incontestable dans la ferveur populaire le destinait à un statut royal. Pour ces raisons, il devenait l’héritier patenté des connaissances ancestrales des hommes. L’élu.

Pas l’élu du peuple, l’élu de l’élite. Celui qui sera capable de poursuivre la dynastie. Il était d’une qualité supérieure et ne possédait pas les faiblesses affectant le reste des hommes. Il fut la source génétique de toute la génération des hommes qui suivit.

En quelques années à peine, alors qu’il était instruit de toute la science millénaire des hommes destinés à la poursuite de l’empire, il devenait lui-même le géniteur d’une génération d’hommes créés de la main des prêtres pour devenir la source de la future élite du monde.

 
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Voici 4 des apôtres, tirés de la cène peinte par Da Vinci. Il est possible de constater la ressemblance frappante qui existe dans la morphologie des visages. 

Bien mal joué à celui qui ne voudrait y voir qu’une simple coïncidence, ou la lubie d’un peintre ou le produit d’un taux élevé de consanguinité fortuite.

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La cène par Juan de Juanes

  

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La cène Leandro Bassano

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La cène Monvearni

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La cène Francesco Fontebasso

 

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La cène Jacopo Bassano

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La cène, auteur inconnu

Du bouturage.

Et ce n’était pas une lubie d’artiste, toutes les représentations de la cène qui reste, possèdent deux, trois, parfois plusieurs personnages qui possèdent des ressemblances frappantes, identifiants des liens de parenté évidents.

Ce n’était pas non plus le produit d’un courant de la peinture car il existe de nombreuses représentations tirées de ces époques possédant plusieurs individus ayant des physionomies proches.

Au vu des révélations qui apparaissent par la suite dans les gravures d’époque, il est manifeste de croire que le Jésus se buta contre la grande noirceur qui se voulait imposée par l’oligarchie des anciens.

Sans doute misa t’il sur l’admiration que son statut de premier homme continuait de susciter à travers le peuple. Sans doute misa t’il aussi sur son statut de « père » puisque pour tous ces enfants, dont les cris égayaient à nouveau les peuples, étaient ses enfants. Soulevant quelques-uns des jeunes élus du temple à ses desseins, ils se rebellèrent contre la destinée promise par les prêtres.

Décidés à un renversement de l’opinion du peuple par le savoir, ils se dédièrent par la suite à la création d’un mouvement populaire qui fut l’origine du christianisme, un mot fabriqué à partir de « christos », un mot grec identifiant la croisée astrologique à l’origine des changements climatiques.

La célébrité du Jésus à travers les nombreuses nations modernes du monde s’explique simplement. Ces nations modernes qui possèdent le christianisme en commun possèdent toutes leurs origines sur le territoire qui fut affecté par cet effondrement du taux de natalité et leurs ancêtres furent certainement des émissaires qui vinrent embrasser les pieds du nouveau Jésus. Il était destiné à devenir la relève de l’Empire. À ce titre, son image publique de « bonne nouvelle » fut soigneusement cultivée dans l’empire tout au long de son éducation. Cet empire était grand, beaucoup plus grand que l’histoire officielle ne l’enseigne.

C’est ici que l’iconographie religieuse devient très importante. Elle est un langage qui possède ses propres finesses et qui fut élaboré par des gens qui possédaient un savoir infiniment plus important, que ce que l’histoire moderne leur prête et spécialement destiné aux générations d’illettrés qui allaient suivre.

Les concepts que cette iconographie propose nous apparaissent aujourd’hui nébuleux et incompris, car nous ne possédons pas la clé de ce langage, l’os autour duquel était aggloméré le savoir.

Cette clé n’est pas un secret, elle est disparue de la connaissance populaire pour être remplacée par la nouvelle science. En dépit de cette disparition, les concepts derrière cette iconographie continuèrent à être propagés par des individus ordinaires qui en connaissaient les clés jusqu’au début du 20e siècle.

Puisque nous ne possédons plus cette clé, il faut se résoudre à la reconstruire pour comprendre.

Le foisonnement de représentations décrivant des scènes identiques permet de comparer les croyances à travers les cultures et les époques. De cette comparaison, il sera possible d’en extraire des bouquets de caractéristiques qui se retrouveront à travers les scènes, et qui serviront à jalonner les points d’intérêts de cet ancien savoir.

