Toute hypothèse n'est que provisoire, 

tant qu'elle ne peut-être vérifiée par l'expérimentation.

Cycles

La crise climatique a débuté il y a plus de 25 années. Les causes à cette crise qui ne cessait de surprendre d'année en année ont toujours été incertaines jusqu'en 1995, date à laquelle un groupe d'experts en climat appelé "Intergovernmental Panel on Climate Change" (IPCC) présentait avec tambours et trompettes dans une scène peu digne de la science, les conclusions de leurs analyses sur le climat dans un rapport qui contenait une phrase minuscule qui allait tout changer.

"Une influence humaine discernable sur le climat global de la planète."

Dès lors, exit les changements solaires ou les courants marins ou les cycles naturels de la terre, comme victime d'un esprit frappeur tous n'avait plus de z'yeux que pour le méchant cochon d'humain qui polluait la planète sans vergogne. L'odeur de la vengeance était palpable et il était temps de faire payer les véritables coupables. La tension était insupportable et la porte entrouverte s'est rapidement transformée en rupture de barrage stigmatisant le peuple à grand coup de déferlantes. Tous n'étaient certainement pas coupables, mais coupable ou pas, ils auraient à en payer la facture.

La caravane climatique du "hockey stick effect" était en marche et le vert était à l'honneur. De ce jour, vous n'aviez plus le choix. Vous étiez assis dans la caravane, ou n'étiez qu'un de ces méchants cochons d'humain qui polluait la planète sans vergogne et qui allait peut-être même jusqu'à fumer la cigarette, voire cracher sa gomme au sol..

Récemment, il fut porté au grand jour, que les données statistiques qui furent nécessaires à la démonstration du IPCC étaient fausses. Il fut démontré que ce n'était pas le fruit d'une simple erreur de manipulation, mais un geste prémédité impliquant plusieurs personnes sur une longue période.

C'est avec complaisance que les gouvernements du monde se sont assis à ce râtelier et y ont laissés depuis ce jour des dizaines de milliards de l'argent du peuple et rien ne permet de croire qu'ils vont s'arrêter de sitôt.

Les cycles climatiques pour leur part furent laissés dans l'ombre et parfois même présenté comme un joueur mineur en dépit des évidences. Au mieux, ils partageront une scène conjointe avec la planète X, la météorite folle, le renversement des pôles et l'invasion extraterrestre, à travers  les fans de connaissance parallèle.

Les véritables causes du climat ont toujours été connus des anciens. Ils leurs étaient ainsi possible de reproduire le climat à venir des décennies à l'avance. Cette connaissance faisait parti de l'attirail de tous les "Sea-King" ces marchands qui ont conquis les mers à l'époque ancienne. Ces cycles de bouleversement climatique et la venue de la crise actuelle étaient tout aussi connue des anciens. En fait, la connaissance des grands cycles séculaires comme ils furent appelés par la suite, n'est jamais entièrement disparue. Elle apparaissait encore dans les livres d'éducations classique jusque dans les années 50, avant d'être avalée par les changements d'une nouvelle éducation.

C'est cette explication du Timée de Platon concernant le climat que j'ai jugé bon de vérifier. Son explication était à l'effet que les gros planétaires de notre système solaire, possédait un incidence très importante sur le climat. Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune étaient des planétaires dont la masse modifiaient des paramètres important dans l'approvisionnement énergétique du Soleil ainsi que celui de la terre.

La terre effectue son tour du Soleil en un an, alors que des décennies et même des siècles sont nécessaires à ces planètes gigantesques pour effectuer le même circuit. Il arrive au fil du temps que ces grosses planètes possédant des vitesses différentes, s'aligneront les unes auprès des autres dans le ciel. De tels alignements projettent dans l'axe de leur alignement un faisceau d'énergie qui possède un effet d'attraction à des distances beaucoup plus grande que celles prêtées aux lois de l'attraction moderne. Produit de l'angularité, ce faisceau d'énergie balayera à grande vitesse le système solaire et affectera tour à tour les autres corps du système solaire, incluant la terre et le soleil.

La terre, qui n'est qu'un joueur minuscule dans ce maelstrom de force, tourne autour du soleil. Au moment ou la terre sera frappée par ce balayage d'énergie consécutif à un alignement, elle sera soit en train de se rapprocher de cet alignement, ou elle sera en train de s'éloigner de cet alignement. Si elle est en direction d'approche, ce faisceau d'énergie aura comme conséquence de l'attirer. Ceci aura comme résultat d'accélérer la terre sur son orbite, la refroidissant. Si la terre est en direction de s'éloigner de cet alignement au moment d'être frappée, elle sera ralentie dans sa course et s'échauffera.

Platon expliquait que cet effet variait aussi en fonction de la direction du système solaire dans lequel l'alignement se produisait puisque dans certaines directions ajoutait-il, cet effet était beaucoup plus prononcé. Platon ne s'arrêtait pas en si bon chemin, car il ajoutait que ceci était la cause des diverses conflagrations ayant affectées la planète et les civilisations des hommes qu'elle portait.

L'analyse était facile. En quelques jours à peine je prouvais un lien indissociable entre les grands cycles du climat et la ronde des planétaires, mais le résultat soulevait une drôle d'odeur qui allait fermement entacher mes croyances et la mise au jour de cette découverte car tout ceci s'appelait "astrologie".

