La vérité est dans l'oeil de celui qui regarde, disait le marchand en s'esclaffant.
C'est autour de cette courte maxime que s'est édifié le monde moderne. Ce qui est, n'est pas aussi important que ce qui paraît être.
C'est cette même maxime que nous expliquait à sa façon Platon dans son Allégorie de la Caverne, instruisant les siècles à venir qu'une machination démoniaque visant à travestir la réalité était en train de se cristalliser.
Philosophie, psychologie, mathématiques, géométrie, sociologie, politique, astronomie, médecine, science naturelle et si nous y ajoutons les bribes de savoir divers, l'héritage des Grecs n'est rien de moins que le germe de notre société moderne.
Alors que les connaissances qu'ils laissaient étaient assez brillantes pour survivre à toutes les sociétés qui allaient leur succéder pendant plus de 2500 ans, une vaste portion du savoir de ces anciennes sociétés ne s'est pas rendu à nous.
Sous la main de l'élite des cours royales européennes lors du passage du Moyen-Âge à l'ère moderne, une partie de ce savoir s'est volatilisée et l'autre fut entièrement réformée en réinventant une façon de faire entièrement différente.
Cartographie, géographie, navigation, astronomie, climat, météorologie, astrologie, histoire, énergie, science divine, toutes ces créations modernes possédaient des points en commun.
La vérité sur quelque sujet que ce soit, ne peut souffrir de compromis et n'a rien à voir avec un exercice démocratique. Son importance ne se mesure pas à l'intérêt qu'elle suscite, ni plus qu'à l'éloquence de son orateur, mais elle est celle des sujets auxquels elle s'adresse. La vérité n'est pas une croyance et n'a rien d'une question individuelle. Aussi troublante soit-elle, aussi folle soit-elle, la vérité doit reposer sur des preuves solides.
Bien que les sujets mentionnés semblent loin des préoccupations modernes, il n'en est rien. Cet indice vital prend aujourd'hui des proportions qui concernent chacun d'entre nous.
Si le raisonnement de l'individu raisonnable était acceptable il y a peu encore, il ne l'est plus. Les réfugiés du climat sont légion, les motifs aux guerres et révolutions sont à toutes les portes, les suicides et les crimes sont en explosion, les vices et les causes sont en attente de leurs héros. Tous se traduisent par de nombreuses souffrances humaines.
Si tout va comme il paraît, il n'y a pas de crime et tout va bien.
Voici ce que je dis.
L'homme n'est pour absolument rien dans le réchauffement climatique. Les variations du climat ont toujours existé et leur cycle est connu depuis l'origine des temps. De nombreux outils permettaient de prédire les différentes phases du climat à venir, des siècles d'avance, des connaissances qui sont utilisées dans la construction des tables à l'usage des almanachs des cultivateurs. Au-delà d'avoir utilisé ce prétexte pour construire une industrie de la haute informatique, ils ont toujours su qu'une crise climatique allait frapper en 2010 et ils l'ont cachés, mettant en péril ma vie et celle des miens, votre vie et celle des vôtres. Bien au contraire puisque de nombreux mouvements comme la caravane du réchauffement climatique, l'introduction des plastiques et le mouvement vert, furent orchestrés spécialement dans le but de diriger la société comme le ferait un guide à bétail.
Des grandes civilisations qui ont ponctué le monde, nous somme la moins développée. Les grandes lignes de notre science moderne et la plupart des grandes inventions proviennent directement ou furent inspirés du savoir des générations qui nous précède, mais présenté sous la main d’inventeurs modernes. C’est la Renaissance avec Da Vinci, un inventeur réputé qui n’a jamais fait autre chose que récupérer des connaissances existantes autour de la Méditerranée. Ce fut le cas du téléphone avec A.G. Bell ou de l’électricité avec Edison ou de la photocopie, de la souris, du microprocesseur, du transistor.
La totalité des génocides et des guerres ayant eu lieu sur la planète depuis l'ère précédente, ont été orchestrés sous la gouverne de ces gens. Elles sont contrefaites et ne servent qu'à couvrir leurs exactions et à dissimuler leurs crimes.
Les systèmes politiques et économiques ne sont pas le sommet de l'évolution. Ils ont été dessinés pour laisser des failles imparables et vider les goussets du peu de richesse que le peuple a pu accumuler. Ce n’est pas la première fois, ça se produit tout le temps et ça ne sert qu'à rendre les riches plus riches. Avec l'industrialisation, la mécanisation, la robotisation, produire un pain coûte 10 fois moins cher qu'en 1900. Pourtant acquérir un pain nécessite aujourd'hui 5 fois plus de sueur de bras qu’en prenaient nos grands-pères en 1900. Vos parents ont été de bons travailleurs, ils auront à force de bras économisés une quantité d'argent qui avec l’inflation, ne dépassera pas de beaucoup votre salaire annuel. L’argent ne disparaît pas.