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La cène Tiepolo Giovanni Battista

La cène est une de ces oeuvres qui fut reproduite à de nombreuses reprises. C’est une symbolique. Elle n’a rien à voir avec un repas véritable augmenté d’une émotion religieuse, mais elle tire son origine d’une mise en scène orchestrée à dessein par la bande du Jésus, qui visait à garder un savoir vivant à l’usage d’une postérité qu’ils envisageaient illettrée.

Le Jésus connaissait le plan à venir. Il connaissait l’esprit retors dont l’homme pouvait faire preuve. D’avoir créé autant de copie de la cène, laisse croire que le Jésus avait trouvé une façon d’envoyer sa bouteille à la mer et de battre le plan en se reposant sur la multiplicité des copies, tout en sachant qu’un jour émergera une société qui offrira à sa population la capacité d’aligner une trentaine de représentations de la cène côte à côte et qu’il allait nécessairement y avoir un de ces curieux qui allait relever les anomalies (sic).

Il existe une trentaine de représentations de la cène qui furent propagées dans diverses nations à travers la planète. Provenant principalement de l’hémisphère nord, ces cènes furent réalisées par divers auteurs sur une période de 10 siècles et beaucoup sont des recopies d’oeuvres plus anciennes encore.

Les cènes produites après la fin du 19e siècle ne sont généralement que des vues de l’esprit et ne possèdent pas ou très peu des caractéristiques qui jalonnent l’ensemble. Certaines des cènes réalisées avant cette période apparaissent timorées et ne possèdent ni la richesse ni les caractéristiques des autres oeuvres.

Le reste des cènes peut-être divisé en deux grands courants.

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Celui de la culture du moyen orient, qui montre dans un art musulman naïf un Jésus assis à l’extrémité d’une longue table vue de côté.

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Et celui de la culture occidentale, qui offrira une présentation de face, montrant une table d’apôtres avec le Jésus qui en occupe le centre approximatif.

Voici les caractéristiques les plus fréquemment rencontrées.

Toutes les cènes sont constituées de 13 ou de 14 individus, soit 12 apôtres en plus du Jésus et d’autres personnages supplémentaires. Le Jésus est toujours à proximité d’un gringalet qui apparait faible ou malade et se tient courbé sur la table ou sur les genoux du Jésus.

Aux fins de l’analyse des multiples cènes, nous effectuerons un repérage utilisant un système horaire, basé sur ce gringalet qui occupera la position midi. Tous les individus qui l’entourent pourront être localisés par l’heure qu’ils occupent sur une horloge. Nous ne compterons que les 12 apôtres et les autres personnages seront identifiés en fonction de la position qu’ils occupent sur cette horloge.

Ce gringalet en question n’est pas toujours au centre de la table. Il y aura souvent 6 individus de chaque côté, mais il y en aura parfois 5 à sa droite et 7 à sa gauche. À ces 12 individus, qui portent parfois une couronne lumineuse, s’ajoute le Jésus qui sera toujours à la position midi, mais il sera parfois d’un côté du gringalet, parfois de l’autre.

Très souvent, la cène comportera six apôtres de jeune âge et six d’âge avancé, visibles par les cheveux grisonnants et la longue barbe. Les apôtres sont parfois séparés par les couverts sur la table, alors qu’à d’autres apparaissent des singularités comme un couteau menaçant, un porteur d’eau, un verre d’eau, toujours à des positions précises. Les apôtres assis à la droite du Jésus seront généralement plus animés que ceux assis à sa gauche, plus dépressifs.

Tous prennent grand soin de montrer leurs mains. Dans l’iconographie religieuse, les mains et les pieds sont constamment le centre d’intérêt. Dans toutes les scènes religieuses, ils touchent aux pieds, ils les manipulent, ils les montrent, ils les regardent, ils les lavent. Souvent des enfants sont près des tables pour observer les pieds.

Alors que dans la période précédant la naissance du Jésus tous portent des bottillons, les pieds sont nus dans la plupart des scènes auxquels il participe.

Les couleurs des vêtements ne sont pas toujours les mêmes, mais le rouge et le vert prédominent dans un ordre similaire. Le jaune est une couleur qui apparaît assez souvent et un apôtre habillé d’une couleur distinctive comme le blanc ou le doré, apparaît souvent.

Il y a souvent une discussion entre les individus situés à la position 3 et 4 heures (parfois entre 4 heures et 5 heures), dans laquelle un, tente manifestement d’expliquer quelque chose à l’autre. Il y a assez souvent discussion entre les individus de la position 7 et 8 heures.

