Dessine-moi un mouton.
La
Renaissance, l’industrialisation, l’électrification, l’électronique,
l’optique, le numérique sont arrivés comme des vagues submergeant tout
le reste. Depuis des siècles, le développement de nos sociétés est
cadencé au rythme d’un tambour invisible qui n’a rien à voir avec les
impératifs courts que nous en connaissons, comme l’argent ou la
politique.
Et pourtant, la plupart des idées, des concepts, des inventions qui ont marqué notre monde jusqu’au milieu du 20e
siècle existent depuis toujours. Il y a toujours quelque part un livre,
un auteur, une épopée, une légende antérieure portant sur le sujet ou y
faisant référence. Des armes, des outils, des principes que jamais nous
n’aurions envisagés dans les mains de nos ancêtres.
Sous
la main des magiciens, des religions et ensuite par l’aristocratie, les
librairies du savoir commun étaient détruites comme il est arrivé tant
de fois dans l’histoire, mais ce qui était bon ou utile finissait
toujours par réapparaitre au moment opportun. Des atouts exclusifs.
Notre
histoire est un assemblage de demi-vérités écrites au gré des
conquérants, visant à dresser une rétrospective acceptable. Notre
science, c’est la science populaire, celle qui ne dépasse pas la
vitesse de la société. L’autre science, c’est celle des secrets qui se
conduit dans les officines, à l’abri des regards. Nous sommes le fruit
d’un conditionnement social sous l’emprise des médias.
Par
des manœuvres politiques, par la puissance de l’argent, par celle de
l’intelligence, par l’exploitation des travers humains, par des modes,
par des mouvements, usant de fines stratégies, de la puissance des
médias ou de force brutale, une main invisible intervient sur le
développement de nos sociétés à travers le temps, en fonction
d’objectifs occultés qui n’ont rien à voir avec le bien-être populaire.
Oublier,
c’est être condamné à recommencer encore et encore. Une perspective
dans laquelle, le peuple n’est qu’un vil outil, un mal nécessaire à la
conduite des choses.
Ce que je m’apprête à vous dire change tout!
Et même si vous compreniez ipso facto
que vous avez là quelque chose de hautement anormal, qui ne cadre pas
du tout avec la science et les connaissances modernes ou avec vos
propres convictions, vous n’en comprendrez pas immédiatement toutes les
ramifications. Ça demeurera un os, quand même bien vous déchireriez
votre chemise!
Les
anciens cultes de la terre possédaient en commun la croyance que pour
s’attirer les faveurs des dieux, ils devaient se faire voir d’eux en se
représentant au sol plus grand que nature.
C’est
ainsi qu’ils se représentaient à la grandeur de leur territoire,
parfois avec des plantes ou des pierres colorées, parfois c’étaient les
terres mêmes qui étaient façonnées et découpées à leur image. Songez
aux géoglyphes de Nazca, réalisés de main d’hommes, visibles à des
kilomètres de hauteur et qui perdurent dans les déserts de la pampa
depuis près d’un millénaire.
Ou encore au Géant de Cerne Abbas en Angleterre qui mesure 50 mètres.
Ces représentations pouvaient parfois prendre des dimensions gigantesques.
La
différence entre des lignes de la nature et un profil de visage? C’est
l’œil qui fait foi de tout. Aussi grandes soient-elles, tous ces
profils possèdent un œil placé là où il se doit.
Ici sur l’ile de Mansel
en Arctique, les restes de deux grands visages réalisés en dénudant la
pierre s’opposent de chaque côté d’une crique, alors qu’à gauche, le
profil d’un visage encore plus ancien qui regarde vers le ciel est
découpé à même la côte.
Ces visages font plus de 25 km de hauteur alors que celui découpé dans la côte fait 40km.
Ou encore ici, sur l’ile de l’Ascension, assise en plein milieu de l’Atlantique Sud.
Il faut savoir que les visages n’étaient pas le seul dogme de ce culte universel ancien.
Informer
les dieux sur notre location, sur notre apparence, n’était pas
suffisants. Il fallait aussi lui communiquer notre histoire.
Comme
sur la terre à plusieurs endroits, les anciens, tant pour les dieux que
le bénéfice de la postérité, inscrivaient au sol l’histoire de leur
nation dans un format normalisé, dont la séquence instruisait les dieux
sur qui ils étaient.
