Ils arrivent!
Oumuamua, Borisov et Atlas.
Voilà qu’un astéroïde à l’orbite atypique identifiant une
provenance de l’extérieur du système solaire, un évènement qui ne s’était
jamais produit de mémoire d’homme, s’est reproduit à trois reprises dans la
dernière décennie.
Le premier était Oumuamua,
il fut découvert en 2017, le second Borisov fut
découvert en 2019, et le dernier Atlas vient
d’être découvert il y a peu.
(a1) Reconstitution d’Oumuamua à partir des images
disponibles.
Oumuamua est un objet plutôt étrange qui a soulevé de
nombreuses questions sur ses origines. Une fragile aiguille de pierre qui frôle
le kilomètre de longueur et qui se déplace selon une orbite atypique, provenant
de l’extérieur du système solaire.
Il va sans dire que l’astéroïde a été analysé sous toutes
ses coutures, mais l’intrigue demeura ouverte, jusqu’à ce que des
démystificateurs spécialisés ramènent une série de raisonnements qui avaient la
prétention d’expliquer les anomalies, du moins suffisamment pour étouffer les
velléités de la classe populaire, avant d’appliquer une omerta sur tout ce qui
le concernait.
Par conséquent, nous ne possédons que des images sommaires
d’Oumuamua.
Nous possédons peu d’images d’Atlas et n’en saurons sans doute jamais plus si la même omerta s’applique.
Une anomalie retient toutefois l’attention. Atlas est
éclairé d’une lumière inexplicable, qui n’est pas la réflexion de la lumière
solaire et semble provenir de l’intérieur. Ce n’est pas peu. Cette lumière fut
estimée à plusieurs gigawatts d’énergie, suffisamment pour alimenter une ville.
De plus, Atlas dégage du nickel sans fer, qui pourrait être le témoin d’une
fabrication industrielle de nickel.
En revanche, nous
possédons des images intéressantes de Borisov.
Les
dormeurs géants.
Avant de poursuivre, il est nécessaire d’expliquer ce que
sont les dormeurs géants.
Une des pratiques des religions animistes, universelles à
l’ancienne époque, celle des dormeurs géants, était sans doute la plus
étonnante.
Les dormeurs géants sont sculptés sur tous les rochers de
la Terre. Ils sont un tribut des religions animistes qui ont occupé la planète
avant notre ère. Ils sont ici un visage, là un personnage, qui étaient
représentés à la grandeur du territoire qu’ils occupaient comme le serait le
drapeau pour nous. Se faire voir des dieux était capital. Toutes les méthodes
pour représenter ces personnages étaient utilisées et les moyens pour y arriver
étaient parfois des entreprises gigantesques.
Ceux visibles aux yeux des hommes étaient la représentation
de la nation et du roi. Ils en faisaient des statues, des breloques, des
chapeaux, des tuiles. Ceux destinés aux dieux étaient peu visibles du sol et
visaient spécifiquement à être vus du Soleil à un moment de sa course
quotidienne.
La plupart de ceux visibles aux hommes ont été détruits à partir
de la nation romaine, mais beaucoup d’autres, surtout ceux destinés aux dieux,
ont été simplement abandonnés.
Selon
l’animisme, les bénéfices de ce culte
étaient
distribués quotidiennement à un moment précis de
la course du soleil. Comme le
soleil possède une course immuable, les dormeurs géants
étaient réalisés avec
une perspective tangentielle, qui ne pouvait être vue du soleil
correctement
qu’à une heure précise de la journée.
C’était un visage ou un personnage étiré
dans sa longueur, au point d’être méconnaissable
à nos yeux. Les dormeurs
géants utilisant cette perspective tangentielle ont moins
souffert que les
autres et ils sont répandus.
À une époque ancienne, ils se sont mis à découper ces
traits étirés sur des pierres gigantesques montées en hauteur, des aiguilles de
pierre, des menhirs que l’on retrouve un peu partout dans le monde.
(a2)Les aiguilles de pierre de Black Hills au Dakota. Une
autre de ces tâches gigantesques réalisées par les anciens habitants de la
planète.
(a3) Menhir de Chap-Dolent, France.
