Si vous
n’avez pas lu tout ce qui précède, vous ne comprendrez pas ce qui suit.
Jusqu’à
maintenant, tout ce que j’ai exposé avait le mérite d’être appuyé par des
bribes d’histoires et de mythologie, mais ce qui suit est différent et la
période que nous allons aborder n’a laissé aucune trace dans l’histoire. Non
pas qu’il n’y a pas eu d’activités humaines notables au contraire, mais des
évènements horrifiants sont venus assombrir cette période de l’histoire
laissant une vive cicatrice dans l’histoire de l’homme. Ces abominations se
transformèrent rapidement en hérésie, engageant du coup les premières guerres
saintes de l’histoire. Pour la
seule fois de l’histoire, la peur des hommes n’était pas le fruit d’une vile
propagande et tous sentirent qu’ils devaient unir leurs efforts à la
destruction de cette abomination. Les stratégies et les innovations militaires
étaient inutiles et quoi qu’ils fassent le combat serait toujours inégal. Mais
l’homme d’alors possédait un atout, il se reproduisait rapidement et ce qu’il
ne pouvait vaincre par les armes, il le ferait par la multitude.
Aussi bon
soit-il, il dut mettre ses dogmes au rancart le temps de tuer du vivant comme
il ne l’avait jamais fait auparavant. Ce ne fut pas une guerre, mais une
aseptisation alors que deux ou trois siècles plus tard, un déluge d’hommes en
croisade tremblants de peur se déversa sur ces terres maudites pour y affronter
un monstre d’inconnu. La
bataille fut gagnée au prix d’innombrables vies, mais ce n’était pas la fin,
plutôt le début d’une nouvelle ère. Chacun aurait à porter la cicatrice de ce
drame.
La puissance des anciens identifiée comme le coeur du mal
représentait toujours une menace au développement humain. Les secrets de la science des anciens ne
pouvaient être laissés entre les mains de n’importe qui et ils furent enfouis
dans l’alliance des seigneurs de guerre ayant participé à cette croisade. Ces chefs
ne mirent pas long à comprendre qu’une telle puissance représentait une menace
constante à leur pouvoir et sous le prétexte de l’abomination, un nouveau dogme
fut établi censurant tout ce qui avait trait à cette période sombre. Les
générations défilant, l’oubli fit sa tâche et bientôt l’humanité devient
porteuse d’un double équilibre, celui des puissants qui savaient et celui des dominés
incultes.
Des
voyants dans un monde d’aveugles.
L’alliance
des puissants n’a jamais cessé et toute l’histoire du monde qui s’est ensuivie
fut conditionnée par les décisions prises à la suite de ces évènements.
Les sociétés
du fer.
Dans mes écrits précédents, j’ai expliqué l’histoire et
les grands mouvements humains à rebours, jusqu’au tournant de notre ère.
J’ai expliqué que nous ne connaissions pas cette
histoire, car elle fut soumise à l’impératif d’oligarques qui la censurèrent. Que
ces oligarques profitèrent de grands mouvements climatiques similaires à ceux
dans lequel nous sommes et de la chute de la population conséquente, pour
redessiner la carte des connaissances sous un autre angle, faisant disparaître
au passage une foule de points clés incluant l’ensemble de la géographie
historique.
Il résulte de tout ceci que le cirque de l’histoire
biblique s’étant déroulée au Moyen-Orient moderne n’est que ça, un cirque
monumental. De surcroit, il est possible de comprendre qu’en fait, nous sommes incapables
de voir autrement que sous un vocable religieux adorant des bonhommes à barbe
dans un trône céleste, tout ce qui provient de l’ancienne histoire et que cette
vague de « raisonnable » fut éduquée. Un courant social provoqué,
comme le mouvement rock, la libération de la femme et tant d’autres, tous
nécessaires à l’avancée de l’agenda de ces oligarques.
J’ai expliqué que pour des impératifs astrologiques
immuables, les hommes d’antan n’auraient jamais développé de villes à
caractères « saints » sur le pourtour de la méditerranée ou nulle
part ailleurs que très haut dans l’hémisphère nord. Jérusalem et Rome, ne sont
que des simulacres visant à répéter sur une terre nouvellement viable, le décor
sacré d’antan, en tirant parti de de restes historiques réels. La viabilité de
la ceinture entourant la terre à cette hauteur est très éphémère et supporte la
vie de façon adéquate, mais pour de courtes périodes d’un millénaire à la fois.
Ces impératifs astrologiques étaient la raison pour laquelle la position idéale
de la planète se retrouve actuellement à un endroit inhabitable, l’île
Ellesmere au nord du Canada et que cet endroit supporte extraordinairement bien
la vie, mais pour de courtes périodes d’un millénaire à la fois.