Ligne
de temps sur la Côte-Nord du Québec près de l’Archipel de Saint Marie,
la séquence de personnages en action, inscrite à même la pierre dénudée
de sa tourbe, présente un segment d’histoire d’une ancienne nation.
Elle est inscrite au sol selon une périodicité cadencée par les
générations successives et puisqu’elles s’étirent toujours dans la même
direction, elle devenait le témoin aux dieux de l’histoire des
générations successives de la nation.
Ces lignes de temps sont souvent très courtes. Mais il arrive parfois qu’elles s’étirent sur de longues distances.
C’est dans les petits détails que les mensonges se révèlent.
Si la NASA a communiqué de l’information sur ses missions, elle en a caché beaucoup plus encore. NASA signifie « National Aeronautics And Space
Administration », une agence gouvernementale qui fut créée dans le
but de transférer au domaine civil des connaissances acquises par les
militaires sur les voyages dans l’espace. Architecturée autour d’un ADN
militaire remontant à la fin de la guerre, elle n’a jamais eu comme
mission d’informer le public, sinon en ce qui concernait la matière
civile et dans la mesure où cela n’interférait pas avec la sécurité
nationale.
S’il
est un endroit où il est possible de constater facilement l’application
d’une censure par les spécialistes de l’espace, c’est justement dans
les produits dérivés disponibles de la NASA et des autres organisations
spatiales, comme entres autre les photos satellites de la Terre, de la
Lune et de Mars, toutes disponible à travers des fournisseurs de
solution comme Google Earth. Des hachures,
du faux brouillard, de la fausse glace, de la répétition d’images, une
résolution parfois si basse, qu’elle est surpassée par celle de la Lune
ou de la planète Mars. De nombreux stratagèmes ont été utilisés pour
cacher des images satellites de la terre en dépit de la mission
apparente d’informer. Il y a bien sûr une censure qui sert aux fins de
la sécurité nationale, mais de nombreux endroits sis dans les coins les
plus reculés de la planète et même jusqu’au plus profond des mers, ont
été ainsi dissimulé. Parfois ce sont des surfaces très grandes, alors
qu’à d’autres elles ne sont que des rapiéçages qui ne dépassent pas
quelques kilomètres carrés.
Lunar
Orbiter était un programme de la NASA des années 1966 et 1967, qui
visait à photographier et cartographier par satellite la surface
lunaire, incluant la face cachée, de façon à permettre de trouver des
terrains d’alunissage adéquat pour les vols de la mission Apollo.
Durant
ces deux années, cinq vols ont permis d’imager la totalité de la
surface lunaire dans une résolution acceptable et certains endroits en
haute résolution, en la découpant en bandes étroites d’une douzaine de
kilomètres de largeur, des bandes qui se démarquent clairement
sur l’imagerie satellite, par l’envoi à même les relevés d’une fine
ligne pointillée de couleur blanche utilisée pour le jointement de
précision des bandes entre elles.
Or,
il s’avère qu’une de ces lignes pointillées souligne sur plusieurs
kilomètres, à la façon d’une ligne pour écrire dans un cahier de la
petite école, un artefact qui appartient à la lune. Un artefact si
simple et si important en fait, qu’il ressemble même à une faute des
capteurs satellite et qu’il excède les seuils de contrôle des
mécanismes de floutage appliqué sur toutes les photos.
Dorsum Oppel Mare Crisium
Ici, dans une séquence prise à affleurement dans le nord du Mare Crisium,
il est possible de constater au sol cet artefact de la lune, un bandeau
rigoureusement linéaire composé d’une suite de variations de teinte,
qui s’étire à la gauche de la ligne de démarcation pointillée des
images satellites.
Mais ce ne sont pas là de simples taches au sol.
Voici un composite d’images permettant de mieux apprécier la complexion de la ligne de temps.
Exemple de ligne de temps. D’une largeur de 6700 mètres et long d’une trentaine de kilomètres.
Sa composition s’apparente à celle d’un calendrier runique avec qui elle partage les origines. Runic, signifie runen ou « se déplacer rapidement au long ». C’est là la définition d’une ligne de temps.
Elle
comporte une triple trame, la première est constituée de grandes images
partiellement effacées qui apparaissent en filigrane et s’étendent à la
largeur de la ligne de temps. Sur cette première trame sont surimposée
au sommet et au bas, deux autres trames beaucoup plus contrastées de
2600 yards de largeur, constitués de séquences d’individus et d’objets
vus de profil montrant des actions. Entre les deux, les images
originales ont été effacées, sans doute au profit des nouveaux héros ou
rois.