De plus ce lien soulevait une question nébuleuse et sans réponse. Alors que Platon fut étudié mur à mur par toutes les générations jusqu'à ce jour et au vu de la facilité désarmante avec laquelle j'avais compris la combine, comment un tel savoir avait-il pu disparaître?

Les choses ont évolués depuis. Outre ce que mentionne Platon, il faut considérer ce qui suit. Les saisons ne sont pas propre à la terre, mais à la position angulaire qu'elle occupe dans l'espace en référence au soleil. Lorsque la terre passe de la chaleur de l'été au froid de l'hiver, elle est au même moment passé d'un quartier du soleil nous transmettant une énergie chaude et une pression atmosphérique élevée, à un quartier du soleil transmettant moins d'énergie relâchant la pression atmosphérique. C'est ce qui occasionne les saisons. Par conséquent, toutes les planètes du système solaires circulant autour du soleil, voient leur énergie et leurs saisons varier au fil de ce périple, passant d'une période dépressive du cycle d'un coté du système solaire apportant des mauvaises conditions climatiques, à une période d'exaltation de l'autre coté, apportant des conditions climatiques de qualité.

Au moment d'un alignement, l'énergie acheminé dans l'axe de l'alignement possèdera les caractéristiques de la direction du système solaire, acheminant du coup les caractéristiques de cette dépression ou de cette excitation pendant une courte période, affectant la terre et occasionnant parfois cette éclaircie dans un univers de pluie ou cette pluie orageuse de l'été ensoleillée. Grêle, orage, vague de froid, sécheresse, inondation, tremblements de terre et volcans, sont tous des conséquences de ces variations de ces forces.

Lorsque les conditions adéquates sont réunies, des rivières énergétiques traversant le système solaire s'accroissent parfois de façon telle qu'elles parviennent à supplanter les mécanismes de protection magnétique de la planète occasionnant une dissipation de l'éther et conséquemment différents maux. Cancer, obésité, malformation, dépression, maux de tête, cillement aux oreilles, problèmes cardiaque, flash visuel, douleur articulaires, vulnérabilité aux pathogènes, mauvaise humeur, compulsion, manque de créativité, sont des pathologies qui trouvent origine dans cette amincissement éthérique affectant la terre depuis quelques décennies.

Tout comme la terre, le soleil est affecté et l'ensemble des perturbations se déroulent selon un calendrier qui va de pair avec la position des planétaires. L'analyse des grands cycles du soleil, fut au coeur de toute les religions que la planète a porté depuis l'origine des temps. Ils n'admiraient pas la boule de feu dans le ciel en faisant des salamalecs, mais avait établi un protocole de surveillance du soleil inscrit dans un rituel dogmatique, capable de résister au passage des générations. "Pendant qu'ils pointaient les étoiles, nous regardions le doigt."

Figurine nazca montrant la couronne solaire. Au centre, un évènement solaire du type de ceux ayant présidé à la création du symbole de l'ankh égyptien. À droite, une représentation tirée de l'iconographie religieuse telle qu'elle était avant la sortie du moyen-âge. Toutes les couronnes entourant ce personnage sont constituées de pointes dont le décompte est indicatif des cycles.

Ces variations de l'énergie provenant du soleil entraînent à leurs tours des conséquences visibles sur la terre comme les aurores boréales ou les projections solaires.

Puisque l'ensemble de ces variations sont sous la gouverne de la position des planètes dans le ciel; que ces mêmes planètes possèdent une course définie et connue permettant de les situer à tout instant, déterminer les variations et les conséquences associés, c'est aussi obtenir la preuve de l'hypothèse par l'expérimentation.

Mettre sur pied une méthode permettant de prédire l'endroit et le moment des variations et conséquences à venir, n'est qu'une simple application de l'hypothèse.

C'est un pas qui fut franchi il y a très longtemps avec l'astrologie, le I-ching, le Tarot, qui ne sont que des outils parfois simplifiés à outrance par le passage des générations, permettant de prédire la venue de ces cycles et leur effet.

Le concept de l'alignement des planètes fut soutenus par de nombreux auteurs anciens. La plupart de ces écrits n'ont pas franchis les âges jusqu'à nous et ceux qui y parvinrent ont été relégués à l'extrémité de la liste de livres à lire. Grâce à l'astrologie de cirque fournie gratuitement par tous les médias du monde et un constant pilonnage à l'ego dès que ce mot est prononcé, par ceux qui se sentent investis d'éduquer la société, l'éducation a fait son oeuvre et ses racines sont profondes. Le mot "astrologie" est aujourd'hui un tabou éducationnel. La seule prononciation de ce mot, ferme avec étanchéité les sphincters de tout individu raisonnable souhaitant conserver sa réputation de raisonnable.

Durant tout ce temps, sous le prétexte d'une bulle dans l'huile ayant affectée la mémoire ancienne nous rendant tout à fait incapable de faire des prédictions météorologique valables au-delà de trois jours, nos candides gouvernements investissaient des milliards de dollars dans les seules technologies du monde, juraient-ils en déchirant leurs chemises sur la place publique, capable de réaliser les trillions d'opérations secondes nécessaire à repousser cette frontière de la prédiction climatique.

Résultat, nous leurs avons payés le développement des supers ordinateurs et nous en sommes encore à trois jours dans la prédiction de la météo.

Pierre de Châtillon

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