Il y a toujours un brigand qui sera généralement reconnaissable à la bourse d’or qu’il dissimule du regard des autres derrière son dos ou par ses actions. Lorsque les apôtres possèdent une couronne, lui n’en aura pas ou en possèdera une de couleur noire. Il aura parfois une mine patibulaire, à d’autres il exhibera une richesse marquée ou un comportement pressé. Il occupera généralement une position diagonale avec le Jésus, entre 5 et 6 heures et sera aperçu de dos. Sa tête sera souvent tournée et son regard fixera intensément le peintre de la scène. Son expression dénotera un regard scrutateur, analytique, retiré de l’action.

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L’individu à 3 heures est débilité. Généralement visible à ses mains qu’il tient recroquevillées ou des doigts très longs. Il est souvent hagard ou expose un profil fuyant. Il est parfois sexdactyle (6 orteils ou 6 doigts) du pied comme sur la cène de Davinci.

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L’apôtre situé à 9 heures soit de l’autre côté du gringalet, démontre aussi parfois des caractéristiques sexdactyles aux mains sous la forme d’un doigt avorton court entre le majeur et l’annulaire.

Dans la plupart des cènes, il y a un individu ou un autre qui affectera une position anormalement arquée du petit doigt ou des derniers doigts, suggérant une forme d’arthrite.

À l’exception du Jésus qui est toujours exempt de déformation, la plupart ont des pieds déformés, semblables à ceux des grands marcheurs pieds nus, mais avec une forte extension latérale à la jointure du gros orteil.

L’apôtre 7 heures possède un air malsain ou son visage sera caché. L’apôtre 6 heures sera souvent suivi d’un porteur d’eau, de nourriture et du banquet sur la table, suivi parfois d’une table triangulaire, d’un chien et du brigand.

Un porteur d’eau, un verre de liquide ou un couteau apparaissent entre 9 et 10 heures.

Le gringalet sera généralement couché en direction inverse des aiguilles d’une montre sur le Jésus ou sur l’individu de 11 heures. Il arrive parfois que le gringalet soit en position inverse, couché sur la table en direction des aiguilles d’une montre. Dans une telle scène, l’horloge identifiant les personnages et les caractéristiques de la scène sont les même, mais entièrement inversés et reflètent une modification culturelle sur la façon de regarder le zodiac, survenue après la mort du Jésus.


12 constellations, un zodiac, une scène purement astrologique.

La cène est un calendrier des évènements célestes et des changements qui affectent le climat de la planète et le psyché des hommes. Le Jésus occupe la position de la constellation de l’Autel, située immédiatement en dessous de celle du Scorpion, ce gringalet malade couché sur le Jésus dont l’orientation indique aussi l’orientation du système solaire.

Avec le gringalet Scorpion tourné vers la gauche, voici les symboles représentés par les différents personnages. 1 heure la Balance, 2 heures la Vierge, 3 heures le Lion, 4 heures le Cancer, 5 heures le Gémaux, 6 heures le Taureau, 7 heures le Bélier, 8 heures les Poissons, 9 heure le Verseau, 10 heures le Capricorne, 11 heures le Sagittaire et midi le Scorpion.

C’est le 25 décembre que cet effluve le plus bénéfique symbolisé par la position du Jésus apparait, le Christos. Le moment ou le soleil traverse l’étroit intervalle existant entre le scorpion et le Sagittaire, seul temps où le rayonnement de la constellation de l’Autel nous parvient. Quand le Jésus est dans l’angle d’observation, le mouton sur la table l’est aussi. Cette symbolique suggère la remise d’un bienfait nourrissant à cet instant, beaucoup plus que tout autre. Le soleil quitte ensuite les constellations peu énergisées pour commencer à communiquer de l’énergie en bouffée à chaque fin du cycle de la lune, de janvier jusqu’à la fin mars début avril, moment du festin de Pâques. Cette période se retrouve encadrée dans une période dangereuse, identifiée par un couteau qui apparaît souvent à cet endroit.

Symbolisée par le porteur d’eau, l’énergie bienfaisante revient donner une bouffée à la fin de mai. La table triangulaire, le chien, le chat, le porteur d’eau, le brigand sont tous dans l’intervalle séparant le 21 de mai du 21 de juillet. Le porteur d’eau et le plat sont les premiers. Ils sont une distribution de bienfaits qui se produit immédiatement avant le solstice d’été.

C’est à la fin de juin, moment suivant le solstice d’été, symbolisé par le lever de la constellation du Grand Chien, que le brigand se manifeste pour écoper une partie de l’énergie vitale et s’enfuir avec, débutant un cycle pauvre en énergie et instruisant que cette énergie est indispensable au bon fonctionnement vital pour le reste de l’an. C’est à ce moment du cycle que cette énergie s’épuise le plus. Il n’en survient plus d'autres jusqu’en septembre, autour de l’été des Indiens.

