Le jus de la perfection
« La vérité, rien que la vérité, toute la
vérité. »
Aldous est le fils de l’écrivain Leonard Huxley, il
est aussi le frère de Julian Huxley un biologiste connu pour ses théories sur
l’évolution. Il est le petit fils de Thomas Henry Huxley un des plus importants
naturalistes du 19e siècle, qui fut président de la Royale Society et surnommé
le bouledogue de Darwin pour ses prises de position en faveur de son ami. - Sa mère était la petite
fille du gouverneur de Tasmanie - la soeur de sa mère Mary Arnold était une
écrivaine dont les romans atteignirent des succès. L’oncle de sa mère était le
poète Matthiew Arnold. Il est le frère du biologiste, Sir Julian Sorel Huxley.
Mais la liste des membres de cette dynastie familiale
ne s’arrêtait pas là.
Cette riche brochette familiale le prédisposait
certainement à une carrière scientifique ou militaire ou politique, mais après
une brouille familiale Aldous choisit l’écriture. Il est plus connu du grand
public pour son fameux roman qu’il composa en quatre mois seulement après que
son père lui eut coupé sa pension, « Le meilleur des mondes ». En
voici un résumé.
À Londres en l'an 632, après la destruction des
sociétés anciennes par un conflit généralisé connu sous le nom de « Guerre
de Neuf Ans », l’immense majorité des êtres humains vivent au sein de
l'État mondial, à l’exception de sauvages regroupés dans des réserves.
Huxley nous présente ensuite une société dans
laquelle la reproduction sexuée a totalement disparu. Les foetus sont créés
dans des pipettes, conditionnés et divisés en laboratoire pour produire
plusieurs copies des mêmes individus à la fois. Les traitements que subissent
les embryons au cours de leur développement visent à déterminer les aptitudes
futures qu’ils exprimeront dans la société et seront garants de la caste à
laquelle il appartiendra et toute sa descendance.
Par un puissant système psychoéducationnel, les
enfants sont éduqués à aimer la caste auquel ils appartiennent plus que tout
autre, tout en admirant les castes supérieures et en méprisant les castes
inférieures. La sexualité y est un loisir et tous possèdent de nombreux
partenaires sexuels. L’accouchement naturel est disparu et la maternité de la
femme est un sujet tabou qui fait rougir de honte. Ils sont conditionnés à
devenir de bons participants en société et de bons consommateurs qui doivent y
trouver plaisir et satisfaction, toujours sous le regard inquisiteur des
surveillants de quartier.
Il
fut dit que Huxley racontait une fiction et que cette fiction était d’une
nature prophétique.
L’évolution
La longue suite de fossiles en question est aussi parsemée que l'est l'histoire
de l'homme. Si elle démontrait effectivement des poches d'évolutions, le lien
entre ces poches était un inconnu et ne pouvait être que présumé.
L'évolution populaire moderne
arrive à expliquer preuves à l'appui par une série de lois, qu'il y a des liens raccordant ces poches éparses et qu'un étroit
chemin permet de relier le nématode poisseux vivant dans la vase se nourrissant
de ses propres excréments, jusqu'à l'humain.
Un
raisonnement n'a jamais été une preuve de quoi que ce soit.
Que le pinson rose ou bariole, le soit parce qu'un
de ses parents était rouge et l'autre blanc, est un mécanisme purement déductif
en fonction de lois. Il explique pourquoi votre enfant possédera la couleur de
vos cheveux, ou les yeux de son grand-père.
Aucune magie, un mécanisme.
Que le monde soit aujourd'hui vide de pinson jaune,
parce que les prédateurs sont plus rapides que les jaunes, mais incapables
d'attraper les rouges et les blancs, est un mécanisme purement déductif. Il se
produira une escalade de la compétition et une recherche de la performance
toujours plus grande. Un mécanisme déductif. Une simple mécanique qui repose
sur le hasard des circonstances et qui produira une bouillie de protéine et
d'hormones adaptées au mieux possible.
Mais voilà que les pinsons mauves existent.
La terre est remplie de formes de vies les plus
diverses, il en a toujours été ainsi. Ces différences n'ont rien à voir avec le
nématode à trois couleurs, mais affectent la structure profonde des êtres d'une
poche de vie à l'autre.
Quelque part, quelque chose entrait en jeu et
modifiait la donne. Survenait alors une orgie d'évolution qui débordait des mécanismes
déductifs et qui affectait pratiquement toutes les formes de vies à la fois. De
nouvelles caractéristiques physiologiques qui n'avaient jamais existé
auparavant, apparaissaient comme si entre les deux, quelqu'un s'était amusé a
brasser les cartes avant de les redonner a nouveau.
C'est à ces moments que les yeux sont nés, les branchies,
les nageoires, les poumons, les mammifères, les hommes, les blancs.
Comme si le saut d'évolution n'épargnait rien ni
personne, des différentes formes de vies qui existaient auparavant, bien peu
survivaient. En dépit de ceci, il y avait toujours un foisonnement de nouvelles
formes de vie, dans toutes les poches découvertes.
Et c'est ici que l'évolution divine entre en
compte.
L'évolution divine vue par la science populaire
moderne, alimentée par la philosophie moderne, elle-même s'inspirant de la
religion et de la philosophie ancienne, s'appelle le design intelligent.
Le design intelligent est un concept grotesque de
la science populaire moderne qui tient du bonhomme à barbe dans un trône,
dessinant des plans de la forme et des particularités que possédera le vivant
de demain. Vu de cet angle, il est facile de concevoir que tous ont sauté à
pieds joints sur la plate-forme offerte par Darwin le père de l'évolution
moderne, pour ridiculiser les ridicules.
C'est
au cours du 19e siècle que la théorie de
l'évolution
de Darwin venait affronter celle de Dieu. À partir de l'analyse
des anciennes
formes de vies ayant existé sur la planète, Darwin
expliquait alors d'une manière
très raisonnable, la façon dont la vie s'était
diversifiée via un mélange d'amélioration
continue et de hasard conduisant au résultat actuel, en prenant
pour acquis que
la Terre était un vase clos. La venue de cette nouvelle
théorie fit à l'époque
beaucoup de bruit et attisa les passions de ceux qui prônaient
l'action de la
philosophie divine, nommés les créationnistes.
