Découverte
d’une cité hyperboréenne
Je me suis donné comme mission
de dénicher sur les photographies satellites de notre planète, des anomalies et
des artefacts contrevenant aux connaissances modernes. Les anomalies sont
nombreuses et la surface est immense, puisqu’avec les cartes satellites des
services comme Google Earth, nous
avons accès à la planète entière dans ses moindres détails.
Constamment en bute au
floutage des images, les recherches sont longues pour trouver des zones de
haute résolution échappées, souvent à la commissure des images satellites,
permettant de bien distinguer le sol et d’y retrouver des artefacts d’intérêt.
Pierre de Châtillon
Namibie
Après la découverte des profils
de visage, parfois immenses, que les hommes d’une époque ancienne sculptaient à
même leur terre, comme celui-ci en Namibie qui mesure deux kilomètres de
hauteur, j’ai fait une nouvelle découverte susceptible d’être un tournant dans
son genre.
C’est à 4500 kilomètres de Moscou dans la Sibérie orientale, à la frontière du cercle polaire, que s’est révélée cette nouvelle découverte, plus précisément autour de la cité de Kazachye dans la République de Sakha en Russie.
C’est l’organisation du territoire qui a attiré l’attention. Retrouver des terres cadastrées et découpées selon un plan de développement intégral à cet endroit était pour le moins insolite.
L’aile
de libellule, ainsi nommée pour sa ressemblance, s’étire sur un kilomètre et
comporte 450 cadastres, qui vont de 200 à 400 m2.
Chaque
cadastre comporte une forêt, un champ ou un lac et les habitations sont en
bordure.
Dans une hypothèse où il y aurait eu 6 à 10 personnes vivant sur chaque cadastre, cette aile aurait eu une population de 2500 à 4500 personnes.
S’il n’était pas possible encore d’écarter objectivement l’hypothèse d’une terre de relève, la suite a tout changé avec la découverte d’une deuxième de ces ailes, puis d’une troisième.
L’analyse fut profitable.Sur un territoire de
20 000 km2, il a été possible de dénombrer plus de 12 000 de ces ailes de
libellule, toutes divisées par des rivières. Cela signifie que ce territoire a
porté quelques 30 à 50 millions d’individus.
Les
cités étaient orchestrées autour de la navigation, avec un réseau de rivières structuré,
à bas débit, toutes de même largeur et bordée d’un trottoir. Tout ce qu’il faut
pour mettre en place la distribution de l’eau et un réseau de transport utilisant
les « Utsuro-bune », des coracles couverts permettant le transport des
individus et l'acheminement des colis sans effort et sans énergie.
La réalisation d’un tel œuvre
demande de sérieuses connaissances et beaucoup de travailleurs.
Pour retrouver les auteurs,
il faut remonter à l’histoire antique et l’épopée des hyperboréens, dont il
reste bien peu de chose sans entrer dans le monde des légendes.
Ces hyperboréens étaient
d’une classe à part. Nous sommes les fils des hommes, ils étaient les fils des
dieux. Apollo, Persée et Hercule étaient des hyperboréens. Ils possédaient des
connaissances très avancées, pour ne citer que la légende de la flèche d’Abaris,
le scythe, avec laquelle Abaris pouvait faire le tour de la terre. Ils
possédaient le secret de l’énergie atomique et savaient comment construire et
faire fonctionner un avion.
Alors que les nations de la terre se faisaient la guerre, eux n’ont jamais été inquiétés.
C’étaient
des géants. Ils ne mouraient pas et finissaient par se suicider lorsqu’ils
étaient fatigués de la vie. C’est à mettre en relation avec les patriarches de
la Bible, qui vivaient tous des centaines d’années. Nous-mêmes ne sommes pas
très loin du jour ou les processus génétiques conditionnant la vie seront
maîtrisés et permettront de réaliser de telles prouesses.
Il y eut de bons résultats et
des mauvais. Les deux ont fini par se croiser et les mauvais ont corrompu les
bons.
Déçu de ce croisement, il est
dit que les hyperboréens ont quittés peu après. Mais ils n’ont pas tous quitté.
Des changements allaient
survenir. Noé, sans doute le moins corrompu, fut celui qui passa ses gênes à la
postérité.
Après le déluge, le nord s’est
refroidi.
Pierre de Châtillon septembre 2023