Un couteau apparait parfois en début octobre, moment où les apôtres commencent à avoir une allure plus dépressive, indiquant le danger de la période.

La table triangulaire symbolise le triangle astrologique. Il signifie que la formation en triangle des planètes au moment du solstice d’été, possèdera une incidence beaucoup plus importante qu’à tout autre moment en ce qui concerne le géo climat ou le climat vital. Tremblements de terre, tornades, tempêtes et crises sociales seront plus importants, si ce triangle astrologique se forme au solstice de l’été plutôt qu’à tout autre moment.

Au-delà des mois, l’astrologie indique aussi la latitude affectée. En projection inverse, tout ce qui se passe en dessous de l’équateur céleste se projette sur l’hémisphère nord de la planète et inversement. Par un simple simulateur astronomique donnant l’azimut, il est possible de déterminer la latitude qui sera affectée.

La table en « U » ouverte sur les mois d’été n’est pas sans raison. Elle indique le vide. Les climats affectés sont la bande équatoriale entre le tropique du Cancer et celui du Capricorne. Ils ne sont viables que durant une courte période de quelques siècles à tous les millénaires et doivent constamment se renouveller.

Les apôtres de septembre et mars (9 heures et 3 heures) sont ceux qui sont le plus affublés de maladies. La région d’un million de yards chevauchant le tropique du cancer et le tropique du Capricorne seront celles les plus affectées par les malformations congénitales. À tout moment, la meilleure bande de la planète est en haut du 45e parallèle, seul endroit recevant ample quantité de rayonnement provenant de la constellation de l’Autel.

Comme les cycles ne sont jamais qu’une addition de cycles occasionnés par le passage des planètes, qui sont tous conformés avec la même physionomie, certains grands cycles possèderont donc un effet intense et profond à tout point de vue qui n’est plus sur la base de l’année solaire, mais celle de la période orbitale des autres corps du système solaire. Puisque toutes les planètes circulent dans l’axe de la bande équatoriale, c’est à cette hauteur qu’elles achemineront principalement leurs énergies et c’est ce territoire qui est le plus sévèrement affecté par le passage répétitif des planètes.

La véritable cause est Pluton. En dépit de sa distance et de sa petite dimension, Pluton par sa position sur la périphérie du système solaire, possède beaucoup d’effets sur l’énergie qui pénètre le système solaire. Cette caractéristique était bien connue des anciens et la largeur de la bande équatoriale entre le tropique du Cancer et celui du Capricorne est un jalon aussi vieux que l’homme, qui correspond précisément au débattement angulaire de la planète Pluton d’une extrémité à l’autre de son orbite millénaire. Pluton circule exclusivement dans cette zone et la condamne en la parsemant de nombreux déserts.

Alors que Pluton était dans l’hémisphère nord du ciel et que son effet se dissipait vers le pôle Sud depuis 500 ans, depuis 2005 il a croisé le plancher céleste correspondant à l’équateur de la terre et se dirige vers le nord, le tropique du Cancer. Son effet se dissipe maintenant vers le pôle Nord. Toutes les planètes qui croiseront cet équateur occasionneront une dépression importante, mais la distance au soleil de Pluton lui communique une période de dépression particulièrement longue et importante en fin de cycle. Cette dépression énergétique qui s’étire sur une trentaine d’années se conjugue aux autres perturbations, qui se reflètent dans le climat de la planète.

C’était l’avertissement apocalyptique concernant le 666. Ce chiffre démonisé à outrance n’était pas une marque individuelle, mais celle du territoire auxquelles les gens appartiennent.

Une mesure tirée des pôles utilisés par les anciens navigateurs jusqu’à la marque des 6 megas yards (6,000,000 yards), chevauchera approximativement les deux tropiques et délimiteront ainsi le « no man’s land ». La bande équatoriale comprise à l’intérieur des marques de 6 megas yards devenait l’enfer. Le « Ell » (prononcer « hell » traduction du mot enfer) était le nom qui était donné à l’ancêtre du yard.