La consécration de la théorie de Darwin se
produisit au cours des années 50, lorsque durant une expérimentation
scientifique, de l'hydrogène, de l'azote, de l'oxygène et de l'eau furent combinés
dans un ballon de verre, dans lequel fut injectée de l'électricité pour y
simuler les éclairs. Au bout de quelques semaines, l'analyse des liquides du réservoir
démontrait la présence d'acides amines, brique de construction essentielle du
vivant dont la présence prouvait hors de
tout doute, selon le point de vue de la science moderne, que Darwin avait
raison.
Mais tout n'était pas dit.
Curieusement,
la théorie de Darwin laissait dans
l'ombre deux questions fondamentales. La première, est que la
lutte prétendue
entre les deux théories était très inégale
puisque cette théorie de Darwin n’était
en compétition contre rien du tout. Encore aujourd'hui bien peu
d'individus
sont en mesure d'expliquer convenablement ce qu'était
réellement le créationnisme
de la théorie divine, autrement que par une explication
simpliste et enfantine.
Bien qu'il soit possible de voir partout les vestiges
de vies passées, desquels il est possible de construire une théorie conduisant
aux formes de vies actuelles, nous sommes incapables de témoigner directement d'un
seul résultat de l'évolution qui aurait pris place au cours des derniers siècles,
tel que la théorie de Darwin le prône.
Les petits pois de Mendel le moine allemand, étaient
bien reels et le papillon bleu qui se croise avec le papillon rose, donnerait éventuellement
un papillon bleu-rose, un mécanisme purement déductif. Mais le changement
menant a un papillon a cinq ailes ou a cinq pattes ou trois antennes, ou qui suggérait
la possibilité d'un quelconque pas évolutif viable, comme celui ayant mené des
dinosaures aux premiers mammifères, ou celui ayant mené des premiers mammifères
a l'homme, n'existait simplement pas.
Non seulement cette expérience scientifique du réservoir
produisant les acides aminés ne prouvait pas la théorie de Darwin, puisqu'elle
n'était pas en vase clos comme il fut prétendu et que de l'électricité y était injectée, mais cet apport extérieur venait appuyer la prétention
des anciens a l'effet que l'énergie céleste occasionnant l'électricité, était au
coeur du mécanisme d'évolution. Cette expérimentation prouvait précisément le
contraire de ce qui était dit.
Darwin avait tout bien. Les formes de vie évoluaient
et une fine ligne menait du dinosaure à l'homme. Mais la théorie de l'évolution
de Darwin avait ceci de particulier qu'elle laissait tomber en cours de route
un facteur important, l'évolution ne se produisait pas de façon continue mais
survenait par poussée, initiée par des changements provenant de l'extérieur qui
était la conséquence de la musique des sphères, cette voix de Dieu.
L'évolution divine telle qu’identifiée par les
anciens se manifeste constamment, partout. Toutes les fois qu'un veau albinos
nait, ou qu'un enfant trisomique nait, ou qu'un enfant avec trois bras nait, il
est le produit de ce qu'ils appelaient l'évolution divine. Toutes ces différences
n'étaient pas sous le pouvoir de l'homme et par conséquent, elles étaient le
fruit exclusif du pouvoir divin.
Au contraire des poussées d'évolution, toutes ces
formes de vies différentes se sont manifestés à un moment ou la voix divine se
traduisant par des changements dans cette électricité, était peu présente.
Elles se sont produites d'une façon éparse et sont apparues comme des phénomènes
uniques, incapables de reproduire leur différence.
Mais il arrivait que l'émanation de la voix divine
soit particulièremet puissante, affectant de grandes régions à la fois,
perturbant tout le climat vital.
Les effets conséquents
pouvaient se manifester sur le code génétique ou le fonctionnement de la
cellule, ou encore dans le fonctionnement cérébral occasionnant des mutations génétiques.
Lorsque ces événements surviennent, ils entrainent des modifications qui
affectent toute la vie présente dans une région. À la différence du cas isole,
dans la période d'une génération toute une population se retrouvait affublé des
mêmes changements et manifestement capable de transmettre cette différence.
C'est ce qui est à l'origine de ce que nous
appelons évolution.
La réponse à un mécanisme induit provenant de
l’extérieur, qui modifiait des caractéristiques de la vie d’une région,
affectant tous les nouveaux nés. Un peu comme le ferait la présence de
radiation atomique sur un territoire, à l’exception près que l’ensemble de la
vie d’une région tendra à prendre une direction similaire.
Ce rayonnement affecte le code génétique de toutes
les formes de vies présentes et apporte des caractéristiques nouvelles, qui
sont conditionnées vers ce que les anciens appelaient la perfection, un concept
qui s’apparentait à l’humain caucasien.
Poisson avec des dents d’apparence humaine
découvert le long des côtes du Texas en 2003
Carpe possédant un crâne offrant
des similitudes avec le visage humain, découvert à Séoul en 2005
C'est ce qui fut appelé la guidance divine. Lorsque
cette période de changement se produit, toute la vie monte d’une marche dans ce
grand arbre de l’évolution, acquérant ici et là des caractéristiques nouvelles
qui les rapprochent d’une façon ou d’une autre de la physionomie humaine. Concentrées
et homogénéisées par une réduction importante de la population, ces
caractéristiques nous sont aujourd’hui acquises et apparaissent partout.
Curieusement, les exemples des malformations ramenant l’homme dans une direction « animale » sont beaucoup moins connus, comme cette tribu d’hommes rapportés à la Grèce antique qui avaient développé un appendice caudal similaire à la queue du singe et avaient du s’inventer une chaise avec un trou pour y trouver confort.
Que dire de la licorne, du centaure, du Léviathan, des animaux mythiques, dont la découverte aurait nécessairement eu comme conséquence de fixer la vieille mythologie, un indésirable aux yeux des oligarques.
Or il apparait que cette période de changements est particulièrement sévère. Les textes qui en parlent ont été sérieusement amputés et les changements climatiques précédents ces périodes, laissaient une génération plus inculte que celles les précédant. Bien peu d’information nous en est parvenue autrement que celle déformée par la religion des conquérants.
Le quart des individus apparaissant
dans les représentations de scènes anciennes provenant de l’iconographie
religieuse jusqu’à la période après le Jésus, sont infirmes.
Des gens qui possèdent
des malformations sévères aux membres, qui sont trop gros ou déformés.