Il n’y a pas de place pour deux mâles dominants sur le territoire. La haute finance appartient à l’oligarchie. Les banques, les médias, les grandes corporations, les grands réseaux organisés du crime existent parce que cette bête les possède ou les tolère.
Ça n’a rien à voir avec une zébrure sociale, c’est un vol.
Ça n’a rien à voir avec le hasard de l’évolution, c’est un plan.
En disloquant l’essence du savoir des anciennes générations et en le contenant dans des domaines isolés les uns des autres, il devenait possible de les dégrader jusqu’au ridicule ou de les dissimuler. La religion, la géographie, la philosophie, l’astrologie, la science, la climatologie, la géologie, l’astronomie et l’histoire sont de ces domaines qu'ils doivent conserver sous une stricte supervision pour entretenir la pérennité du système.
Tout ce qui démontre des indices permettant de raccorder un cheminement intellectuel entre l’ancienne façon et la nouvelle, entre l'ancienne science et la nouvelle, entre l'ancienne géographie et la nouvelle, entre l'ancienne astrologie et la nouvelle astronomie, entre l'ancienne religion et la nouvelle, est éradiqué. Les livres sont détruits, les gens torturés, les populations déportées ou annihilées et tous les moyens nécessaires pour y parvenir sont utilisés.
Débuté à l’époque Nimrod il y a 3000 ans, cet obscurantisme servant bien la classe supérieure au détriment d’une sous classe d’individus n’a jamais cessé depuis. La dernière grande vague de l’histoire fut certainement celle de la saga hitlérienne, qui finit par raser une partie de l’Europe et resserrer les juifs trop traditionalistes dans un endroit appelé «État d’Israël » autour d’une cité appelée « la Nouvelle Jérusalem », qui incidemment n’a rien à voir avec la Jérusalem antique, avec l'objectif souhaité que la crise climatique à venir au tournant du nouveau millénaire, les détruiras. Une cause qui sera supportée par la main cachée d'une oligarchie qui ne se gênera pas pour en ajouter jusqu'à semer le chaos à tout vent.
En finale, le plan est étonnamment simple et varie peu de fois en fois. Il repose sur la disparition de la connaissance des lois du divin, un ensemble de lois déterminantes dans la prédiction des cycles du climat solaire, qui affectent le climat de la terre et le climat vital régulant la qualité du fonctionnement biologique. Toutes les religions, toutes les astrologies que la planète a portées depuis que l'homme existe, furent tirées de cet ensemble de lois.
Aujourd'hui, c'est à coups de milliards d'investissement informatique que le climat de la planète se retrouve remplacé par une météo trois jours et que le climat vital est remplacé par les engrais et les bacs à pilules.
Profitant de l'opportunité d'être les possesseurs exclusifs de ces connaissances permettant de prédire, ils sont en mesure de connaître avec précision les endroits et les moments ou les crises climatiques seront les plus violentes. Utilisant les grandes périodes de calme relatif pour enclaver les populations résistantes dans les endroits prévus, ils s'autorisent aux actions les plus vicieuses à l'approche du chaos provoqué par les crises climatiques. Du coup ils font disparaître les indices de l'histoire et récupèrent le savoir ancien. Toutes les guerres et toutes les crises économiques sont provoquées artificiellement pour répondre à cet agenda.
Pour arriver à leurs fins, ils ont besoin de préparer les différentes sociétés. Ils sèmeront ici des germes de controverse en accroissant l'immigration et en cultivant la désorganisation, les haines ethniques, les crimes populaires, la confrontation politique, l'argent sale, ils possèdent toujours sous la main une controverse facile à exploiter et une société incapable de réagir à une attaque soudaine.
À un autre endroit prédisposé à devenir un réservoir de ressources militaires, ils sèmeront les germes d'une désensibilisation à la souffrance humaine et un chauvinisme exacerbé, en plus des connaissances militaires d'usages, une génération de conquérants. Ils y insuffleront plus d'argent et favoriseront le développement de technologie diverse, toutes dirigé à l'usage de la guerre. Durant la même période, une campagne de propagande serrée empoisonnera la perception des relations avec les peuples sous la mire.
Ce que je dis n'est ni précisément science, ou religion, ou astrologie, ou philosophie, ou climatologie, ou histoire, mais dans l'angle mort de toutes ces sciences. Je le dis haut et fort, car je suis fermement convaincu que des vérités importantes aux coeurs des tourments qui nous préoccupent en ce moment y ont été cachées. De ce point de vue, j'estime que sous l'emprise de ces oligarques nous sommes en direction d'un champ de mines. Que toute évaluation de la situation en fonction de considération amoindrie n'est qu'un leurre, une course de lemmings menant absolument dans une direction et une seule, la trappe à rats.
Pierre de Châtillon