Du reste, la largeur de la ligne de vie, c'est-à-dire
cette ceinture entourant la terre dans les latitudes plus tempérées et
supportant bien la vie, oscille de très étroite et intense lorsqu’elle se situe
très au nord, et devient très large et diffuse lorsqu’elle se déplace vers le
sud avec l’inclinaison de la terre. Elle se déplace par étape d’un millénaire à
la fois, un million de yards à la fois, passant successivement d’une étroite
bande au pôle jusqu’à l’étape ou nous sommes en quelques millénaires.
Les adamites apparurent sur l’île Ellesmere, il y a
quelque 6000 ans. Repoussés par une vague de froid en 4000 av. J.-C., les
descendants qui ne savaient pas naviguer se déplacèrent sur la terre contigüe
en direction de l’Amérique, aujourd’hui une mosaïque d’îles créées par la remontée
du niveau des mers lors de la fonte des glaces à la fin de la période
glaciaire.
En cours de route, la société Adamite qui avait
consciemment fait le choix d’une vie agraire comparable à celles des amish modernes
s’est retrouvée avec une crise sociale causée par l’intérêt grandissant de
groupes pour des technologies utilisées par les anciens Atlantes. La crise
sociale conduisit à certains drames qui se terminèrent par une expulsion des
coupables. La planète incapable de supporter la vie à l’exception des pôles
laissa les suivants de Caïen dans l’obligation d’investir des endroits réputés
inhabitables et de s’y forger une société. Ils avaient le choix entre
l’immensité des déserts stériles et sans eau, ou le monde des glaces.
C’est dans le monde des glaces entourant le pôle Nord que
les hommes choisirent de s’installer. C’est dans ces pôles de vies que naquit une
société très différente, une société qui ne possédait en rien l’extraordinaire
profusion de vie offerte par la terre Adamite. Ces hommes qui étaient dépourvus
de tout et eurent une vie difficile à tout égard, jusqu’à ce qu’ils furent
suffisamment développés pour utiliser le savoir des Atlantes. Mais le temps
avait fait son oeuvre et les foyers de civilisations que cette génération d’hommes
avait laissées furent malmenés par l’isolement, biffant l’appartenance à une
race humaine pour créer une société autocrate aux prétentions supérieures devant
faire vivre une classe royale, distincte, qui n’était plus élue comme pour le
reste de la planète, mais une filiation génétique se transmettant les pouvoirs
de père en fils, telle la reine d’une termitière.
Des siècles passèrent jusqu’à ce que l’autre bande, celle
de laquelle nous émergeons, livra la seule véritable guerre sainte de
l’histoire visant à effacer de la surface de la planète dans une guerre à mourir,
cette abomination.
Fer, est mot qui ne signifie pas que le métal. Dans la
symbolique, la dureté qu’il exprimait était estimée comme très néfaste et utilisée
à toutes les sauces. Le soleil de fer astrologique ravageait la terre de sa
lumière blanche, imposant la stérilité. Passer au fer n’était pas considéré
comme une évolution loin de là, mais une dévolution engendrant une direction de
société menant à une direction intolérable, véritablement infernale, car elle
engendrait absolument la société termitière, dénaturant le profil mammifère de
l’homme pour lui imposer une course anormale dans laquelle certains des
individus se retrouvaient marqués d’une importance démesurée subjuguant le reste
de la population. La termitière.
Le fer n’était pas que le métal, puisqu’il identifiait aussi
cet arbre de la connaissance duquel l’Êve biblique mangea le fruit. Cet
engagement de société menait sur une évolution cartésienne occasionnant une
société dont l’intérêt n’était que celui de sa royauté. Une société qui passait
par toutes les phases de la technologie, seules capables de mener à une société
sans esclaves vulgaires, le maillon faible de l’engrenage.
C’est dans cette société sauvage aux ressources limitées
par les glaces éternelles constamment livrées au plus fort, que réémergea une
grande partie du savoir de la société Atlante, un savoir exclusivement réservé
à l’usage des maîtres des sociétés d’alors. C’est ce même savoir qui disparut
encore au tournant de notre ère avec les Romains avant de réapparaître en
partie à la Renaissance et encore à l’ère moderne avec la récupération des
trésors de guerre nazis ayant menée au fameux don du transistor de AT&T au
monde. Tout comme la gomme baloune, une technologie efficace, utile, mature le
sera toujours quelque soit l’époque.
La société du fer devait survivre dans cet environnement
stérile. Elle n’était pas encore la société du fer, l’homme ne savait pas comme
le fondre et techniquement il ne l’apprendrait que 2000 ans plus tard. Ne
possédant pas l’énergie, c’est dans la nature qu’il la trouva.
La tranche d’histoire que je vais vous présenter se
déroule après la mort de la société Adamite. S’ouvre alors une période très
sombre de l’histoire dans laquelle le mot « humain » prit une
signification très différente de ce qu’elle est aujourd’hui.
