Mawrth Vallis Mawrth
Vallis est une cité qui s’étend sur approximativement 600 km carrés. Elle
possède un centre-ville qui s’étire sur une cinquantaine de kilomètres carrés.
Soit approximativement la dimension de la ville de Montréal. En fait, elle
pourrait s’appeler Montréal, si elle n’était située sur Mars. À noter. Pour obtenir la
même résolution, vous devez installer l’image haute résolution qui recouvre
Mawrth Vallis, dans la galerie Google Earth à gauche, sous l’onglet
« Feature satellite image » . Mawrth Valles landforms Product ID: P01_001454_2031_XI_23N018W.
Les directions sont les mêmes que sur la terre, avec le nord sur la position
6 :30 h. En vert, un second visage
avec son oeil. Le
second visage en vert représente une évolution du premier. Réalisé plus
tard,
il possède des traits qui s'apparentent à ceux des "gris". Il fut
construit en utilisant des caractéristiques du premier visage. Un
départ nouveau
qui est la conséquence d’une décadence. Ainsi de nombreuses
caractéristiques du
premier visage ont été biffées dans la réalisation du second et de la
société
qui s’en est ensuivie. Voici le centre de la cité de Mawrth Vallis.
Quelques dormeurs géants possèdent des
caractéristiques humaines. La dernière destruction semble remonter à un moment.
Le site de Mawrth Vallis était un site d’atterrissage possible retenu par la
NASA. Concernant Mars. L’assemblage des images est de mauvaise qualité et leur
piètre résolution ne facilite pas la découverte de dormeurs géants. Toutefois,
j’ai quand même pu y dénicher plusieurs cités et de nombreuses anomalies. Outre
quelques poches de civilisations ici et là, la plus grande partie de ces
anomalies sont concentrées dans un grand cercle aux alentours du 37e degré de
latitude sud jusqu’au pôle Sud. Mars est une planète beaucoup plus sèche que la terre. Si elle est rouge vue
de la terre, cet effet a été accentué par les filtres des caméras laissant
croire qu’elle est beaucoup plus aride qu’elle ne l’est en réalité. Les
« mers » martiennes sont vraiment des mers desquelles l’eau a
graduellement disparu, obligeant les communautés du moment à se déplacer,
laissant des lignes de ruines là où se retrouvaient les anciens villages. Il y a certainement des cratères naturels, mais la plupart sont artificiels
et stratégiquement positionnés autour des poches de civilisations restantes,
servant de réserve sous forme de lac. C’est autour de ces espaces qu’il est
possible de retrouver de nombreux travaux artistiques géants au sol, montrant
des animaux marins et des plongeurs, des prières à l’attention divine. À part
le fait que les visages représentent des formes de vie différentes de celles de
la terre, les dormeurs géants sont construits de la même façon que sur la
terre, avec le même respect des dimensions et des directions. L’espace y est
moins bien organisé. L’oeil du dormeur, un haut lieu de prière qui sur terre
est une montagne, est une dépression sur Mars. Nous savons aujourd’hui que ces
reliefs visaient à la condensation de l’eau. Cette différence dans la
conception est sans doute explicable par des conditions environnementales
différentes. Planète beaucoup plus froide et sèche, les habitants profitent de
la chaleur planétaire pour provoquer la condensation en creusant un trou plutôt
qu’une montagne pour trouver la fraîche. Il y a eu de nombreuses races, beaucoup plus que la terre en a porté.
Beaucoup de dormeurs présentent des éléments technologiques. Véhicules et armes
de toutes sortes. Et même autour de ces villages qui paraissent abandonnés, il
y a souvent des signes d’activités qui semblent parfois même émaner du cratère
lui-même suggérant que certains y ont trouvé refuge. De tels cratères existent
aussi sur la terre. Meteor Crater en Arizona par exemple, a donné naissance à
une ethnie dont les peintures ornent encore les pourtours du cratère. Les canaux qui traversent la planète sont vraiment des oeuvres qui
permettaient de transporter de l’eau. Avec une descente graduelle semblable à
celle des rivières terrestres, ces canaux apportaient de l’eau à des endroits
stratégiques autour desquels des cités ont longtemps subsisté. Sur le bandeau de la ligne des 37 degrés de latitude, il y a de nombreuses
cités. Certaines paraissent encore bien vivantes. Il existe un lien étroit entre
les nazis et la planète Mars. Déjà dans les années 30, alors même qu’ils
étaient à échafauder les appareillages qui allaient permettre une mise en
orbite, ils tiraient les plans d’un voyage aller simple pour Mars. Curieusement,
après la découverte de la base d’Agartha, les nazis changèrent de cap. Hitler se
mit à étirer une fin inéluctable de la guerre pendant que les nazis transféraient
des équipements en Agartha. À l’arrivée des alliés, certains prototypes étaient
disparus, d’autres étaient détruits, bien que ceux retrouvés représentaient une
nette avancée sur la technologie du moment, ils n’étaient que des exemples pâles
du reste. L’énergie à profusion, l’antigravité, les propulseurs orbitaux, la
mise en orbite, le voyage spatial, des armes incroyables. « Alternative 3 »
donne un peu le profil de tout cela. À ceci j’ajoute que j’ai retrouvé sur Mars un groupe de dormeurs géants
dessinés au sol, qui représentent des individus au profil terrestre, habillés
de vêtements de la fin du moyen âge. Pierre www.incapabledesetaire.com |