Lorsque l’œil est suffisamment exercé, les fruits de
l’animisme ancien sont visibles partout, du sommet des montagnes jusqu’au plus
profond des mers, témoignant de son ancienneté et des bouleversements de
l’humanité. J’en ai trouvé des milliers. Sur Mars, sur la Lune, ainsi que sur
tous les corps célestes où les photos satellites étaient de résolution
suffisamment élevée et qu’ils n’étaient pas maquillées par les autorités.
(a4)Le fameux visage qui fut photographié sur Mars par la
sonde Viking répond tout à fait aux constructions sous l’animisme. Un profil de
visage exposé au soleil levant.
Oumuamua
Selon certains observateurs scientifiques, Oumuamua est
beaucoup plus qu’un astéroïde et pourrait bien être un vaisseau intersidéral.
Il a graduellement changé de direction par lui-même. Ce
qui est impossible, à moins qu’il ne possède un mécanisme quelconque pour sa
propulsion, comme le ferait une fusée. Un point chaud à l’intérieur d’Oumuamua
pulse avec une cadence manifestement artificielle et une émission
électromagnétique provenant d’Oumuamua possède aussi une structure
artificielle. Sa surface se modifie en fonction de l’albédo solaire, comme pour
varier sa température intérieure.
Les questions sont sans fin.
Voici une nouvelle donnée qui change le paradigme.
Lorsque les règles de la perspective tangentielle sont appliquées
à Oumuamua, elles changent la donne.
(a6) Voici le résultat lorsque l’astéroïde est réaligné
dans la bonne direction et rapetissé en hauteur, les deux seules opérations
effectuées sur la photo originale pour ramener cette perspective tangentielle.
Les yeux, le nez, la bouche, les oreilles sont tout ce qui
est nécessaire pour séparer l’art d’un vulgaire caillou qui tourbillonne dans
le cosmos, ou d’une torsion mentale comme la paréidolie, principale parade de
la psychologie moderne pour expliquer que ce qu’on voit n’existe pas.
Le constat est simple, Oumuamua est un dormeur géant.
Lorsque sa surface est éclaircie, d’autres personnages plus petits apparaissent à sa surface et plusieurs sont peints.
Il y a une relation avec nous.
Avec ses yeux bridés et son petit nez retroussé, il
possède une physionomie nettement
asiatique, non sans une certaine ressemblance avec d’anciennes représentations
bouddhiques.
Peut-être est-ce là une représentation du géniteur de la
race humaine ou des anciens hyperboréens qui sait, mais c’est très certainement
un vaisseau interstellaire.
L’astéroïde
Borisov
L’astéroïde Borisov pourrait faire jusqu’à 16 kilomètres.
En 2020, Hubble a permis de constater que le noyau de Borisov s’est fragmenté en multiples parties. Les images que nous possédons datent d’avant cette fragmentation.
Et concernant l’animisme, Borisov ne donne pas sa place.
(a9) D’entrée de jeu, il possède une
nette ressemblance avec l’Australopicatus robustus, une race qui s’est inscrite
dans l’arborescence humaine il y a deux millions d’années.
Ils nous ressemblaient beaucoup. Ils marchaient debout et ils
étaient capables de réaliser des outils.
Mais l’intérêt vient des détails, Borisov en a beaucoup à
raconter.
Voici les profils des visages qui apparaissent à sa surface.
(a10)
Un profil magnifique. On distingue clairement les détails du nez et de la
bouche, même une légère asymétrie de la lèvre inférieure et une barbichette.
Les yeux sont inclinés un peu comme ceux des Asiatiques, mais ils ne sont pas
disposés de la même façon et sont plus encaissés.
En comparaison des autres profils, il est plus récent et montre ce qui semble être le sommet évolutif des individus représentés.
(a11)Au contraire, celui-ci présente aussi toutes les
caractéristiques des humains, bouche, nez, yeux, mais son profil crevassé
témoigne de son ancienneté. Comme le précédent, l’orbite de ses yeux est plus
encaissée que les nôtres.