Constamment en guerre pour les ressources, beaucoup de
micros-société d’alors n’eurent aucune vergogne à bousculer les dogmes établis
pour chercher dans la puissance ancienne tout ce qui était utilisable pour
guerroyer et prendre avantage sur les autres. Il ne fut pas très long pour que
tous comprennent que le succès de ces guérillas passait par la puissance des
anciens et que retrouver les niches dans lesquelles le savoir pouvait avoir été
conservé avec la grande sécheresse devenait une priorité.
Pour ces sociétés immatures, la plus grande partie du
savoir ancien était hors de portée de compréhension. Mais les livres
importaient bien peu en comparaison de cette puissance prête à porter des
technologies anciennes, dont notre monde moderne n’est qu’un pâle reflet. Aucun
arc, aucune épée, aucun bouclier ne pouvaient rivaliser avec ces puissances
infernales capables de tout effacer avec la puissance du tonnerre. Posséder son
lot de savoir ancien faisait la différence entre la mise en esclavage de son
peuple et s’assurer une place au soleil.
Mais certains, dont furent les descendants de Caïens, ne
se contentèrent pas de n’être que des utilisateurs de la puissance brute des
anciens et furent en mesure de rétablir certaines branches du savoir ancien. Au
centre de ces connaissances, la génomique était particulièrement développée.
Au contraire de toutes les autres techniques, la
génomique est en quelque sorte l’art suprême, celui en deçà duquel se rangent
toutes les autres. Lorsque le protocole de travail est clairement établi, la
puissance de la génomique se résume à une phrase très simple. Il est possible
de modeler un organisme viable et autoreproductible au gré de l’imagination,
dont les attributs peuvent être définis sur mesure par l’intermédiaire d’une
combinaison à molette. Que ce soit une bactérie ou un brontosaure, que ça vole
ou que ça nage, que ça vive dans la glace ou dans le désert, un jour ou cent
ans, il devenait possible d’harnacher une motte de vie à effectuer une tâche desservant
des intérêts précis, un esclave. Une puissance facilement accessible à peu
d’efforts pour le prix d’une botte de foin journalière attendait celui qui
possédait le fonctionnement de la combinaison à molette.
C’est par cette science que furent développés les animaux
de guerres. Des lions, des cougars, des éléphants et d’autres tueurs d’une
dimension et d’une puissance sans commune mesure avec les modernes. Beaucoup de
gravures anciennes laissent apercevoir de ces animaux puissants à la mâchoire
protubérante encordés à leurs maîtres comme l’est le chien de chasse moderne et
beaucoup de textes anciens font allusion à ces bêtes féroces. Le fameux tigre
de Sibérie et le mammouth n’étaient que des adaptations réalisées au cours de
ces époques de guerres.
La nouvelle Atlantide, ce texte écrit par Françis Bacon
en 1627 donne un bon aperçu de ce même corpus de connaissance qui a fasciné le
monde depuis la fin de la génération atlantéenne. Le titre n’était pas anodin,
puisqu’à un moment cette société représentait réellement une nouvelle
Atlantide. Rappelons les circonstances, Bacon raconte l’histoire d’un voyage partant
du Pérou en direction des mers d’Asie, lorsqu’il fut repoussé vers le nord par
un vent inexorable jusqu’à ce qu’il tombe sur une société d’hommes à l’écart de
tous, possédant un savoir beaucoup plus grand que les connaissances de l’époque
et même que nos connaissances modernes. En voici un extrait.
...Alors
que le gouverneur de l’endroit vint nous rejoindre, nous avons pu lui poser des
questions. « Nous avons bien observé ce monde qu’est le vôtre, que cette
île joyeuse où nous nous tenions en ce moment était connue de peu, mais
néanmoins connu de tous les pays du monde. Considérant que vous utilisez le
langage de l’Europe et connaissez beaucoup de nos pays et des affaires, nous ne
comprenons pas pour quelle raison n’avons-nous jamais pu lire une seule ligne
sur cette île…
Le
gouverneur sourit à la question et dit: « C’est que cette terre en est une
de magicien et que nous envoyons des esprits dans les airs dans tous les pays
du monde et ramenons les nouvelles et l’intelligence des autres
contrés. Cette terre possède des lois du secret touchant les étrangers,
ceci est la raison pour laquelle vous n’avez pas entendu parler de nous. Ceci
dit, il y a certaines choses dont je ne peux parler, mais il en restera
suffisamment pour satisfaire votre curiosité
Vous
devez comprendre qu’il y a environ 3000 ans, peut-être plus, la navigation sur
les mers du monde était plus importante que maintenant, spécialement pour les
longs voyages… Dans l’histoire, tous avaient leurs flottes…
…
La Chine aussi et cette grande Atlantide que vous appelez l’Amérique qui n’a
maintenant que des ruines et des canots possédaient beaucoup de grands
vaisseaux. Cette île, autant que l’on puisse savoir vraiment ce qui a existé à
cette époque, possédait 1500 vaisseaux forts de grande capacité.