Je vous suggère qu’Huxley n’a jamais raconté de fiction, mais qu’il a en fait romancé une histoire véritable. Je vous suggère que la brouille avec son père, à l’origine de sa situation précaire, avait à voir avec la lecture de ce manuscrit révélant des secrets familiaux sournois. Je vous suggère aussi qu’il n’a jamais écrit son manuscrit dans une période de 4 mois après avoir été répudié de son père, mais qu’il s’est plutôt tapé une dépression en finissant de cuver sur le peu d’argent qu’il lui restait, avant de prendre les dernières journées pour arracher quelques pages et faire quelques corrections qui feraient apparaitre tout ceci dans un monde imaginaire sans lien avec la réalité et les secrets familiaux.

Puisqu’il était le jeune premier après une disette de plus de 15 ans sans fruits et promis à un empire, le Jésus fut le seul à posséder un bagage génétique parfait et tous ses enfants de la première génération, desquels la population de la planète provient, étaient des copies imparfaites incorporants à dessein des tares et des mécanismes limitatifs.

Il avait été éduqué pour être le maître, le père. Pour tout connaître. Il savait tout, incluant le plan. Et ce plan impliquait la disparition de cette buse de vie extrêmement importante. Le centre galactique. Une action qui servirait à avilir les hommes.

« Buvez et mangez, car ceci est... » n’a jamais visé à nous faire lui acheminer des pensées d’amour pour obtenir des miracles, mais visait à rappeler l’importance d’observer les rituels des anciens et de s’exposer à cette luminosité qui transcendait tout à l’aube du 22 au 25 décembre, avant le lever du Soleil. C’est à ce moment et à ce moment seul que sont transmis les dons de Dieu, un bouquet d’intelligence, d’intuition, de sagesse, d’amabilité, de douceur et une direction.

Voir et être vu, était le principe.

L’interprétation des « cènes » va bien au-delà et sa composition touche une symbolique multiple. Avoir été au centre d’une telle usine à marmailles pondant des copies à la douzaine en lot identifiable, plaçait le Jésus au centre d’une connaissance supérieure qu’il savait réservé à l’usage de peu.

À eux tous, ils lancèrent un message en bouteille, une capsule temporelle qui s’est rendu une trentaine de fois. Le format du message n’est pas gros, mais il fut bien utilisé.

Génoculture

Avec le temps suivant le passage de ces crises, l’homme finit par retrouver ses facultés génitrices à l’extérieur de cette gigantesque termitière. La concentration des caractères par la réduction de population, en plus de la perte de coordination occasionnée par l’absence de ce rayonnement divin, était la cause de dérive génétique intenable. Une terre laissée en friche.

Cela s’est déjà produit dans l’histoire ancienne et ces dérives ne sont pas tolérées. Suivant l’expulsion du paradis terrestre, l’humanité fut rejetée tout autour sans posséder les préceptes de ce savoir. Ça s’est aussi produit à la fin de la grande Babylone, lorsque les garçons ne franchissaient plus le cap adulte sans s’empoisonner avec leur semence.

Le jour où un nouvel enfant se pointait, il n’y avait plus d’adultes pour lui enseigner. Combien de temps avant que la graine ne germe de nouveau et qu’une tribu équilibrée émerge? 50 ans? 100 ans? 200 ans? La confusion des langues.

Leur développement physiologique en fut affecté, provoquant une diversification chaotique duquel émergèrent une myriade de sous espèce humaines dont furent les malfaisants géants et les cyclopes. Selon les anciens, cette situation était intolérable aux yeux du divin. Une constatation qui semble basée sur des considérations éthiques, puisque l’inverse aurait eu comme effet de normaliser une foule de nouveaux formats et de laisser libre cours à une évolution chaotique.

La destruction de ces formes de vies fut la raison invoquée par les anciens pour justifier le déluge noétique qui effaça la vie de la planète en plus de laisser Noé dans un rôle de géniteur d’une humanité toute neuve, un évènement qui n’est pas sans rappeler la méthode décrite.

Pour aborder ces périodes de changement, une méthode fut dessinée autour d’un grand principe divin statuant que toute évolution d’une forme de vie supérieure autre que celle visant l’archétype de la perfection devait être proscrite et que l’eugénisme devait être pratiqué. Simple, on élimine les malades et ceux qui ont trois bras.

Par ailleurs les pertes des connaissances de l’humanité étaient imparables à chaque fois. La mise en place d’un tel mécanisme géniteur d’humanité avait comme avantage de servir de courroie de transmission des connaissances acquises dans les générations précédentes, assurant un renouvellement plus fluide.

Une période de chaleur de l’humanité, qui mène tout et qui conduit à la création d’un couvoir humain utilisé pour l’amélioration de la race. Un principe ISO 9000 de l’amélioration continue, mais destinée aux humains. La génoculture.