Ou encore possédant des
doigts beaucoup trop longs.
Ou possédant des tissus
recouvrant les mains.
Même la vierge et parfois
le Jésus sont affublés sur certaines représentations de doigts et d’orteils anormalement
longs ou avec le petit doigt déformé.
Des symptômes qui suggéraient
la résurgence de maladies auto-immunes comme le syndrome de Marfan ou la
maladie de Dupuytren.
Et c
En fait, même s’il y a
quantité de jeunes femmes, il n’y a aucun garçon, garçonnet, jeune homme. Et de
plus, tous les mâles qui y apparaissent sont âgés et grisonnants.
Au moment des croisées apportant les changements, une série de maux chroniques affectaient la population, dont l’arthrite, la lèpre, l’éléphantiasis et une baisse du taux de fertilité. Parallèlement à la période des grandes plaies, ces maux chroniques grandissaient pour prendre des proportions alarmantes, jusqu’à la période appelée la mort des premiers-nés, ces jeunes garçons qui mourraient dès qu’ils étaient en age de se reproduire, empoisonnés par leur propre semence. Se protéger de ce rayonnement cosmique était la raison de ces constructions cyclopéennes de pierre qui proviennent des générations précédentes. Arrêter la pénétration du rayonnement par une épaisse couche de pierre.
Pendant la quinzaine d’années qui suivirent, la fertilité des femmes avoisina le zéro et le peu qui arrivaient encore à enfanter accouchaient de garçons affectés de malformations telles qu’ils ne survivaient pas la naissance ou de filles atteintes de maladies dégénératives.
La période précédant la venue du Jésus fut celle de l’explosion de l’iconographie religieuse. Des centaines de peintures, de gravures, de sculptures témoignent de cette époque identifiée comme « si importante » dans l’histoire et présentant le Jésus dans une scène ou une autre. Son visage est étampé à la grandeur des églises du monde depuis aussi longtemps que les églises existent et à chaque fois qu’une date significative de son périple se présente, il y a toujours masse de fidèles qui se pointent pour en être.Il est connu et respecté
du monde entier. Dans toutes les religions, dans toutes les histoires. Sa vie
fut jugée si importante, qu’elle fut ajoutée à la suite du livre le plus
important des hommes de l’époque, l’Ancien Testament.
Il n’est pas connu par
conquête, car la plupart de ces nations connaissaient déjà la vie de cet
individu dans leurs cultures natives.
Mettons ça au clair. Les
gens d’avant possédaient une culture et des références différentes, mais ce
n’étaient quand même pas des imbéciles!
Le Jésus tenait des
discours éloquents et enflammant je veux bien, il illuminait et il guérissait
des gens passe encore, mais il y a quand même une limite. Beaucoup d’autres
personnages anciens ont été affublés de ces mêmes caractéristiques et ils n’ont
pas arraché toute l’attention de l’histoire et 2000 ans de culture pour autant.
Le jeune Jésus était le nouvel homme.
Son âge et sa santé le destinaient à survivre plusieurs décennies à tous les autres sages de l’ancienne époque. Sa popularité incontestable dans la ferveur populaire le destinait à un statut royal. Pour ces raisons, il devenait l’héritier patenté des connaissances ancestrales des hommes. L’élu.
Pas l’élu du peuple, l’élu de l’élite. Celui qui sera capable de poursuivre la dynastie. Il était d’une qualité supérieure et ne possédait pas les faiblesses affectant le reste des hommes. Il fut la source génétique de toute la génération des hommes qui suivit.
Voici 4 des apôtres, tirés de la cène peinte par Da
Vinci. Il est possible de constater la ressemblance frappante qui existe dans
la morphologie des visages.
Bien mal joué à celui qui ne voudrait y voir qu’une simple coïncidence, ou la lubie d’un peintre ou le produit d’un taux élevé de consanguinité fortuite.
La cène par Juan de Juanes
La cène Leandro Bassano
La cène Monvearni
La cène Francesco Fontebasso
La cène Jacopo Bassano
La cène, auteur inconnu
Du bouturage.
Et ce n’était pas une lubie d’artiste, toutes les
représentations de la cène qui reste, possèdent deux, trois, parfois plusieurs personnages
qui possèdent des ressemblances frappantes, identifiants des liens de parenté
évidents.
Ce n’était pas non plus le produit d’un courant de
la peinture car il existe de nombreuses représentations tirées de ces époques
possédant plusieurs individus ayant des physionomies proches.
Au vu des révélations qui apparaissent par la suite
dans les gravures d’époque, il est manifeste de croire que le Jésus se buta
contre la grande noirceur qui se voulait imposée par l’oligarchie des anciens.
Sans doute misa t’il sur l’admiration que son
statut de premier homme continuait de susciter à travers le peuple. Sans doute
misa t’il aussi sur son statut de « père » puisque pour tous ces
enfants, dont les cris égayaient à nouveau les peuples, étaient ses enfants. Soulevant
quelques-uns des jeunes élus du temple à ses desseins, ils se rebellèrent
contre la destinée promise par les prêtres.
C’est ici que l’iconographie religieuse devient
très importante. Elle est un langage qui possède ses propres finesses et qui
fut élaboré par des gens qui possédaient un savoir infiniment plus important,
que ce que l’histoire moderne leur prête et spécialement destiné aux générations
d’illettrés qui allaient suivre.
Les concepts que cette iconographie propose nous
apparaissent aujourd’hui nébuleux et incompris, car nous ne possédons pas la
clé de ce langage, l’os autour duquel était aggloméré le savoir.
Cette clé n’est pas un secret, elle est disparue de
la connaissance populaire pour être remplacée par la nouvelle science. En dépit
de cette disparition, les concepts derrière cette iconographie continuèrent à
être propagés par des individus ordinaires qui en connaissaient les clés
jusqu’au début du 20e siècle.
Puisque nous ne possédons plus cette clé, il faut
se résoudre à la reconstruire pour comprendre.
Le foisonnement de représentations décrivant des scènes identiques permet de comparer les croyances à travers les cultures et les époques. De cette comparaison, il sera possible d’en extraire des bouquets de caractéristiques qui se retrouveront à travers les scènes, et qui serviront à jalonner les points d’intérêts de cet ancien savoir.