Vers
la même époque, la grande Atlantide se développait… Et toutes ses merveilles…
Assurément, ces choses ont existé. De savoir si ce fut les anciens Athéniens
qui eurent la gloire de repousser et résister à ces forces, je ne sais. Mais il
est certain que ni les hommes, ni les bateaux ne revinrent jamais de leurs
voyages. Ni plus que les hommes du Pérou qui faisaient partie de l’autre voyage
pour nous attaquer n’ont eu de bonnes fortunes.
« Mais
la revanche divine ne se fit pas attendre longtemps après ces attaques. Dans
l’espace d’un siècle, la grande Atlantide fut simplement perdue et détruite.
Non par un grand tremblement de terre comme les vôtres le disent, mais par un
déluge particulier ou une inondation, ces contrés ayant de grandes rivières
pour laisser descendre l’eau, plus que n’importe quelle autre. Mais il est vrai
que cette inondation n’était pas profonde et ne dépassait pas 12 mètres dans la
plupart des places. Alors bien qu’elle détruisit la plupart des hommes et des
bêtes, quelques-uns purent s’enfuir…
Pour
l’homme, même s’il y avait à plusieurs endroits des bâtiments plus élevés que
l’eau, l’inondation dura longtemps et ceux qui n’étaient pas morts de la noyade
dans l’inondation mourraient de famine. »
« Alors,
ne vous émerveillez pas de la faible population de l’Amérique ou de la rudesse
et de l’ignorance de ses gens, puisque vous devez tenir compte que les
habitants de l’Amérique sont un peuple jeune. Au moins 1000 ans de moins que le
reste du monde…
Pour
ce qui restait de la population humaine qui demeurait dans les montagnes, les
gens du pays, lentement, petit à petit s’en remirent, mais ne furent pas
capables de faire prospérer les arts et les lettres, mais devaient s’en tenir à
des tâches plus essentielles à la survie comme se nourrir et se vêtir.
« Pour
ce qui est des autres parties du monde, il est manifeste que dans les âges qui
ont suivi, que ce soit dû à la guerre ou aux révolutions naturelles du temps, partout
la navigation tomba morte, et spécialement en ce qui concernait les grands
voyages…
« Il
y a 1500 ans, régnait dans ces terres un Roi qui était adoré de ses sujets. Pas
superstitieusement, mais comme un instrument divin. Son nom était Solamona.
(Solomon)
…lorsque
le Roi interdit la navigation de ses sujets sur toutes les mers qui étaient à
l’extérieur de la couronne, il fit néanmoins une exception. Tous les 12 ans, 2
vaisseaux seront envoyés à l’extérieur pour effectuer plusieurs voyages, de
façon à nous ramener de l’information
sur les sciences, les arts, la fabrication et les inventions de partout
dans le monde. Et si possible nous ramener des livres, des instruments et
toutes sortes d’autres objets.
…
6 ou 7 jours s’étaient déjà écoulés. Je m’étais épris d’amitié avec un marchand
de la cité, Joabin. Il était Juif et circoncis. Il y avait encore quelques
familles de juifs demeurant sur l’île, qui avaient décidé de rester lorsque
tous les autres étaient partis et de fonder leur propre religion. Ce qu’ils
étaient bien mieux de faire puisqu’ils avaient une vision très différente de
celles des juifs des autres régions. Ils détestaient le nom de « Christ »
et nourrissaient une certaine rancœur envers les gens à travers lesquels ils
vivaient. Au contraire, ils donnaient au Sauveur les plus hauts attributs, et
un grand amour de la nation de Bensalem. Surement que cet homme à qui je
parlais ne reconnaitrait jamais que le Christ était né d’une vierge et était
plus qu’un homme. Et il me dirait comment Dieu fit le sauveur des Séraphims qui
gardent le trône. Ils l’appellent aussi la Voie lactée, et le Élijah ou le
messie et plusieurs autres noms qu’ils croient inférieurs à sa divine majesté,
mais ils sont encore loin du langage des autres juifs.
Et
pour le Pays de Bensalem, par tradition parmi les juifs là-bas, ils disent qu’ils sont les descendants d’un
homme qui était frère d’Abraham et qu’ils appellent Nachoran, et que Moïse, par
une cabale secrète ordonnèrent les lois de Bensalem qu’ils utilisent
maintenant. Et lorsque le messie arrivera et qu’il s’assoira sur son trône à
Jérusalem, le Roi d’Israël devra s’asseoir à ses pieds, alors que les autres
rois devront se tenir à grande distance. Mais mettant de côté ces rêveries
juives, l’homme était un homme intelligent, instruit, et de bon conseil, une
excellence vue dans les lois et les coutumes de cette nation.
…que
Dieu vous bénisse mon enfant. Je vais vous donner le plus grand joyau que je
possède. Je vais vous le donner pour l’amour de Dieu et des hommes, comme le
voudrait la maison de Salomon.