(a12)Celui-ci est une composition animiste visant à
présenter les profils à travers les générations. Les yeux asiatiques, le nez,
les oreilles et la bouche y sont, mais dans la bouche apparaissent des têtes
représentant sa descendance.
Sa pupille n’est pas ronde, mais verticale.
Tout comme pour Oumuamua, il y a beaucoup d’autres visages
sculptés sur la surface de Borisov. Une bonne centaine et de plus petits, pratiquement
indiscernables.
Évidemment que de tels artefacts soulèvent de nombreuses
questions. La visite éclair inédite à la queue-leu-leu de ces trois astéroïdes
millénaires venant des profondeurs du cosmos. Les déplacements anormaux qui
suggèrent des manœuvres intelligentes. La fragmentation du cœur de l’astéroïde Borisov,
alors qu’il s’approche de la terre, un évènement suspect dans les circonstances.
Et cette lumière émise par Atlas.
Et il y a ce travail de sculptage immodéré, laissant une
surface pleine de cicatrices, impliquant que des êtres y ont vécu depuis très
longtemps, peut-être même qu’ils y vivent encore. Des êtres qui nous
ressemblent beaucoup, au point où certains des individus représentés pourraient
sans doute s’établir sur terre sans attirer les regards.
Il y a peu de possibilités. Même si il est possible de
croire que la vie possède un modèle de développement élémentaire qui ramène
toujours les mêmes formes, jusqu’à élaborer sur des planètes différentes des
êtres qui se ressembleront, ce n’est pas le cas, l’allure des personnages, les
profils de visage et même la barbichette laissent transpirer une ascendance
mammifère similaire à la nôtre, une possibilité qui serait alors confirmée par
la présence de l’Australopicatus robustus.
Non seulement ils nous ressemblent, mais ils ont manifestement
eu un parcours évolutif semblable au nôtre, ce qui suppose un lien entre les
deux, qu’ils nous ont déjà visités et qu’ils ont copié de nous ce profil
humanoïde.
Mais l’inverse est plus plausible. Qu'ils sont de la race
des dieux et ce sont eux qui nous ont semés, eux qui ont planté des formes
humanoïdes sur la Terre au fil des millénaires en suivant un schéma évolutif
quelconque? Une plantation qu’ils veillent avec une maîtrise consommée et la
régularité d’une horloge. Une panspermie sous stéroïdes.
La terre est-elle la seule plantation qu’ils possèdent dans le système solaire? Ou d’autres
planètes suivent-elles le même parcours évolutif?
Grâce aux différents voyages sur la lune, sur Mars, et à des
satellites comme les deux sondes Voyager qui ont parcourues le système solaire,
les photographies sont parfois suffisamment nettes pour y dénicher des dormeurs
géants. J’ai pu en découvrir sur la Lune, Mars et plusieurs lunes de Jupiter et
de Saturne. Dans tous les cas, il est possible d’y retrouver des ressemblances physiques
avec nous qui deviennent de plus en plus évidentes avec le passage du temps.
Il y a peu de doute que ces astéroïdes sont des coquilles renfermant
des vaisseaux interstellaires, qui reviennent quelques décennies tous les
millénaires et font un bref tour d’horizon avant de repartir. Il n’y a pas de doute
que leur présence est liée à la nôtre.
Dans cette hypothèse, la fragmentation du noyau de Borisov
pourrait être beaucoup plus que la fragmentation
du noyau de Borisov. Certaines cultures présentent une histoire de l’homme
façonnée en chapitres, des étapes de développement qui changent brusquement
avec les grandes catastrophes qui affectent la Terre, laissant chaque fois un
homme différent qui peuple la terre à son tour.
Il faut dès lors envisager qu’ils possèdent des
connaissances et des technologies à des lieues de nous.
Peut-être en sommes-nous à une nouvelle étape de
développement, que les dieux en ont
terminés et jugent que nous pouvons être affranchis, prêt à poursuivre notre
route seuls.
Ou peut-être encore estiment-ils que nous n’avons pas
passé l’épreuve, quelle qu’elle soit, et que nous devrons laisser la place à un
nouveau modèle, comme ils l’ont fait avec l’Atlantide.
Pierre de Châtillon