La cène Tiepolo Giovanni Battista
La cène est une de ces oeuvres qui fut reproduite à
de nombreuses reprises. C’est une symbolique. Elle n’a rien à voir avec un
repas véritable augmenté d’une émotion religieuse, mais elle tire son origine
d’une mise en scène orchestrée à dessein par la bande du Jésus, qui visait à garder
un savoir vivant à l’usage d’une
postérité qu’ils envisageaient illettrée.
Le Jésus connaissait le plan à venir. Il
connaissait l’esprit retors dont l’homme pouvait faire preuve. D’avoir créé
autant de copie de la cène, laisse croire que le Jésus avait trouvé une façon
d’envoyer sa bouteille à la mer et de battre le plan en se reposant sur la
multiplicité des copies, tout en sachant qu’un jour émergera une société qui offrira
à sa population la capacité d’aligner une trentaine de représentations de la
cène côte à côte et qu’il allait nécessairement y avoir un de ces curieux qui
allait relever les anomalies (sic).
Il existe une trentaine de représentations de la
cène qui furent propagées dans diverses nations à travers la planète. Provenant
principalement de l’hémisphère nord, ces cènes furent réalisées par divers
auteurs sur une période de 10 siècles et beaucoup sont des recopies d’oeuvres
plus anciennes encore.
Les
cènes produites après la fin du 19e siècle ne sont généralement que des vues de
l’esprit et ne possèdent pas ou très peu des caractéristiques qui jalonnent
l’ensemble. Certaines des cènes réalisées avant cette période apparaissent
timorées et ne possèdent ni la richesse ni les caractéristiques des autres
oeuvres.
Le reste des cènes peut-être
divisé en deux grands courants.
Celui de la culture du moyen orient, qui montre dans un art musulman naïf un Jésus assis à l’extrémité d’une longue table vue de côté.
Et celui
de la culture occidentale, qui offrira une présentation de face, montrant une
table d’apôtres avec le Jésus qui en occupe le centre approximatif.
Voici les
caractéristiques les plus fréquemment rencontrées.
Toutes
les cènes sont constituées de 13 ou de 14 individus, soit 12 apôtres en plus du
Jésus et d’autres personnages supplémentaires. Le Jésus est toujours à
proximité d’un gringalet qui apparait faible ou malade et se tient courbé sur
la table ou sur les genoux du Jésus.
Aux fins
de l’analyse des multiples cènes, nous effectuerons un repérage utilisant un
système horaire, basé sur ce gringalet qui occupera la position midi. Tous les
individus qui l’entourent pourront être localisés par l’heure qu’ils occupent
sur une horloge. Nous ne compterons que les 12 apôtres et les autres
personnages seront identifiés en fonction de la position qu’ils occupent sur
cette horloge.
Ce
gringalet en question n’est pas toujours au centre de la table. Il y aura
souvent 6 individus de chaque côté, mais il y en aura parfois 5 à sa droite et
7 à sa gauche. À ces 12 individus, qui portent parfois une couronne lumineuse,
s’ajoute le Jésus qui sera toujours à la position midi, mais il sera parfois
d’un côté du gringalet, parfois de l’autre.
Très
souvent, la cène comportera six apôtres de jeune âge et six d’âge avancé,
visibles par les cheveux grisonnants et la longue barbe. Les apôtres sont
parfois séparés par les couverts sur la table, alors qu’à d’autres apparaissent
des singularités comme un couteau menaçant, un porteur d’eau, un verre d’eau,
toujours à des positions précises. Les apôtres assis à la droite du Jésus
seront généralement plus animés que ceux assis à sa gauche, plus dépressifs.
Tous
prennent grand soin de montrer leurs mains. Dans l’iconographie religieuse, les
mains et les pieds sont constamment le centre d’intérêt. Dans toutes les scènes
religieuses, ils touchent aux pieds, ils les manipulent, ils les montrent, ils les
regardent, ils les lavent. Souvent des enfants sont près des tables pour
observer les pieds.
Alors que
dans la période précédant la naissance du Jésus tous portent des bottillons,
les pieds sont nus dans la plupart des scènes auxquels il participe.
Les
couleurs des vêtements ne sont pas toujours les mêmes, mais le rouge et le vert
prédominent dans un ordre similaire. Le jaune est une couleur qui apparaît
assez souvent et un apôtre habillé d’une couleur distinctive comme le blanc ou
le doré, apparaît souvent.
Il y a
souvent une discussion entre les individus situés à la position 3 et 4 heures (parfois
entre 4 heures et 5 heures), dans laquelle un, tente manifestement d’expliquer
quelque chose à l’autre. Il y a assez souvent discussion entre les individus de
la position 7 et 8 heures.
Il y a
toujours un brigand qui sera généralement reconnaissable à la bourse d’or qu’il
dissimule du regard des autres derrière son dos ou par ses actions. Lorsque les
apôtres possèdent une couronne, lui n’en aura pas ou en possèdera une de
couleur noire. Il aura parfois une mine patibulaire, à d’autres il exhibera une
richesse marquée ou un comportement pressé. Il occupera généralement une
position diagonale avec le Jésus, entre 5 et 6 heures et sera aperçu de dos. Sa
tête sera souvent tournée et son regard fixera intensément le peintre de la
scène. Son expression dénotera un regard scrutateur, analytique, retiré de l’action.
L’individu
à 3 heures est débilité.
Généralement visible à ses mains qu’il tient
recroquevillées
ou des doigts très longs. Il est souvent hagard ou expose un
profil fuyant. Il
est parfois sexdactyle (6 orteils ou 6 doigts) du pied comme sur la
cène de
Davinci.
L’apôtre situé
à 9 heures soit de l’autre côté du gringalet, démontre aussi parfois des
caractéristiques sexdactyles aux mains sous la forme d’un doigt avorton court
entre le majeur et l’annulaire.
À
l’exception du Jésus qui est toujours exempt de déformation, la plupart ont des
pieds déformés, semblables à ceux des grands marcheurs pieds nus, mais avec une
forte extension latérale à la jointure du gros orteil.
L’apôtre
7 heures possède un air malsain ou son visage sera caché. L’apôtre 6 heures sera
souvent suivi d’un porteur d’eau, de nourriture et du banquet sur la table,
suivi parfois d’une table triangulaire, d’un chien et du brigand.
Un porteur
d’eau, un verre de liquide ou un couteau apparaissent entre 9 et 10 heures.