La
ligne est divisée dans le temps par l’usage de caractères récurrents,
comme de grandes lignes penchées chargées comme des totems, qui
traversent la largeur de la ligne de temps. Elles pourraient référer
aux grands cycles climatiques, ou à des périodes de crises sociales, ou
à la périodicité orbitale de planètes de référence comme il existait
sur la terre à ces vieilles époques, telle la conjonction Jupiter
Saturne.
« Concrétions calcaires de surface » dira le géologue patenté. « Barbouillages
qui ne prouvent rien! » lancera l’orthodoxe en déchirant sa
chemise en arguant que quelques kilomètres de telles formes peuvent
surgir de n’importe où et ne sont nettement pas suffisant pour en tirer
de telles conclusions. Une trentaine de kilomètres non. Mais comme je
l’ai mentionné, ce n’est qu’un échantillon. Elle dépasse de loin ces 30
kilomètres.
En vert sur cette représentation, la ligne de temps s’étire et traverse tout le nord de Mare Crisium d’est en ouest, pour totaliser plus de 387 kilomètres.
En fait, j’ai retrouvé 13 de ces lignes de temps sur la surface de la Lune. Elles totalisent 1560 kilomètres.
Cartes des lignes de temps de la surface visible de la Lune.
Toutes
les lignes de temps sont de sept kilomètres de largeur et sont toutes
en direction est-ouest. La plus longue est de 386 km, six d’entre elles
sont de 146 km de longueur, séparés par des intervalles longitudinaux
de quelque 238 km. Huit sont complètes, quatre sont incomplètes, une
est interrompue, deux se retrouvent sur la surface invisible de la
Lune, dix sont situées dans l’hémisphère nord de la Lune, trois sont
assez visibles.
Les
lignes incomplètes sont le fruit des travers de la résolution des
images ou de l’assemblage alors que les lignes interrompues cessent
simplement alors qu’elles sont en cours d’élaboration.
Schéma d’une ligne de temps complète, avec ses deux pointes.
À
l’exception des lignes incomplètes et interrompues, elles débutent et
se terminent toutes par une pointe qui s’étire sur une dizaine
d’années, suggérant qu’il n’y a pas eu de croissance de communauté,
mais une arrivée et un départ, le débarquement d’une communauté qui
posséderait une mission d’une durée déterminée. Dès l’ouverture de la
ligne de temps, il se produit une division des individus entre ceux de
la trame supérieure et ceux de la trame inférieure. Ceux de la trame
supérieure beaucoup plus près des yeux et des oreilles des grands
personnages en filigranes, insinue une hiérarchie et que la trame du
bas raconte une histoire populaire.
Bien
que le yard soit la mesure utilisée sur les anciennes créations de la
Terre, il n’y a pas de certitude qu’elle l’est sur la surface lunaire.
Cette mesure d’ordre astrologique est un produit de la rapidité avec
laquelle se lève le soleil sur l’horizon, un soleil qui ne fait plus
son tour en 24 heures sur la lune, mais en trente jours. Toutefois le
yard n’est sans doute pas loin de la réalité si on en juge à la
dimension des monuments et des dessins au sol, qui sont proches de la
dimension de ceux terrestres. Dans la plupart des cas, l’intervalle
longitudinal entre les lignes de temps est de 260,000 yards (260 ans,
238 km), laisse poindre la possibilité qu’il y ait eu de ces
« débarquements » tous les 420 ans.
Les
écarts apparents entre les époques, les races et les caractères des
individus représentés, les habillements, les façons de dessiner et
l’empoussièrement laissent croire que ces lignes de temps ont débuté
aux anciennes époques de la terre pour se poursuivre jusqu’à l’époque
victorienne.
En
plus de ces 13 lignes de temps, les recherches ont permis de révéler
plus de 150 images présentant des scènes et des visages clairement
définis et plus de 1500 points d’intérêts qui attendent de livrer leurs
secrets.
Ces
lignes et ces « dormeurs-géants » comme ces grands visages au
sol sont appelés, racontent l’histoire de nations ayant vécu sur la
lune dans notre passé et dans certains cas, un passé pas si lointain.