L’homme apprenait. Déjà l’impact de la crise babylonienne persista moins longtemps que ne le fit celle de la crise noétique et l’humanité se rétablit plus rapidement.

Selon la Bible, Jésus et tout ce qui est humain furent conçus avec le sperme du Roi David, à qui il fut promis que sa descendance couvrirait la terre. Jacob, Salomon, combien d’autres encore ont entendu ces paroles témoignant qu’ils étaient alors concernés par le bon fonctionnement de cette méthode?

Le Jésus était un bon petit gars qui n’a pas choisi son sort. Il était brillant et il a possédé pendant un court instant tout le savoir et toute la puissance que l’humanité avait accumulés depuis l’origine des mondes, pour ensuite réaliser qu’il s’apprêtait à perpétuer à un crime misérable, qui allait asservir la population de la planète sous une nouvelle oligarchie pour les prochains millénaires comme elle l’avait été depuis Babylone.

Il fut le principal sinon le seul orchestrateur de son épopée, jusqu’au moment de sa disparition publique. Toute sa vie ne fut qu’une brillante mise en scène, une campagne digne des meilleurs faiseurs d’images modernes, destinées à mettre une bouteille à la mer qui allait devoir résister à 2000 ans d’inculture abrasive.

Utilisant des ovules sélectionnés dans les populations associés à l’oligarchie, des portées de marmailles avec des caractéristiques physiologiques adaptées furent mises au monde avant d’être acheminées dans les différents pays ou ils étaient attendus comme des rois. Comme en témoigne la quantité de cènes diverse réalisée par la suite et transportant les enseignements d’origines, une partie de cette marmaille allait emporter avec elle les préceptes chrétiens pour les incorporer dans la nouvelle culture de la place.

L’empire allait renaître et l’élite en serait une portée pondue en un tour de main.

Nostradamus Centurie 1 - quatrain 45

Secteur de sectes grand peine au délateur,
Beste en theatre dressé le jeu scenique,
Du faict antique ennobly l'inventeur,
Par sectes monde confus & schismatique.

Ils ne sont pas là pour nous, mais pour eux.

À l’approche des évènements, ils mettent en action une cellule de crise qui récupère la génétique possédant les caractéristiques requises. Ils la fécondent des gènes de la perfection et la divisent dans une couveuse humaine pour obtenir en quelques mois une ribambelle de braillards possédant les caractéristiques souhaitées, qui seront instruit en vase clos à devenir une élite supérieure en symbiose avec l’oligarchie des vieux qui s’achèvent et détestant tous ces misérables bouseux de sauvages qui n’ont aucune idée de ce qui se passe, prêts à être injectés au moment ou le besoin s’en fera sentir.

Ils ne le font pas qu’à l’approche des grands évènements. C’est la façon dont ils renouvellent l’élite. Même dans une nation rebelle à la cause, il est possible grâce à une telle méthode d’accéder en 30 ans à une foule de postes d’influence. En quelques générations à peine, n’importe quel pays peut-être possédé.

Mais le changement auquel nous faisons face n’en est pas un petit et parvenir à le maîtriser nécessitera des efforts beaucoup plus importants.

Au vu de l’excitation mondiale sur la génétique et comme le succès d’une telle opération est tributaire de la mise en place d’une armée de mâles procréateurs le plus tôt possible après le grand nettoyage, il semble opportun de croire qu’une course à cet effet est déjà engagée et qu’elle pompera le jour venu une nouvelle tribu d’élite.

La profonde motivation derrière tout ceci pourrait aussi s’appeler la recherche de la pureté raciale, une expression qui rappelle curieusement celle entourant les prétentions nazies et de la race aryenne.

Il faut se rappeler que l’Allemagne d’Hitler avait engagé beaucoup de recherches sur ces questions dans la période d’entre deux guerres. L’importance accordée à la création d’une race parfaite à partir des jeunesses nazies fut un sujet de préoccupation constant. La race parfaite, tout comme les questions de l’ancienne histoire ou celles de la technologie des anciens récupérée un peu partout sur la planète, furent au coeur d’un lien occulte ayant marqué les actions de l’élite nazie.

Ajoutons-y aussi le curieux parcours d’Hitler à l’enfance insaisissable et ses non moins curieuses décisions comme celle d’avoir littéralement trucidé ses troupes sur le pergélisol de la Russie, plutôt que d’avoir poursuivi sa quête de l’Angleterre. Que dire de sa mort pleine de controverse?