Le
gringalet sera généralement couché en direction inverse des aiguilles d’une
montre sur le Jésus ou sur l’individu de 11 heures. Il arrive parfois que le
gringalet soit en position inverse, couché sur la table en direction des
aiguilles d’une montre. Dans une telle scène, l’horloge identifiant les
personnages et les caractéristiques de la scène sont les même, mais entièrement
inversés et reflètent une modification culturelle sur la façon de regarder le
zodiac, survenue après la mort du Jésus.
12 constellations, un zodiac, une scène purement
astrologique.
La cène
est un calendrier des évènements célestes et des changements qui affectent le
climat de la planète et le psyché des hommes. Le Jésus occupe la position de la
constellation de l’Autel, située immédiatement en dessous de celle du Scorpion,
ce gringalet malade couché sur le Jésus dont l’orientation indique aussi l’orientation
du système solaire.
Avec le
gringalet Scorpion tourné vers la gauche, voici les symboles représentés par
les différents personnages. 1 heure la Balance, 2 heures la Vierge, 3 heures le
Lion, 4 heures le Cancer, 5 heures le Gémaux, 6 heures le Taureau, 7 heures le
Bélier, 8 heures les Poissons, 9 heure le Verseau, 10 heures le Capricorne, 11 heures
le Sagittaire et midi le Scorpion.
C’est le
25 décembre que cet effluve le plus bénéfique symbolisé par la position du Jésus
apparait, le Christos. Le moment ou le soleil traverse l’étroit intervalle
existant entre le scorpion et le Sagittaire, seul temps où le rayonnement de la
constellation de l’Autel nous parvient. Quand le Jésus est dans l’angle
d’observation, le mouton sur la table l’est aussi. Cette symbolique suggère la
remise d’un bienfait nourrissant à cet instant, beaucoup plus que tout autre. Le
soleil quitte ensuite les constellations peu énergisées pour commencer à
communiquer de l’énergie en bouffée à chaque fin du cycle de la lune, de
janvier jusqu’à la fin mars début avril, moment du festin de Pâques. Cette
période se retrouve encadrée dans une période dangereuse, identifiée par un
couteau qui apparaît souvent à cet endroit.
Symbolisée
par le porteur d’eau, l’énergie bienfaisante revient donner une bouffée à la
fin de mai. La table triangulaire, le chien, le chat, le porteur d’eau, le
brigand sont tous dans l’intervalle séparant le 21 de mai du 21 de juillet. Le
porteur d’eau et le plat sont les premiers. Ils sont une distribution de
bienfaits qui se produit immédiatement avant le solstice d’été.
C’est à
la fin de juin, moment suivant le solstice d’été, symbolisé par le lever de la constellation
du Grand Chien, que le brigand se manifeste pour écoper une partie de l’énergie
vitale et s’enfuir avec, débutant un cycle pauvre en énergie et instruisant que
cette énergie est indispensable au bon fonctionnement vital pour le reste de
l’an. C’est à ce moment du cycle que cette énergie s’épuise le plus. Il n’en
survient plus d'autres jusqu’en septembre, autour de l’été des Indiens.
Un
couteau apparait parfois en début octobre, moment où les apôtres commencent à
avoir une allure plus dépressive, indiquant le danger de la période.
La table
triangulaire symbolise le triangle astrologique. Il signifie que la formation
en triangle des planètes au moment du solstice d’été, possèdera une incidence
beaucoup plus importante qu’à tout autre moment en ce qui concerne le géo
climat ou le climat vital. Tremblements de terre, tornades, tempêtes et crises
sociales seront plus importants, si ce triangle astrologique se forme au
solstice de l’été plutôt qu’à tout autre moment.
Au-delà
des mois, l’astrologie indique aussi la latitude affectée. En projection
inverse, tout ce qui se passe en dessous de l’équateur céleste se projette sur
l’hémisphère nord de la planète et inversement. Par un simple simulateur
astronomique donnant l’azimut, il est possible de déterminer la latitude qui
sera affectée.
La table
en « U » ouverte sur les mois d’été n’est pas sans raison. Elle indique
le vide. Les climats affectés sont la bande équatoriale entre le tropique du Cancer
et celui du Capricorne. Ils ne sont viables que durant une courte période de
quelques siècles à tous les millénaires et doivent constamment se renouveller.
Les
apôtres de septembre et mars (9 heures et 3 heures) sont ceux qui sont le plus
affublés de maladies. La région d’un million de yards chevauchant le tropique
du cancer et le tropique du Capricorne seront celles les plus affectées par les
malformations congénitales. À tout moment, la meilleure bande de la planète est
en haut du 45e parallèle, seul endroit recevant ample quantité de rayonnement
provenant de la constellation de l’Autel.
Comme les
cycles ne sont jamais qu’une addition de cycles occasionnés par le passage des
planètes, qui sont tous conformés avec la même physionomie, certains grands
cycles possèderont donc un effet intense et profond à tout point de vue qui n’est
plus sur la base de l’année solaire, mais celle de la période orbitale des
autres corps du système solaire. Puisque toutes les planètes circulent dans l’axe
de la bande équatoriale, c’est à cette hauteur qu’elles achemineront
principalement leurs énergies et c’est ce territoire qui est le plus sévèrement
affecté par le passage répétitif des planètes.
La
véritable cause est Pluton. En dépit de sa distance et de sa petite dimension,
Pluton par sa position sur la périphérie du système solaire, possède beaucoup
d’effets sur l’énergie qui pénètre le système solaire. Cette caractéristique
était bien connue des anciens et la largeur de la bande équatoriale entre le
tropique du Cancer et celui du Capricorne est un jalon aussi vieux que l’homme,
qui correspond précisément au débattement angulaire de la planète Pluton d’une
extrémité à l’autre de son orbite millénaire. Pluton circule exclusivement dans
cette zone et la condamne en la parsemant de nombreux déserts.
Alors que
Pluton était dans l’hémisphère nord du ciel et que son effet se dissipait vers
le pôle Sud depuis 500 ans, depuis 2005 il a croisé le plancher céleste correspondant
à l’équateur de la terre et se dirige vers le nord, le tropique du Cancer. Son
effet se dissipe maintenant vers le pôle Nord. Toutes les planètes qui croiseront
cet équateur occasionneront une dépression importante, mais la distance au
soleil de Pluton lui communique une période de dépression particulièrement longue
et importante en fin de cycle. Cette dépression énergétique qui s’étire sur une
trentaine d’années se conjugue aux autres perturbations, qui se reflètent dans
le climat de la planète.