Elles
sont l’ADN social d’une communauté de semblables, représentant des
évènements que ces anciens jugeaient capital pour la postérité et
qu’ils confiaient aux dieux. Elles racontent l’histoire ancestrale des
sélènes dans une bande dessinée épique qui se cadence au rythme des
yards comme les pages d’un livre. Une véritable fresque racontant les
ancêtres, « Attention! » leurs disaient-ils, « nous sommes ici et voilà ce que nous avons fait. «
Voici les 13 lignes de temps apparaissant à la surface de la lune, avec leurs coordonnées. Le Codex Lunas #6 Mare Crisium est la ligne de temps la plus révélatrice.
Codex Lunas #6 (Mare Crisium)
C’est
là une découverte qui sera très mal reçue et contestée. Notre savoir
contient de nombreux dogmes. La lune qui n’est qu’un caillou sec et
mort en est un. Mais même la pire et la plus courte de ces lignes est,
par sa droiture et par sa régularité, un écueil du savoir moderne
auquel la science populaire devra répondre. Des éons seront nécessaires
uniquement pour déterminer qu’il ne s’agit pas là de caractéristiques
naturelles, alors avant que le ballon échoue dans le département des
pétroglyphes géants sur fond lunaire, il y en a pour un moment alors
nous n’attendrons certainement pas.
Voilà,
je n’ai pas fini de dire. Seriez-vous surpris d’entendre que tout ceci
possède un lien avec la genèse biblique? Que ceci soit nos origines à
tous? Qu’il y a eu de nombreuses communications entre la Terre et la
Lune? Que cela était connu depuis longtemps? Que ce fut la raison de la
course à l’espace? Que des sélènes vivent encore sur la Lune? Qu’il y a
eu contact entre sélènes et astronautes? Que de nombreux sélènes ont
pris pied parmi nous à travers les époques? Qu’ils constituent la
plupart des apparitions d’OVNIS? Qu’ils interviennent dans les affaires
de la terre? Qu’il y a eu une altercation entre les terrestres et les
sélènes à une époque?
Codex Lunas : La Lune ne sera plus jamais la même. Partie #2
La
NASA nous a présenté le portrait d’une lune grise, poussiéreuse, sèche,
d’une monotonie à rendre fou d’ennui. Une lune sans surprises, analysée
et réfléchie sous toutes ses coutures, qui répondait tout à fait aux
attentes telles qu’édictées par nos brillants scientifiques bien avant
la première fusée Apollo.
Exit
les anciennes croyances et observations de la lune. Exit les canaux et
les mers. Exit les lumières qui apparaissaient ici et là. Exit la
verdure qui sourdait avec les saisons et même l’air qui se distinguait
parfois au ras du sol. La Lune n’était plus qu’un éternel caillou mort, sec, sans atmosphère, virevoltant dans l’espace.
Et
des voyages sans surprises. Trois individus enfermés pendant trois
semaines dans une minuscule boite en fer blanc par plus grande qu’une 2
CV posée au sommet d’une bombe titanesque à détonation contrôlée
construite par le plus bas soumissionnaire conforme, lancée dans le
vide sous l’autorité d’un ordinateur de bord de la capacité d’une
grosse règle à calcul, avec l’espoir de se poser à la surface d’une
autre planète située à 380,000 km, avant de refaire le voyage en sens
inverse et d’en revenir sains et saufs, avec un trésor géologique
constitué de quelques poches de cailloux et de poussières, un
« must » qui aura servi et sert encore à justifier cette
lancée.
Pas une fois, ni deux, mais ils ont répétés ce voyage à la surface de l’éternel-caillou-sans-surprise
à six reprises. En ajoutant les missions préparatoires, les missions
non habitées, les satellites d’analyses, et l’armée de scientifiques,
de techniciens, de manœuvres et de sous-traitants qui ont été
nécessaires à la réalisation de cette architecture pendant plusieurs
décennies, la mission Apollo n’était certainement pas une mince
entreprise.
Pendant
14 ans, d’innombrables efforts ont été investis à la réalisation de ce
programme, en plus de la vingtaine d’astronautes ayant été utilisés à
ces missions, c’est plus d’une trentaine d’autres qui ont mis leurs
vies en jeu pour repousser un peu plus les frontières de l’espace. En
tout, le programme Apollo a nécessité plus de 1,5 million de
travailleurs, dont 400,000 employés directs, qui ont coûté aux
contribuables la somme de 35 milliards de dollars. Et ce n’était là que
la version civile de la chose, puisque l’armée américaine y avait déjà
investi plus de 25 milliards de dollars. À cette somme, la Russie
engagea un autre 15 milliards de dollars et une quantité similaire de
ressources sur la facture totale avec son programme spatial Soyouz.