La
fin de notre fondation est la connaissance des causes et le mouvement secret
des causes, l’élargissement des frontières de l’empire humain, et l’effet sur
toutes les choses possibles.
La
préparation des instruments est comme suit. Nous possédons de larges et
profondes caves possédant plusieurs niveaux et les plus profonds descendent
jusqu’à 600 fathoms et certaines sont creusées jusque sous les collines, ce qui
donne parfois des profondeurs atteignant plus de 5 kilomètres de profondeur.
Mais nous avons découvert que la caverne soit creusée sous une colline ou sur
le sol, le résultat est le même puisqu’elle est éloignée à la même distance du
Soleil, des rayonnements célestes et de l’air libre.
Ces
caves, appelées les Basses Régions, sont utilisées pour les coagulations,
réfrigérations et conservation des corps. De la même façon que nous l’utilisons
pour imiter les mines naturelles et produire ainsi de nouveaux métaux par
composition et autres matériaux qui demeurent là durant de nombreuses années.
Nous les utilisons aussi, ce qui peut sembler étrange, pour guérir des maladies
et prolonger la vie des ermites qui ont choisi d’y vivre, accommodée de toutes
les nécessités de la vie, vivent très longtemps et par lesquels nous pouvons
apprendre beaucoup de chose.
Nous
avons creusés dans toutes sortes de sols, on nous mettons divers ciment, comme
les Chinois font avec leurs porcelaines, mais nous en avons une plus grande
variété et certaines sont plus fine. Nous possédons aussi une grande variété de
compost et de sols pour fleurir nos terres.
Nous
avons de hautes tours, la plus haute étant d’environ 800 mètres de hauteur. Certaines
sont installées sur le dessus de haute montagne qui, lorsqu’additionnée
ensemble, porte ces tours à des hauteurs de 5 kilomètres au moins. Et ces
places furent appelées les hautes
régions et part de fait, la portion d’air entre les Hautes Régions et les
Basses Régions est appelée la région du Milieu. Nous utilisons ces tours pour
réfrigérer, réchauffer et conserver et aussi pour l’observation du ciel, la
pluie, le vent, la neige, la grêle et aussi les météores de feu. Certaines d’entre
elles ont aussi des ermites que nous visitons de temps à autres pour les
instruire sur ce qu’ils doivent observer.
Nous
avons aussi de grands lacs, lacs d’eau salée ou fraîche où il est possible de
pêcher. Nous les utilisons aussi pour y déverser certains corps, parce que nous
avons trouvé une différence entre les choses enterrées dans la terre ou dans
l’air ou dans l’eau. Nous avons aussi des piscines dont certaines tirent leurs eaux
fraîches de l’eau salée alors que d’autres tirent le sel de l’eau. Nous
possédons aussi certaines îles dans la mer et des baies pour y accoster lorsque
requis par l’air et les vapeurs de la mer. Nous possédons aussi de puissantes cataractes
et de gros courants qui nous servent pour plusieurs mouvements et aussi des
engins utilisant et multipliant la force du vent pour mettre en marche divers mouvements.
Des
puits naturels et des fontaines artificielles qui imitent les sources
naturelles et les bains, dont les eaux sont teintées de vitriol, de sulfure, de
fer, de cuivre, de plomb, de nitrate, et d’autres matériaux. Et nous avons
aussi certains puits servant à l’infusion de divers produits, ou les eaux
atteindront ce qui est recherché plus rapidement et mieux que dans les
récipients ou les bassins. Et à travers ces puits, nous avons de l’eau que nous
appelons « Eau du Paradis » et qui est reconnue pour la santé qu’elle
procure et la prolongation de la vie.
Nous
avons aussi de grandes maisons ou nous imitons et démontrons les forces de la
nature, comme la neige, la pluie, la grêle et aussi certaines pluies de corps
et non d’eau, tonnerre, les éclairs et la génération des corps dans l’air comme
les grenouilles ou les mouches et plusieurs autres.
Nous
avons certaines chambres que nous appelons chambre de santé ou nous modifions
l’air que l’on croit bon et approprié pour la guérison de diverse maladie et la
préservation de la santé. De larges bains, emplis de différents mélanges pour
guérir les maladies et restaurer un corps du manque d’air, d’autres pour
confirmer la force des cavités, de parties vitales et de la substance du corps.
Des
champs variés et de grands jardins, remplit de beauté une variété de sols adaptée à divers fruits et fleur. D’autres
très spacieux ou les fruits sont utilisés pour fabriquer différentes sortes de
boissons en plus des vins. Nous avons développé diverses méthodes de cultures
et d’inoculations entre les arbres qui produisent divers effets. Il nous est
possible dans un seul et même jardin de produire des floraisons à diverses
périodes de la saison et faire en sorte que ces arbres portent leurs fruits
beaucoup plus rapidement et aussi beaucoup plus gros qu’ils ne le feraient de
façon naturelle. Nous pouvons aussi leur faire produire des fruits plus sucrés
ou de différents goûts, odeurs, couleurs et apparences. Plusieurs d’entre eux
sont utilisés pour leurs propriétés médicinales.