C’était
l’avertissement apocalyptique concernant le 666. Ce chiffre démonisé à outrance
n’était pas une marque individuelle, mais celle du territoire auxquelles les
gens appartiennent.
Une
mesure tirée des pôles utilisés par les anciens navigateurs jusqu’à la marque des
6 megas yards (6,000,000 yards), chevauchera approximativement les deux
tropiques et délimiteront ainsi le « no man’s land ». La bande
équatoriale comprise à l’intérieur des marques de 6 megas yards devenait
l’enfer. Le « Ell » (prononcer « hell » traduction du
mot enfer) était le nom qui était donné à l’ancêtre du yard.
Je
vous
suggère qu’Huxley n’a jamais raconté de
fiction, mais qu’il a en fait romancé
une histoire véritable. Je vous suggère que la brouille
avec son père, à
l’origine de sa situation précaire, avait à voir
avec la lecture de ce
manuscrit révélant des secrets familiaux sournois. Je
vous suggère aussi qu’il
n’a jamais écrit son manuscrit dans une période de
4 mois après avoir été
répudié de son père, mais qu’il s’est
plutôt tapé une dépression en finissant de
cuver sur le peu d’argent qu’il lui restait, avant de
prendre les dernières
journées pour arracher quelques pages et faire quelques
corrections qui feraient
apparaitre tout ceci dans un monde imaginaire sans lien avec la
réalité et les
secrets familiaux.
Il
avait
été éduqué pour être le maître,
le père. Pour tout connaître. Il savait tout,
incluant le plan. Et ce plan impliquait la disparition de cette buse de
vie
extrêmement importante. Le centre galactique. Une action qui
servirait à avilir
les hommes.
« Buvez et mangez, car ceci
est... » n’a
jamais visé à nous faire lui acheminer des pensées d’amour pour obtenir des
miracles, mais visait à rappeler l’importance d’observer les rituels des
anciens et de s’exposer à cette luminosité qui transcendait tout à l’aube du 22
au 25 décembre, avant le lever du Soleil. C’est à ce moment et à ce moment seul
que sont transmis les dons de Dieu, un bouquet d’intelligence, d’intuition, de
sagesse, d’amabilité, de douceur et une direction.
Voir et
être vu, était le principe.
L’interprétation
des « cènes » va bien au-delà et sa composition touche une symbolique
multiple. Avoir été au centre d’une telle usine à marmailles pondant des copies
à la douzaine en lot identifiable, plaçait le Jésus au centre d’une
connaissance supérieure qu’il savait réservé à l’usage de peu.
À eux
tous, ils lancèrent un message en bouteille, une capsule temporelle qui s’est
rendu une trentaine de fois. Le format du message n’est pas gros, mais il fut
bien utilisé.
Génoculture
Avec le
temps suivant le passage de ces crises, l’homme finit par retrouver ses
facultés génitrices à l’extérieur de cette gigantesque termitière. La
concentration des caractères par la réduction de population, en plus de la
perte de coordination occasionnée par l’absence de ce rayonnement divin, était
la cause de dérive génétique intenable. Une terre laissée en friche.
Cela s’est déjà produit dans l’histoire ancienne et ces dérives ne sont pas tolérées. Suivant l’expulsion du paradis terrestre, l’humanité fut rejetée tout autour sans posséder les préceptes de ce savoir. Ça s’est aussi produit à la fin de la grande Babylone, lorsque les garçons ne franchissaient plus le cap adulte sans s’empoisonner avec leur semence.
Le jour où
un nouvel enfant se pointait, il n’y avait plus d’adultes pour lui
enseigner. Combien de temps avant que la graine ne germe de nouveau et
qu’une tribu équilibrée émerge? 50 ans? 100 ans? 200 ans? La confusion des
langues.
Leur
développement physiologique en fut affecté, provoquant une diversification
chaotique duquel émergèrent une myriade de sous espèce humaines dont furent les
malfaisants géants et les cyclopes. Selon les anciens, cette situation était
intolérable aux yeux du divin. Une constatation qui semble basée sur des
considérations éthiques, puisque l’inverse aurait eu comme effet de normaliser
une foule de nouveaux formats et de laisser libre cours à une évolution
chaotique.
La
destruction de ces formes de vies fut la raison invoquée par les
anciens pour
justifier le déluge noétique qui effaça la vie de
la planète en plus de laisser
Noé dans un rôle de géniteur d’une
humanité toute neuve, un évènement qui n’est
pas sans rappeler la méthode décrite.
Pour
aborder ces périodes de changement, une méthode fut dessinée autour d’un grand
principe divin statuant que toute évolution d’une forme de vie supérieure autre
que celle visant l’archétype de la perfection devait être proscrite et que l’eugénisme
devait être pratiqué. Simple, on élimine les malades et ceux qui ont trois
bras.
Par
ailleurs les pertes des connaissances de l’humanité étaient imparables à chaque
fois. La mise en place d’un tel mécanisme géniteur d’humanité avait comme
avantage de servir de courroie de transmission des connaissances acquises dans
les générations précédentes, assurant un renouvellement plus fluide.
Une
période de chaleur de l’humanité, qui mène tout et qui conduit à la création
d’un couvoir humain utilisé pour l’amélioration de la race. Un principe ISO
9000 de l’amélioration continue, mais destinée aux humains. La génoculture.
L’homme
apprenait. Déjà l’impact de la crise babylonienne persista moins longtemps que
ne le fit celle de la crise noétique et l’humanité se rétablit plus rapidement.
Selon la
Bible, Jésus et tout ce qui est humain furent conçus avec le sperme du Roi
David, à qui il fut promis que sa descendance couvrirait la terre. Jacob,
Salomon, combien d’autres encore ont entendu ces paroles témoignant qu’ils étaient
alors concernés par le bon fonctionnement de cette méthode?
Le Jésus
était un bon petit gars qui n’a pas choisi son sort. Il était brillant et il a
possédé pendant un court instant tout le savoir et toute la puissance que
l’humanité avait accumulés depuis l’origine des mondes, pour ensuite réaliser
qu’il s’apprêtait à perpétuer à un crime misérable, qui allait asservir la
population de la planète sous une nouvelle oligarchie pour les prochains
millénaires comme elle l’avait été depuis Babylone.