En
tout, 75 milliards de dollars ont été investis dans la course à la
lune, une quantité gigantesque de ressources qui somme toute auront
rapporté - une connaissance inestimable de la géologie très ancienne de la Lune – acquise au cours des 12 jours (12 jours total) passés sur cet éternel caillou, ainsi qu’un extraordinaire - 384 kilos de précieux cailloux et de poussières - pareils à ceux qu’on retrouve sur la terre.
Lancé par la fameuse enlevée de Kennedy « We choose to go to the moon! », l’expédition au caillou-loin-dans-l’espace prenait subitement une vague allure de
compétition de cour d’école qui allait alimenter durant une décennie
une course effrénée à la vie à la mort avec la Russie. Beaucoup de
ressources et d’excitations pour un résultat qui jonglait déjà avec le connu bien avant que ne débute la construction de la première fusée Apollo.
Comme s’ils répétaient une mauvaise pièce de théâtre, ils ont recommencé à six reprises.
Il
va de soi qu’une telle entreprise a eu comme conséquence de soulever
l’ire du payeur de taxes américain, en plus des nombreuses questions
sur les motifs véritables de ces expéditions.
Géologie, connaissances scientifiques et transfert au domaine civil,
dirent-ils en cœur, alors que des 20 astronautes ayant effectué le
voyage à la lune, 19 étaient des militaires et un seul était un civil
scientifique. Les connaissances scientifiques de la Lune sont d’un
intérêt limité qui ne justifiait aucunement une telle dépense.
Pas les connaissances scientifiques sur la lune, reprirent-ils en cœur, mais celles de la course à l’espace! Ils
nous apprenaient qu’en rétrospective, tout le programme Apollo n’avait
eu comme objectif que de donner une avance stratégique à l’Amérique
dans la course à l’espace.
D’un
coup de crayon, la « course à la lune » venait de disparaître
pour faire place à la « course à l’espace », une course à la
militarisation de l’espace terrestre immédiat, un concept paradoxal
garantissant la liberté de l’espace terrestre par sa domination par
l’Amérique.
Malgré
toutes les explications, la grande image ne cadrait simplement pas. Si
certitude il y avait, elle était que l’Amérique était capable de se
mentir à elle-même.
Des
drapeaux plantés sur la Lune qui battent au vent, des studios de
production cinématographique prêts à prendre la relève d’un alunissage
raté, des étoiles inexistantes dans un ciel d’encre, un soleil qui
ressemble à un projecteur haute intensité, des milliers de
photographies et de mètres de pellicules perdues, ou oubliées sur la
lune, ou manquante par les pannes de caméra à plus d’une reprise, ou
brouillée. Tout cela par une NASA qui semble inventer des réponses au
fur et à mesure des questions. La controverse sur la série Apollo et le
voyage à la Lune est comme un feu de paille qui ne s’éteindra jamais,
opposant les idées jusqu’à mettre en doute tout le programme Apollo.
Une opposition telle, qu’aucune idée intermédiaire n’arrive plus à se glisser.
Il est possible que la vérité soit ailleurs.
Si la NASA a communiqué de l’information sur ses missions, elle en a caché beaucoup plus encore. NASA signifie « National Aeronautics And Space
Administration », un nom qui dit tout. C’est une agence
gouvernementale qui fut créée dans le but de transférer au domaine
civil des connaissances acquises par les militaires.
Architecturée
autour d’un ADN militaire remontant à la fin de la guerre, elle n’a
jamais eu comme mission d’informer le public, sinon en ce qui
concernait la matière civile et dans la mesure où cela n’interférait
pas avec la sécurité nationale.
S’il
est un endroit où il est possible de constater facilement l’application
d’une censure par les spécialistes de l’espace, c’est justement dans
les produits dérivés disponibles de la NASA et des autres organisations
spatiales, comme entres autre les photos satellites de la Terre, de la
Lune et de Mars, toutes disponible à travers des fournisseurs de
solution comme Google Earth.