Ajoutons-y de plus les recherches de Mengele cet ange de la mort des camps de concentration Nazi, qui a réalisé certaines des expérimentations de Dareste le tératogénologue, à l’exception que Dareste le faisait sur des oeufs alors que Mengele le faisait sur des sujets humains.

Ajoutons-y la forte tendance de cette élite à avoir cherché refuge après la guerre dans le territoire escarpé de l’Argentine. Une terre vide à l’autre extrémité de la planète, à proximité du pôle Sud, une terre de refuge en cas de bouleversement climatique. Une terre constellée de réserves naturelles privées inaccessibles aux communs des mortels, desquels voyagent des milliers de personnes étrangères.

La réduction de population est déjà commencée.

Pendant ce temps, ils tissent sournoisement un filet entravant toujours un peu plus la liberté du peuple. Toujours un peu plus de législation, toujours un peu plus d’inflation, de désorganisation, jusqu’au jour « J ».

Le calendrier qui suit est celui de l’Amérique du Nord et l’Amérique Centrale dont les destins sont liés. Bien qu’il ne concerne pas le reste de la planète, tous doivent conjuguer ce qui vient d’être dit en tenant pour acquis que de tels plans continentaux avec quelques variantes sont en marche partout.

Les anciens textes parlent de cette guerre apocalyptique ayant eu lieu entre l’Asie et l’Europe. L’Asie en question n’a jamais été l’Asie que nous connaissons, qui n’est qu’une création moderne comme l’a été l’Inde. L’Asie était l’Asea, la terre d’origine des hommes, cette portion de territoire qui occupe le nord du Canada. Amérique-Europe. Ils voudront répéter. Le plan.

C’est aux alentours de 2015-2016 que surviendra une grande assemblée des nations américaines dans lequel le Canada et le Mexique uniront leurs destinées aux É.-U. comme s’ils ne faisaient qu’un. C’est aux alentours de ce moment qu’ils s’attendent d’avoir le premier homme sélectionné pour être le père de la prochaine génération d’élites. C’est à partir de ce moment qu’un épisode de guerre mondiale rageuse est susceptible de démarrer et c’est aussi à ce moment que les préparatifs finaux en vue du plan de dépopulation seront concoctés, pour être brutalement déployé autour de novembre 2020.

Le régime dictatorial qui sera imposé à tous dans les années subséquentes, visera à ramener la population de l’Amérique du Nord et de l’Amérique centrale à une fraction minuscule de ce qu’elle est présentement pour l’an 2024. Cette réduction de population, qui laissera à terme une trentaine de millions d’habitants sur ce territoire, ne sera pas que le fruit d’actions humaines mais aussi le moment ou le taux de natalité s’effondre pour laisser place à la frénésie de la création d’un nouvel homme amélioré.

Triés sur le volet sur une question de pureté et de corruption, une dizaine de millions d’individus seront enclavés du reste de la population, éduqués et inséminés dans cette gigantesque termitière pour devenir la masse d’individus qui formera le coeur de la prochaine génération de l’élite et le gène de la prochaine humanité. Un passage obligé menant au nouvel empire, prix à payer pour un peu de jus d’homme frais.

Ils seront répartis à travers la planète en 2041 pour prendre leurs nouvelles affectations, d’ou ils créeront le nouvel empire en procédant au lent nettoyage ou à l’esclavage des formes de vies inadaptées. Déjà ils savaient créer des animaux de guerres d’une grosseur et d’une puissance terrifiante à l’époque de Babylone. Ces connaissances n’ont pas disparu. Ils sont meilleurs maintenant et les décennies 2020 et 2030 devraient apporter de nombreuses surprises.

Le principe fut faussé.
Pour Hitler, le peuple allemand lui serait reconnaissant pour ses actions pendant le millénaire à venir. Le 3e Reich devait durer 1000 ans. Peut-être avait-il raison.

Le mécanisme que je viens d’exposer fut dessiné pour s’accommoder de ces changements d’ordres « divins » et en tirer le meilleur parti possible. Bien que les changements ne sont pas toujours d’aussi grande envergure que ceux qui approchent, la méthode fut essayée à plusieurs reprises et elle est bien rodée.

En fait, une tablée de gens raisonnables modernes mis en face des mêmes problèmes, parviendrait sans doute à la conclusion qu’une telle méthode apparaît tout à fait raisonnable au vu des circonstances exceptionnelles.

Le principe est bon, mais les détails accrochent, sinon ça n’aurait pas besoin d’être secret.