Utilisant
des ovules sélectionnés dans les populations associés à l’oligarchie, des
portées de marmailles avec des caractéristiques physiologiques adaptées furent mises
au monde avant d’être acheminées dans les différents pays ou ils étaient
attendus comme des rois. Comme en témoigne la quantité de cènes diverse
réalisée par la suite et transportant les enseignements d’origines, une partie
de cette marmaille allait emporter avec elle les préceptes chrétiens pour les
incorporer dans la nouvelle culture de la place.
L’empire
allait renaître et l’élite en serait une portée pondue en un tour de main.
Nostradamus
Centurie 1 - quatrain 45
Secteur de
sectes grand peine au délateur,
Beste en theatre dressé le jeu scenique,
Du faict antique ennobly l'inventeur,
Par sectes monde confus & schismatique.
Ils ne
sont pas là pour nous, mais pour eux.
À
l’approche des évènements, ils mettent en action une cellule de crise qui récupère
la génétique possédant les caractéristiques requises. Ils la fécondent des
gènes de la perfection et la divisent dans une couveuse humaine pour obtenir en
quelques mois une ribambelle de braillards possédant les caractéristiques souhaitées,
qui seront instruit en vase clos à devenir une élite supérieure en symbiose
avec l’oligarchie des vieux qui s’achèvent et détestant tous ces misérables bouseux
de sauvages qui n’ont aucune idée de ce qui se passe, prêts à être injectés au
moment ou le besoin s’en fera sentir.
Ils ne le
font pas qu’à l’approche des grands évènements. C’est la façon dont ils
renouvellent l’élite. Même dans une nation rebelle à la cause, il est possible
grâce à une telle méthode d’accéder en 30 ans à une foule de postes
d’influence. En quelques générations à peine, n’importe quel pays peut-être
possédé.
Mais le
changement auquel nous faisons face n’en est pas un petit et parvenir à le
maîtriser nécessitera des efforts beaucoup plus importants.
Au vu de
l’excitation mondiale sur la génétique et comme le succès d’une telle opération
est tributaire de la mise en place d’une armée de mâles procréateurs le plus
tôt possible après le grand nettoyage, il semble opportun de croire qu’une
course à cet effet est déjà engagée et qu’elle pompera le jour venu une
nouvelle tribu d’élite.
La
profonde motivation derrière tout ceci pourrait aussi s’appeler la recherche de
la pureté raciale, une expression qui rappelle curieusement celle entourant les
prétentions nazies et de la race aryenne.
Il faut
se rappeler que l’Allemagne d’Hitler avait engagé beaucoup de recherches sur
ces questions dans la période d’entre deux guerres. L’importance accordée à la
création d’une race parfaite à partir des jeunesses nazies fut un sujet de
préoccupation constant. La race parfaite, tout comme les questions de
l’ancienne histoire ou celles de la technologie des anciens récupérée un peu
partout sur la planète, furent au coeur d’un lien occulte ayant marqué les
actions de l’élite nazie.
Ajoutons-y
aussi le curieux parcours d’Hitler à l’enfance insaisissable et ses non moins
curieuses décisions comme celle d’avoir littéralement trucidé ses troupes sur
le pergélisol de la Russie, plutôt que d’avoir poursuivi sa quête de
l’Angleterre. Que dire de sa mort pleine de controverse?
Ajoutons-y
de plus les recherches de Mengele cet ange de la mort des camps de
concentration Nazi, qui a réalisé certaines des expérimentations de Dareste le
tératogénologue, à l’exception que Dareste le faisait sur des oeufs alors que
Mengele le faisait sur des sujets humains.
Ajoutons-y
la forte tendance de cette élite à avoir cherché refuge après la guerre dans le
territoire escarpé de l’Argentine. Une terre vide à l’autre extrémité de la
planète, à proximité du pôle Sud, une terre de refuge en cas de bouleversement
climatique. Une terre constellée de réserves naturelles privées inaccessibles aux
communs des mortels, desquels voyagent des milliers de personnes étrangères.
La réduction de population est déjà commencée.
Pendant
ce temps, ils tissent sournoisement un filet entravant toujours un peu plus la
liberté du peuple. Toujours un peu plus de législation, toujours un peu plus
d’inflation, de désorganisation, jusqu’au jour « J ».
Le
calendrier qui suit est celui de l’Amérique du Nord et l’Amérique Centrale dont
les destins sont liés. Bien qu’il ne concerne pas le reste de la planète, tous doivent
conjuguer ce qui vient d’être dit en tenant pour acquis que de tels plans
continentaux avec quelques variantes sont en marche partout.
Les
anciens textes parlent de cette guerre apocalyptique ayant eu lieu
entre l’Asie
et l’Europe. L’Asie en question n’a jamais
été l’Asie que nous connaissons, qui
n’est qu’une création moderne comme l’a
été l’Inde. L’Asie était l’Asea,
la
terre d’origine des hommes, cette portion de territoire qui
occupe le nord du
Canada. Amérique-Europe. Ils voudront répéter. Le
plan.
C’est aux
alentours de 2015-2016 que surviendra une grande assemblée des nations
américaines dans lequel le Canada et le Mexique uniront leurs destinées aux É.-U.
comme s’ils ne faisaient qu’un. C’est aux alentours de ce moment qu’ils
s’attendent d’avoir le premier homme sélectionné pour être le père de la
prochaine génération d’élites. C’est à partir de ce moment qu’un épisode de
guerre mondiale rageuse est susceptible de démarrer et c’est aussi à ce moment que
les préparatifs finaux en vue du plan de dépopulation seront concoctés, pour être
brutalement déployé autour de novembre 2020.
Le régime
dictatorial qui sera imposé à tous dans les années subséquentes, visera à ramener
la population de l’Amérique du Nord et de l’Amérique centrale à une fraction minuscule
de ce qu’elle est présentement pour l’an 2024. Cette réduction de population,
qui laissera à terme une trentaine de millions d’habitants sur ce territoire, ne
sera pas que le fruit d’actions humaines mais aussi le moment ou le taux de
natalité s’effondre pour laisser place à la frénésie de la création d’un nouvel
homme amélioré.