Nous
possédons aussi la connaissance de produire divers plants par le mélange de
terre sans graines et de cette façon fabriquer diverses nouvelles plantes
différentes des espèces communes et de transformer un arbre ou une plante en
une autre.
Nous
possédons des parcs à bétails et d’oiseaux de toutes sortes et qui en plus
d’être regardés pour leurs beautés sont utilisés en dissections et essaies,
puisque nous saisissons la chance de comprendre tout ce qui peut être apporté
au bienfait de l’homme et pour lesquels nous avons découvert plusieurs effets
étranges comme de permettre à certains organes vitaux du corps humain de
continuer à vivre ou d’en ressusciter d’autres d’apparence morte.
Nous
avons aussi expérimenté tous les poisons et autres médecines à travers eux,
ainsi que la chirurgie et la physique. Par l’effet de cet art, nous sommes en
mesure de les faire devenir plus grand ou plus gros que leurs espèces ne le
sont ou au contraire plus petit. Nous pouvons les faire différer en couleurs,
formes ou activités de diverses façons. Nous avons trouvé des façons d’inter
marier différentes espèces animales et de produire ainsi de nouvelles espèces
qui ne seront pas stériles. Nous pouvons fabriquer diverses sortes de serpent,
vers, mouches, poissons, ou moisissure, d’ou certains possèdent des effets
parfaits, comme les meilleurs des oiseaux, qui ont un sexe et peuvent se
propager. Nous ne faisons pas ceci par chance puisque nous connaissons à l’avance
les mixtures à réaliser pour obtenir les créatures désirées.
Nous
avons aussi des piscines particulières ou nous faisons des essais sur les
poissons, comme sur les oiseaux ou les bêtes. Nous avons aussi des endroits
pour produire les vers et les mouches qui sont d’un usage spécial, comme
peuvent l’être vos vers à soie et vos abeilles.
Je
ne passerai pas beaucoup de temps à vous parler de nos brasseries, de nos
boulangeries et de nos cuisines ou nous fabriquons diverses boissons et jus de
fruits, de grains, de racines et autres produits comme le miel, le sucre et les
fruits séchés. Mais aussi de la résine des arbres et de la pulpe des cannes. Et
ces breuvages sont vieillis, certains jusqu’à 40 ans. Nous avons aussi des
breuvages dans lesquels sont mélangés divers types d’herbes, de racines,
d’épices et même avec diverses chairs et viande blanche et qui apportent tant
la nourriture que le breuvage au corps.
Et
par dessus tout, nous possédons des breuvages servant à renforcer les parties
faibles qui s’insinuent dans le corps et même si certaines de ces mixtures,
mise dans le creux de la main, mettraient peu de temps à passer à travers, sont
doux à la bouche. Nous avons aussi des eaux que nous récoltons de cette façon
et qui sont nourrissantes.
Nous
avons des pains à toutes sortes de grains, racines et levures, certains faits
de chair et poissons séchés, avec diverse sorte d’assaisonnement certain qui
assouvissent l’appétit, certains qui nourrissent, et il y a certains qui s’en
nourrissent exclusivement et vivent très longtemps… Des pains et des breuvages
qui rendent l’homme plus fort pendent très longtemps, d'autres qui le rendent
plus musclée, plus dur et fort qu’il n’en aurait été autrement.
Nous
avons des dispensaires de services médicaux… Et nous n’avons pas seulement
toutes les sortes de drogues et ingrédients de la médecine, obtenus par
séparation, par distillation et percolation, mais aussi l’exacte composition de
ce qu’ils contiennent…
Nous
connaissons bien aussi les arts de la mécanique, ce que vous n’avez pas et les
objets qu’ils permettent de réaliser comme le papier, la laine la soie, les
tissus et des travaux de plume avec grand lustre. D’excellentes teintures…
Nous
possédons des fournaises de grande diversité qui permettent un large éventail de
chaleur, vive et rapide, forte et constante, douce, soufflée, silencieuse…
Mais
par-dessus tout nous avons la chaleur , en imitation de la chaleur du Soleil et
des corps célestes qui sont très inégaux… Nous tirons aussi de la chaleur de la
fermentation du fumier, des restes des créatures et des herbes. Aussi des
instruments qui génère de la chaleur par mouvement. Dans les endroits où il y a
beaucoup de chaleur, tant par le Soleil que sous la Terre où nous récupérons
cette chaleur…
Nous
avons aussi des maisons de montre ou nous faisons démonstrations de toutes les
lumières et radiations, de toutes les couleurs et des choses colorées ou transparentes
que nous pouvons représenter de toutes les couleurs…
Nous
y représentons aussi la multiplication de la lumière que l’on peut transporter
sur de grande distance ou rendre si forte que nous pouvons distinguer les plus
petits points et les plus petites lignes. Ainsi que de tous les colorations et
effets de la lumière, illusion et tromperie de la vue dans les formes,
dimensions et mouvements…
Nous
avons aussi trouvé des façons, encore inconnues de vous, de voir la lumière qui
origine de divers corps. Nous avons des moyens de voir les objets très éloignés
comme dans le ciel ou ailleurs, et de les représenter comme si elles étaient
tout près ou de représenter les objets près comme étant très loin, faignant les
distances.