« Toute évolution d’une forme de vie supérieure autre que celle visant l’archétype de la perfection devait être proscrite et l’eugénisme devait être pratiqué. »

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Or voici que le parrain géniteur lui-même coupe le vin avec de l’eau et qu’en plus de créer la perfection qu’il conservera soigneusement à l’abri de tous, il manufacture en cours de route une sous-classe d’individus qui ne possèderont jamais, ni leur descendance, les attributs de la perfection et qui viendront toujours au monde dans la section de l’incubateur réservé aux abeilles ouvrières la-ferme-et-travaille.

Toute la vie de chacun des individus composant la descendance de cette sous-classe sera invariablement passée au service de la bonne marche d’une société appartenant à l’autre classe, tout en croyant qu’ils possèdent une pleine détermination sur leur propre sort à travers des principes idéologiques comme la démocratie.

Un principe passablement moins généreux et qui n’a rien de divin.

De plus, comme ces grands changements se produisent en cycles et que ces cycles sont prédictibles, laisser des humains se développer dans des zones qui seront éventuellement dévastées par la furie des éléments sans y remédier, n’apparaît pas non plus appartenir à un quelconque principe divin et lorsque cette libéralisation possède comme seul objectif d’accroitre la puissance matérielle de cette élite, c’est encore moins divin.

Du coup les cons se sont rendu compte que s’ils préparaient le terrain et qu’ils faisaient s’effondrer le pays d’avance par des moyens machiavéliques comme l’argent, la révolte et la guerre, ils obtiendraient beaucoup plus de gain. Tout le monde doit mourir un jour après tout.

Bénéfice collatéral non négligeable, il y aurait toujours un prétexte très humain à mettre de l’avant dans les livres d’histoires et plus personne ne parlerait de cette voix divine.

Il était connu dans l’esprit des anciens que ce contrat était orchestré sur un stratagème visant à dissimuler des choses au divin et que le succès de ce stratagème était relatif à des circonstances célestes exceptionnelles qui cesseraient à un moment et qui en empêcheraient sa poursuite dans le futur au-delà de notre époque. Il était prévu que ce contrat négocié avec l’esprit divin concernant la production de l’être parfait, allait être résilié et devrait être renégocié et que le produit de cette négociation serait véritablement le point de départ d’une nouvelle ère humaine, dans laquelle l’être humain gravirait d’une marche la pyramide de l’évolution, un pas qui l’amenait à l’orée d’une nouvelle humanité.

Cette précognition des évènements est en conflit direct avec ce qu’ils sont en train de préparer et en conflit avec la certitude qu’ils possèdent, d’avoir un plan imparable leur assurant le pôle position pour un autre millénaire.

En fonction de ce savoir, ceux qui pourront survivre et transmettre une descendance possèderont un bouquet génétique approprié à la voix divine. Ils se verront gratifiés d’aptitudes additionnelles touchant notamment à l’intelligence, à l’intuition et aux liens individuels, sur une terre qui aura aussi changé pour devenir explosive de vie.

Au fur et à mesure du passage du temps, la génétique de la progéniture dérivera de l’originale, diminuant la portée divine, mais la résurgence des caractères génétiques ponctuera cette lignée ici et là d’individus possédant le modèle original, déclenchant le bouquet d’aptitudes.

Les possesseur de cette lumière divine, que les anciens voyaient comme un véritable phare au-dessus de la tête d’un individu, étaient des gens charismatiques, rassembleurs, séduisant et excellaient dans tout ce qu’ils entreprenaient. Au contraire, une dérive génétique devenait la cause de tous les malheurs et plus la dérive était importante, plus l’individu s’éloignait d’une norme physique et mentale parfaite, jusqu’à finir par perdre ses quelques atouts sociaux.

Vous connaissez maintenant les raisons pour lesquels les femmes deviennent si importantes à certaines époques du monde. Vous connaissez maintenant les raisons pour lesquelles des sociétés entièrement orchestrées autour du pouvoir de la femme comme les Amazones furent créées. Les raisons pour lesquelles ce sont des femmes qui apprennent aux nouveaux hommes les arts et les métiers. Les raisons pour lesquelles elles sont vénérées sous le nom de sainte ou de déesse dans les histoires natives. Les raisons pour lesquelles elles sont représentées à l’origine de toutes les nations.

Parce que de la même façon qu’elles enfantent les hommes, elles enfantent les générations d’hommes.

Elles sont le seul lien. Dieu que la nature est bien faite.

Pierre de Châtillon 28 novembre 2010

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