Des
hachures, du faux brouillard, de la fausse glace, de la répétition
d’images, une résolution parfois si basse, qu’elle est surpassée par
celle de la Lune ou de la planète Mars. De nombreux stratagèmes ont été
utilisés pour cacher des images satellites de la terre en dépit de la
mission apparente d’informer. Il y a bien sûr une censure qui sert aux
fins de la sécurité nationale, mais de nombreux endroits sis dans les
coins les plus reculés de la planète et même jusqu’au plus profond des
mers, ont été ainsi dissimulés. Parfois ce sont des surfaces très
grandes, alors qu’à d’autres elles ne sont que des rapiéçages qui ne
dépassent pas quelques kilomètres carrés.
Un des endroits particulièrement marqués par cette censure des cartes satellites, c’est la Lune.
Quelle
que soit la distance de laquelle on l’observe, elle est constellée de
rapiéçages qui nous empêchent toujours d’embrasser globalement l’image
que nous avons sous les yeux. Les images de la lune ont toutes été
filtrées, nettoyées en profondeur avant d’être uniformisées par l’ajout
d’une teinte de gris, réduisant significativement l’appréciation des
contrastes pour toutes les distances et sous tous les angles.
En plus de cela, c’est le floutage
tous azimuts. Au point où l’on pourrait croire que c’est là le fruit
des technologies extrêmes de la photographie de l’époque. Du changement
de résolution important, jusqu’au nettoyage des blancs éclatants et des
noirs profonds de toute variation, en passant par la mauvaise qualité
de l’émulsion des pellicules et un assemblage des images d’une qualité
médiocre.
Un patchwork tel, qu’il offre un contraste plus clair lorsque la distance s’accroit et que la résolution se réduit.
Ajoutons-y
l’aura de mystère qui règne autour de la première mission d’Apollo 11
dont les pellicules et photos originales du voyage auraient été égarées
par la NASA. Malgré le fait surprenant qu’il n’y aurait jamais eu de
mission militaire, d’insistantes rumeurs ont fait entendre qu’après que
le congrès eu coupé les subsides d’Apollo 18, 19 et 20, les budgets
nécessaires sont simplement parvenus d’une autre source et il y aurait
eu des missions secrètes ayant pris place sur la Lune.
L’analyse des différentes marche
sur la lune, relève des caractéristiques singulières qui reviennent
d’une mission à l’autre et qui fournissent certains indices sur les
motivations dérobées du programme Apollo.
En
dépit d’une rigoureuse formation militaire, tous les astronautes ayant
mis le pied sur la lune ont été à un moment ou à un autre en pâmoison
devant des rochers qui crevaient la couche de poussière. Dans toutes
leurs ballades en véhicule électrique à la surface de la lune, comme
une religion, ils visitaient tous les amas de roches qu’ils pouvaient
apercevoir.
(Notez
bien que toutes les images qui suivent sont originales et n’ont subi
d’autres modifications qu’un ajustement des contrastes permettant de
les rendre visibles.)
Comme
dans la mission au cratère Ballet d’Apollo 17, ils allaient même
jusqu’à se photographier dans des mises en scène avec de vulgaires
morceaux de basaltes.
Dans
ce segment d’image panoramique provenant du cratère Ballet lors de la
mission d’Apollo 17, il est possible d’apercevoir à la gauche de la
photo une mise en scène mettant en vedette une pièce de basalte
fraichement déterrée maintenue à un angle de pose par le piolet de
l’astronaute.
Tout
géologue patenté expliquera qu’en plus de sa position naturelle
permettant de voir l’ensablement autour, l’intérêt géologique d’une
telle pièce n’est pas tant sa surface, mais sa composition, visible par
les strates de sa tranche, qui laisse apercevoir les couches déposées
par les différentes époques. Prendre la peine d’arracher la pierre de
sa gangue de terre pour la monter de façon à avoir une image nette de
sa surface alors que les respirations, les secondes mêmes sont
comptabilisées, démontre un intérêt peu banal.
Lorsque
nettoyée et réorientée (à droite de l’image en bas) la surface de la
pierre laisse voir des marques sombres auxquels les hasards de la nature
ont conféré de bien curieuses formes qui s’apparentent vaguement à des
profils et des visages humains avec les yeux, le nez et même les
peignures.
Sous
cet angle, la nature de la lune semble bien différente de celle de la
Terre, puisque de telles stries et même des découpes de pierre
évocatrices des formes humaines ou animales y apparaissent très
souvent. L’œil exercé pourra en relever quelques-uns sur cette seule
photo.
Tout ce qu’il faut pour douter d’une présence sur la Lune.
Il n’y a pas que là.