Nous
possédons aussi des aides pour la vue qui vont bien au-delà des lunettes en
usages… Des moyens de voir ce qui est petit ou rapide distinctement et avec
perfection les formes et couleurs des petites mouches et verres des grains et
poussières qui ne peuvent autrement être vue comme les observations de l’urine
et du sang qui ne peuvent être vues autrement.
Nous
pouvons fabriquer des arcs-en-ciel de couleurs, des halos, des cercles de
lumières. Nous pouvons aussi représenter toutes les sortes de réflexions,
réfractions et multiplications visuelles des objets.
Nous
possédons des pierres précieuses de toutes sortes, plusieurs d’entre elles de
grandes beautés et inconnue de vous comme les sortes de cristaux et de verres
de diverse sorte. Et même certains métaux vitrifiés et autres matériaux à part
de ceux avec lesquels vous fabriquez du verre. Nous possédons aussi des
fossiles et autres minéraux imparfaits que vous n’avez pas. Comme entre autres
les pierres magnétiques de grande force et autre pierre rares, naturelles et
artificielles.
Nous
avons aussi des maisons du son, ou nous pratiquons et démontrons toutes sortes
de son ainsi que leurs constructions. Nous possédons des harmonies que vous
n’avez pas… Des instruments de musiques inconnus de vous, certains plus doux
que les vôtres… Nous possédons des aides qui placé sur les oreilles augmentent
grandement l’audition. Nous sommes en mesure de produire des échos de toutes
sortes, certains renvoyant le son plus aigu, d’autres plus grave, certains
changeant les mots ou la voix. Nous pouvons aussi transporter le son dans les
boites et des tuyaux, dans d’étranges lignes et à de grandes distances.
Dans
nos maisons du parfum, nous pouvons multiplier les odeurs, les imiter… Des
imitations de goûts de toute sorte pour qu’ils soient conformes aux goûts des
hommes. Il y a aussi une maison à confiture ou nous fabriquons toutes ces
nourritures sucrées et les différents vins, laits…
Des
maisons de fabrications d’engins où nous préparons des instruments ayant toute
sorte de fonctions. Nous pouvons produire des mouvements plus rapides que vous
n’avez jamais vue même de ce qui sort de vos mousquets et autres engins que vous
possédez. Nous pouvons multiplier cette force tant que nous le désirons par
l’intermédiaire de roues ou d’autres manières. Nous pouvons les faire bouger
plus fort et violemment que les vôtres, excédant vos plus grands canons et basiles.
Nous avons aussi une panoplie d’instruments et d’engins de guerre de toutes
sortes. Des mixtes et compositions de poudres à canon, qui brûlent dans l’eau,
impossible à éteindre ainsi que des feux d’artifice de toutes variétés pour
l’utilisation et le plaisir. Nous pouvons imiter le vol d’oiseaux, nous
possédons certaines capacités de voler dans les airs. Nous avons des bateaux
pour aller sous l’eau et traverser les mers…
Nous
avons de bien curieuses horloges et autre mécaniques, certaines perpétuelles.
Nous imitons les mouvements des créatures vivantes par les images, des hommes,
bêtes, oiseaux, poissons et serpents.
Nous
avons aussi une maison des mathématiques où sont représentés tous les
instruments, autant la géométrie que l’astronomie…
Des
maisons pour tromper les sens. Qui montrent des fausses apparitions et des
illusions. Encore qu’il vous serait sûrement possible de croire qu’avec toutes
ces choses naturelles qui induisent l’admiration et déçoivent les sens, nous
serions en mesure de les déguiser pour les faire paraître miraculeux. Mais nous
détestons les impostures et les mensonges. Tellement que nous les avons
sévèrement interdites aux gens de notre peuple sous la menace d’amendes…
Pour
l’emploie nous avons 12 bateaux qui voyagent dans les autres pays, sous le nom
d’autres nations, puisque le nôtre nous le cachons, qui nous ramènent les
livres, pensées et expérimentations des autres régions, nous appelons ces
hommes marchands de lumière.
Nous
avons aussi comme vous le pensez bien, des novices et des apprentis pour que
l’ensemble ne s’effondre pas. Nous acons aussi des consultations concernant
laquelle des inventions et expériences qui a été découverte doit être publié et
laquelle ne doit pas l’être et prendre vœu de secret, certaines sont révélées
parfois à l’état, et d’autres non.