Triés sur
le volet sur une question de pureté et de corruption, une dizaine de millions
d’individus seront enclavés du reste de la population, éduqués et inséminés dans
cette gigantesque termitière pour devenir la masse d’individus qui formera le coeur
de la prochaine génération de l’élite et le gène de la prochaine humanité. Un
passage obligé menant au nouvel empire, prix à payer pour un peu de jus d’homme
frais.
Ils seront
répartis à travers la planète en 2041 pour prendre leurs nouvelles
affectations, d’ou ils créeront le nouvel empire en procédant au lent nettoyage
ou à l’esclavage des formes de vies inadaptées. Déjà ils savaient créer des
animaux de guerres d’une grosseur et d’une puissance terrifiante à l’époque de Babylone.
Ces connaissances n’ont pas disparu. Ils sont meilleurs maintenant et les décennies 2020
et 2030 devraient apporter de nombreuses surprises.
Le principe fut faussé.
Pour
Hitler, le peuple allemand lui serait reconnaissant pour ses actions pendant le
millénaire à venir. Le 3e Reich devait durer 1000 ans. Peut-être
avait-il raison.
Le
mécanisme que je viens d’exposer fut dessiné pour s’accommoder de ces
changements d’ordres « divins » et en tirer le meilleur parti
possible. Bien que les changements ne sont pas toujours d’aussi grande
envergure que ceux qui approchent, la méthode fut essayée à plusieurs reprises
et elle est bien rodée.
En fait,
une tablée de gens raisonnables modernes mis en face des mêmes problèmes, parviendrait
sans doute à la conclusion qu’une telle méthode apparaît tout à fait
raisonnable au vu des circonstances exceptionnelles.
Le
principe est bon, mais les détails accrochent, sinon ça n’aurait pas besoin
d’être secret.
« Toute évolution d’une forme de vie supérieure
autre que celle visant l’archétype de la perfection devait être proscrite et
l’eugénisme devait être pratiqué. »
Or voici
que le parrain géniteur lui-même coupe le vin avec de l’eau et qu’en plus de
créer la perfection qu’il conservera soigneusement à l’abri de tous, il
manufacture en cours de route une sous-classe d’individus qui ne possèderont
jamais, ni leur descendance, les attributs de la perfection et qui viendront
toujours au monde dans la section de l’incubateur réservé aux abeilles
ouvrières la-ferme-et-travaille.
Toute la
vie de chacun des individus composant la descendance de cette sous-classe sera invariablement
passée au service de la bonne marche d’une société appartenant à l’autre classe,
tout en croyant qu’ils possèdent une pleine détermination sur leur propre sort
à travers des principes idéologiques comme la démocratie.
Un principe
passablement moins généreux et qui n’a rien de divin.
De
plus,
comme ces grands changements se produisent en cycles et que ces cycles
sont
prédictibles, laisser des humains se développer dans des
zones qui seront
éventuellement dévastées par la furie des
éléments sans y remédier, n’apparaît
pas non plus appartenir à un quelconque principe divin et
lorsque cette
libéralisation possède comme seul objectif
d’accroitre la puissance matérielle
de cette élite, c’est encore moins divin.
Du coup
les cons se sont rendu compte que s’ils préparaient le terrain et qu’ils faisaient
s’effondrer le pays d’avance par des moyens machiavéliques comme l’argent, la
révolte et la guerre, ils obtiendraient beaucoup plus de gain. Tout le monde
doit mourir un jour après tout.
Bénéfice
collatéral non négligeable, il y aurait toujours un prétexte très humain à
mettre de l’avant dans les livres d’histoires et plus personne ne parlerait de
cette voix divine.
Il
était
connu dans l’esprit des anciens que ce contrat était
orchestré sur un
stratagème visant à dissimuler des choses au divin et que
le succès de ce
stratagème était relatif à des circonstances
célestes exceptionnelles qui cesseraient
à un moment et qui en empêcheraient sa poursuite dans le
futur au-delà de notre
époque. Il était prévu que ce contrat
négocié avec l’esprit divin concernant la
production de l’être parfait, allait être
résilié et devrait être renégocié et
que le produit de cette négociation serait véritablement
le point de départ
d’une nouvelle ère humaine, dans laquelle
l’être humain gravirait d’une marche
la pyramide de l’évolution, un pas qui l’amenait
à l’orée d’une nouvelle
humanité.
Cette
précognition des évènements est en conflit direct avec ce qu’ils sont en train
de préparer et en conflit avec la certitude qu’ils possèdent, d’avoir un plan
imparable leur assurant le pôle position pour un autre millénaire.
En
fonction de ce savoir, ceux qui pourront survivre et transmettre une
descendance possèderont un bouquet génétique approprié à la voix divine. Ils se
verront gratifiés d’aptitudes additionnelles touchant notamment à
l’intelligence, à l’intuition et aux liens individuels, sur une terre qui aura
aussi changé pour devenir explosive de vie.
Au fur et
à mesure du passage du temps, la génétique de la progéniture dérivera de
l’originale, diminuant la portée divine, mais la résurgence des caractères
génétiques ponctuera cette lignée ici et là d’individus possédant le modèle
original, déclenchant le bouquet d’aptitudes.
Les possesseur
de cette lumière divine, que les anciens voyaient comme un véritable phare
au-dessus de la tête d’un individu, étaient des gens charismatiques,
rassembleurs, séduisant et excellaient dans tout ce qu’ils entreprenaient. Au
contraire, une dérive génétique devenait la cause de tous les malheurs et plus
la dérive était importante, plus l’individu s’éloignait d’une norme physique et
mentale parfaite, jusqu’à finir par perdre ses quelques atouts sociaux.
Vous
connaissez maintenant les raisons pour lesquels les femmes deviennent si
importantes à certaines époques du monde. Vous connaissez maintenant les
raisons pour lesquelles des sociétés entièrement orchestrées autour du pouvoir
de la femme comme les Amazones furent créées. Les raisons pour lesquelles ce
sont des femmes qui apprennent aux nouveaux hommes les arts et les métiers. Les
raisons pour lesquelles elles sont vénérées sous le nom de sainte ou de déesse
dans les histoires natives. Les raisons pour lesquelles elles sont représentées
à l’origine de toutes les nations.
Parce que
de la même façon qu’elles enfantent les hommes, elles enfantent les générations
d’hommes.
Elles
sont le seul lien. Dieu que la nature est bien faite.
Pierre de
Châtillon 28 novembre 2010