Et
dernièrement nous avons des visites aux diverses cités du royaume, où nous
publions les inventions profitables que nous jugeons bonnes et nous déclarons
les prédictions des maladies, catastrophe, tempêtes, inondations, comètes, prévision
de température pour l’année à venir ainsi que des consultations pour les prévenir.
Lorsqu’il
eut dit ceci, il se leva et comme il nous fut montré, nous nous sommes
agenouillés et il mit sa main droite sur
ma tête et dit : Que Dieu vous bénisse mon fils et qu’il bénisse cette
relation que nous avons fait. Je vous laisse publier ce que nous avons dit,
pour le bien des autres nations…
Ce récit qui fut attribué à Bacon après sa mort démontre un savoir et une
expertise que nous abordons à peine avec notre société moderne, celle de
manipuler cette combinaison à molette permettant de créer la vie.
La possibilité qu’il ait écrit une fiction visant à séduire
les cours royales et tenter ainsi d’obtenir des crédits, ne fait que renforcer
la teneur de tels propos et références de l’histoire, qu’il n’aurait alors jamais
osez inventer. Pour les régimes de l’époque,
prétendre à de telles inventions pour obtenir des crédits royaux était un
passeport garanti pour la guillotine.
En fait un tel document
n’aurait jamais dû être rendu public. Faire référence au savoir des anciens
sous quelque forme que ce soit était un crime, il l’a toujours été. Sa
popularité rapide et sa production à titre posthume comme l’ont été les
manuscrits de Léonard Da Vinci, sont tous des indicateurs qu’il y a anguille
sous roche. Il faut rappeler que Bacon avait atteint les plus hautes sphères de
la philosophie et du savoir scientifique de l’époque avant de tomber en disgrâce
les dernières années de sa vie.
Par ailleurs il faut ajouter que de telles références à
des connaissances en science et particulièrement dans une science naturelle
beaucoup plus développée qu’il ne serait possible de si attendre à une époque
aussi reculée ne sont pas unique dans l’histoire. Elles ré-apparaissent sous la
forme de pierres gravées antiques retrouvées le long de la côte péruvienne.
Les pierres d’Ica du Dr Javier Cabrera en Amérique du Sud laissent
clairement apparaître chez ces hommes d’antan la pratique d’arts qui n’étaient
pas de leur temps. Opération au cerveau, césarienne, opération au coeur, des
chirurgies de brousses réalisées par des personnages à l’allure franchement
maya, démontraient que de toute évidence les sciences nature y étaient très
développées.
Ces démonstrations de la science ancienne devront être gardées
à l’esprit pour procéder à une analyse adéquate de ce que je vais présenter.
Une hérésie inacceptable pour les hommes les ayant
conduits à réaliser ces croisades ; un déluge devenu le témoignage
historique d’une volonté divine d’en finir avec une abomination; des hommes qui
ont appris les dangers de ces secrets et les bienfaits du pouvoir, il est
facile de comprendre le trou qui existe dans les connaissances entourant le
second millénaire. Comme il n’existe pas de description adéquate de cette époque,
il faudra pour la comprendre élargir le champ de vision et y ajouter une part
du culte que ces oligarques se vouent à eux-mêmes révélant parfois des bribes
d’histoire sous de faux prétextes, en plus bien sûr des dormeurs géants.
Les dormeurs géants témoignent de l’histoire véritable
comme le ferait une bande dessinée délavée sans les bulles de textes, qui
aurait été effacée et redessinée à de nombreuses reprises exposant à chaque
fois une couche d’histoire disparue derrière une nouvelle. Localiser ces murales
et ces dormeurs, les décortiquer couche par couche, les assembler par période,
les situer géographiquement pour comprendre le territoire et en tirer des
conclusions probables est un travail de patience acharné, donnant place à une
orgie d’interprétations, qui doivent nécessairement se terminer par le choix de
la meilleure en fonction du moment.
Les découvertes que je vais vous présenter sont susceptibles
de bousculer vos croyances, l’interprétation que je vais y apporter sera un
choc qui vous laissera sans voix. Elle sera certainement aussi difficile pour
vous de l’accepter, qu’elle fut pour moi à formuler.
Je n’ai aucun doute que tout ce que j’ai découvert
soulèvera de nombreuses controverses pour le futur, mais pour l’instant je suis
devenu bien malgré moi l’unique expert mondial en dormeur géant. Que dire... Je
les ai découverts, j’en ai découvert les motifs, les méthodes, les techniques,
le langage et j’en ai découvert plus de 6000 à ce jour.
Destinées à démontrer les rêves et les espoirs acheminés
à l’ordre divin, destinés à imprimer l’ordre et la hiérarchie sociale, il ne
faut pas minimiser la symbolique que ces géants dormeurs ajoutent à la culture.
Si les liens que j’effectue ne sont pas faits maintenant,
ils ne le seront jamais.
La nature a charpenté d’étranges êtres à son époque.
William Shakespeare
Vidéo: Les sociétés du fer
Pierre de Châtillon février 2011